marone222 a écrit:Et c'est cette anecdote qui permet de qualifier cette série de "mauvaise" et "ridicule"?
Non, c'est la répétition de grosses ficelles. Je t'invite à relire toute la série d'une traite, tu verras par toi-même.
La PdC se cherche une nouvelle destination pour leur prochain camp. Ils laissent le hasard décider (tirage au sort, yeux bandés et fléchette sur un poster, fèves dans de la crème au riz, etc.). Ils n’ont pas d’argent mais se débrouillent quand même pour y arriver. En chemin, Tapir s’étale dans une auge aux cochons et perd tous les petits fours qu’il se faisait une joie de manger. A peine installés, Poulain (le plus courageux) sauve dans un acte de grande bravoure et au péril de sa vie un pauvre hère pourchassé par des villageois superstitieux ou par la police d’un pays de l’Est. Les scouts le cachent emmailloté dans leur drapeau accroché au sommet de leur mat pour qu’il échappe à la fouille des méchants qui le poursuivent. Le pauvre gars les met sur la piste d’un terrible secret avant de mourir dans leurs bras. Le voisin, qui a l’air bien gentil est, par un hasard tout à fait extraordinaire, le méchant de l’histoire. C’est un espion Madagaslave qui veut être calife à la place du calife. Il fait semblant d’aider les scouts mais sabote de manière très subtile tous ce qu’ils font. Chat (le plus malin) a des soupçons mais les autres ne sont pas convaincus. Les scouts se rendent à la police ou chez les militaires les plus proches qui ne croient pas un traître mot de ce qu’ils racontent. Ils ne peuvent compter que sur eux même. Ils espionnent ici et là mais sans grand succès. Poulain a une idée. Il va tendre un piège au malfaiteur pour le forcer à se découvrir. Mais ce faisant, il va courir un risque insensé. Ca ne marche pas exactement comme prévu et Mouche (le plus petit et le plus attendrissant des scouts) est kidnappé et sur le point d’être exécuté. Mais les autres scouts sont des champions du jeu de piste et arrivent à identifier le repaire du/des bandit(s) et à prévenir la police, qui met les bandits hors d’état ne nuire 3 cases avant la fin. Le pauvre hère qui est mort dans leurs bras était en fait le fils du dernier roi Inca, qui invite la patrouille des castors à aller passer leur prochain camp sur les berges du lac Titicaca. Il envoie son invitation dans un foulard bleu, ce qui explique le titre de l’histoire. Le Pérou ? Ca tombe bien, la tante de Faucon travaille sur place comme infirmière dans un hôpital géré par Caritas Scoutolica. Ce changement de décor annonce une nouvelle aventure palpitante, pleine de surprises totalement inédites et absolument imprévisibles.