RosbOOm a écrit:Une émission intéressante sur france3 (si si ) sur l'épargne, le pouvoir d'achat, la vraie inflation, etc. (et notamment la comparaison locataire/proprio suite à la discussion avec Croaa d'il y a quelques mois) :
http://www.france3.fr/emissions/tout-peut-changer/videos
RosbOOm a écrit:C'est peut être simpliste, mais une forte taxation sur l'héritage au moment du décès réglerait le problème, non ? Genre rien entre 0 et 100k par enfant, 50% de 100k à 1M, et 90% au delà.
RosbOOm a écrit:C'est peut être simpliste, mais une forte taxation sur l'héritage au moment du décès réglerait le problème, non ? Genre rien entre 0 et 100k par enfant, 50% de 100k à 1M, et 90% au delà.
RosbOOm a écrit:C'est peut être simpliste, mais une forte taxation sur l'héritage au moment du décès réglerait le problème, non ? Genre rien entre 0 et 100k par enfant, 50% de 100k à 1M, et 90% au delà.
Pouffy a écrit:RosbOOm a écrit:Une émission intéressante sur france3 (si si ) sur l'épargne, le pouvoir d'achat, la vraie inflation, etc. (et notamment la comparaison locataire/proprio suite à la discussion avec Croaa d'il y a quelques mois) :
http://www.france3.fr/emissions/tout-peut-changer/videos
Emission intéressante qui prend un certain recul notamment avec la question de l'immobilier (et quelques raccourcis également).
RosbOOm a écrit:Certains milliardaires américains ne lègueront d'ailleurs qu'une infime partie de leur patrimoine à leurs enfants (The perfect inheritance is enough money so they feel they could do anything, but not so much they can do nothing).
Croaa a écrit:Je dirais même quelques gros raccourcis rapides.
La première comparaison entre location et accès à la propriété fait l'impasse totale sur le mode d'épargne et de placement choisi. On arrive à une différence de 15% mais sans préciser les détails. Qu'elle est l'investissement nécessaire (en temps et en compétences) pour gérer son "capital" ? Quels sont les risques pris ? Il n'est surtout pas précisé quelle est la somme qu'il épargne par rapport au coût de l'achat immobilier et est-ce qu'il prend en compte le même niveau de vie pour les deux hypothèses. De plus il part de l'hypothèse que pendant 25 ans il ne revend pas son bien pour faire une plus value et réinvestir dans un autre bien. Il compare une situation ou il ne fait rien (l'achat) et se contente d'attendre à une situation où il fait fructifier son capital surement (mais là ce n'est pas spécifié) en le dynamisant, c'est à dire en faisant varier ses placement, en vendant et revendant ses actions, etc.
En plus, le locataire, il a vraiement la chance de tomber sur un propriétaire qui à l'air d'être de bonne composition et qu'il fait les travaux comme il faut et quand il faut et apparemment comme le locataire a envie que cela soit fait. Si son hectare de terrain le propriétaire décide de le couper en deux pour faire uen deuxième maison en fin de bail, il fait quoi le locataire ? Le srisques de locataires ne sont pas forcément nuls du côté des travaux. Des locataires sont parfois obligés de faire les travaux à leurs frais et de devoir faire un procès ensuite pour récupérer leurs dépenses. Et puis n'est pas pris en compte également la difficulté de trouvé un logement qui convient par rapport à la "facilité" de trouver un bien à acheter.
C'est donc biaisé car chaque situation est unique.
Après, sur l'émission en général, ce qui en resort c'est qu'en effet il y a des possibilités de faire plus de bénéfices en palçant son épargne plutôt que d'investir dans l'immobillier qui est à niveau tel qu'il n'y a plus guère de progression à attendre de ce côté là. Ce que je retiens c'est le terme "possibilités"; Parce que ce qui n'est pas expliqué c'est comment faire et quel sont les risques de perte de capital (ou c'est à peine effleuré).
Je suis tout à fait d'accord sur le fait qu'investir peut avoir un potentiel intéressant mais avec un investissement personnel plus important et un risque également plus élevé que l'investissement immobilier.
Mon expérience personnelle montre que j'ai eu raison de miser sur l'achat plutôt que la location vu l'évolution de mon capital et l'absence total de dépression nerveuse et d'ulcère. En 14 ans, à aucun moment je n'ai eu un doute sur la valeur de mon bien et n'ai eu de crainte d'une perte de mon capital. Et ça, cela ne se mesure pas en terme de rendement.
Philemon a écrit:RosbOOm a écrit:C'est peut être simpliste, mais une forte taxation sur l'héritage au moment du décès réglerait le problème, non ? Genre rien entre 0 et 100k par enfant, 50% de 100k à 1M, et 90% au delà.
Avec ce principe, la trznsmission d'une entreprise familiale devient impossible.
Croaa a écrit:Mon expérience personnelle montre que j'ai eu raison de miser sur l'achat plutôt que la location vu l'évolution de mon capital et l'absence total de dépression nerveuse et d'ulcère. En 14 ans, à aucun moment je n'ai eu un doute sur la valeur de mon bien et n'ai eu de crainte d'une perte de mon capital. Et ça, cela ne se mesure pas en terme de rendement.
RosbOOm a écrit:Je te rejoins sur le fait que chaque situation est unique. Il est probablement toujours possible de trouver des bonnes affaires même dans un marché largement surévalué, mais il faut vraiment s'y connaitre ou être bricoleur.
Croaa a écrit:RosbOOm a écrit:Je te rejoins sur le fait que chaque situation est unique. Il est probablement toujours possible de trouver des bonnes affaires même dans un marché largement surévalué, mais il faut vraiment s'y connaitre ou être bricoleur.
Comme il faut s'y connaitre un minimum et accepter le risque de perdre beaucoup pour placer son épargne à la bourse.
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