Matthaeus a écrit:Je m'envole vers mon libraire...
J'adore l'expression.
Jim
Matthaeus a écrit:Je m'envole vers mon libraire...
Jimbolaine a écrit:Matthaeus a écrit:Je m'envole vers mon libraire...
J'adore l'expression.
Jim
sixann a écrit:le refus de la critique est le début de la tyrannie et donc de l'appauvrissement intellectuel et esthétique ! "sans liberté de blâmer..."
jmdjo a écrit:Qu'un individu lambda donne son avis, pourquoi pas (j'en suis). Qu'il se prenne pour un critique sous prétexte qu'il a le droit de s'exprimer par la sacro-sainte liberté d'expression, c'est ridicule. Un peu comme les personnes qui ont des avis bien arrêtés sur les vaccins en étant contre ou les personnes qui ne jurent que par l'homéopathie.
Oui, on peut s'exprimer mais si c'est pour être juge et parti sans avoir la connaissance de base, autant se taire.
sixann a écrit:jmdjo a écrit:Qu'un individu lambda donne son avis, pourquoi pas (j'en suis). Qu'il se prenne pour un critique sous prétexte qu'il a le droit de s'exprimer par la sacro-sainte liberté d'expression, c'est ridicule. Un peu comme les personnes qui ont des avis bien arrêtés sur les vaccins en étant contre ou les personnes qui ne jurent que par l'homéopathie.
Oui, on peut s'exprimer mais si c'est pour être juge et parti sans avoir la connaissance de base, autant se taire.
Waouh ! Tu tapes fort mais je ne sais pas trop sur qui ou sur quoi !
Je prends donc tes critiques (Ah oui : tu joues AUSSI au critique ? Mwwaaaa ! ) pour ma pomme et je te donne quelques réponses :
- il faut faire la différence entre faire une critique et se prendre pour un critique : je ne me prends pas pour un critique mais, comme toi et d'autres, je donne mon avis ; et en français, cela s'appelle faire la critique,qu'elle soit positive ou négative. Ton reproche sur ce point n'a pas d'objet.
- tu parles d'homéopathie et de vaccins comme si je défendais une position doctrinale ! Ben en lisant bien, non, non, je ne défends que mon opinion, circonstanciée, sans prétention, sans ostracisme.
- "juge et parti sans avoir la connaissance de base" : alors.... et d'une, on écrit "partie", et de deux, il ne s'agit aucunement de jugement mais d'avis (je pense que jusqu'ici tout le monde l'a bien compris ), et de trois, qui es-tu pour juger (car là tu juges !!! ) de ma connaissance de base !
Pour conclure, je ne comprends pas du tout cette sortie. Je suis désolé de l'avoir suscitée
drabag a écrit::respect: J'espère simplement qu'à un endroit ou un autre (ici peut-être ?) l'auteur s'expliquera sur ce choix pour le moins décalé (du style graphique de Hans par rapport aux autres personnages )! A suivre...
Interview A. Alice par BDGest' a écrit:Q. de BDGest' = Certains reprochent au personnage de Hans d’être trop cartoon par rapport à la physionomie des autres personnages…
R. de l'auteur = (rires) Je ne suis pas surpris. J’ai déjà eu ce type de retour sur le personnage de Mime qui est en quelque sorte le père adoptif de Siegfried. C’est à ce moment-là que j’avais été surpris des retours des lecteurs car, pour moi, tout était parfaitement logique et cohérent. Quand j’ai réalisé Le Château des Étoiles, la création du personnage de Hans a fait partie des très bons moments. Je pense que ces réactions dépendent beaucoup des habitudes de lecture de chacun. J’ai toujours lu ou vu des œuvres qui mariaient deux ou plusieurs niveaux de stylisation différents dans la même case ou la même planche. Les exemples les plus marquants se trouvent dans l’animation japonaise. DansAlbator, par exemple, on a des filles plutôt réalistes et longilignes qui côtoient Toshirõ qui est clairement une référence pour Hans. On retrouve cela également dans Tanguy et Laverdure, Uderzo utilisait aussi beaucoup ce procédé. La bande dessinée est peut-être l’une des seules formes d’Art où l’on a le droit de faire ça. Peut-être aussi que certains lecteurs ont eu du mal à accepter le personnage de Hans en raison de son arrivée tardive dans le récit… Je serais également curieux de voir la réaction des enfants par rapport à ça, qui eux, ont une tendance naturelle à accepter des choix graphiques très variés. Cela me fait un peu penser aux différents niveaux de langage utilisés dans les dialogues de bande dessinée. Il m’arrive de prendre certaines libertés avec le Français mais je ne suis pas très adepte du langage parlé dans les bulles. Alors que certaines personnes trouvent au contraire cela plus vivant… Encore une fois, c’est une question d’habitude.
Anianka a écrit:interessant.
par contre je ne sais pas pourquoi, mais pour moi, c'était un one shot, donc je suis agréablement surpris de voir qu'il s'agit d'un diptyque et qu'on aura la suite l'année prochaine.
calvin II a écrit:Peut etre que le but etait d'atteindre un niveau de lecture "tout public" comme l'etaient les asterix ou d'autres mais là je ne trouve pas que cet objectif soit atteint et je trouve ca perturbant dans la lecture.
Mon envie de faire de la bande dessinée tout public, chose qui à mon avis devient aujourd’hui de plus en plus rare, et le fait que Rue de Sèvres soit adossé à l’École des Loisirs a également joué en faveur de cet éditeur. Mais attention, cette bande dessinée n’est pas exclusivement destinée aux enfants, elle est aussi pour les enfants, nuance…
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