eBry a écrit:Un peu d'humour sur le sujet :
eBry a écrit:Un peu d'humour sur le sujet :
eBry a écrit:8 mars 2013, accord en France entre auteurs et éditeurs sur le contrat d’édition:
"Le contrat d’édition est le contrat par lequel l’auteur d’une œuvre de l’esprit ou ses ayants droit cèdent à des conditions déterminées à une personne appelée éditeur le droit de fabriquer ou de faire fabriquer en nombre d’exemplaires de l’œuvre, ou de réaliser ou de la faire réaliser sous une forme numérique, à charge pour cette personne d’en assurer la public..."
http://www.magazine-litteraire.com/actu ... 2013-62172
eBry a écrit:.L'amoureux fou du livre achètera toujours du papier pour ses titres préférés, du numérique pour la grosse consommation parce que ce sera moins cher que le papier. Les autres n'achèteront quasi que du numérique...
eBry a écrit:Un peu d'humour sur le sujet :
zourbi le grec a écrit:La bd numérique est tout de même plus élitiste que la bd papier car il faut se payer toutes ces tablettes et écrans
Pouffy a écrit:zourbi le grec a écrit:La bd numérique est tout de même plus élitiste que la bd papier car il faut se payer toutes ces tablettes et écrans
Tout dépend du prix d'un l'album ou des formules associées. Ensuite c'est un problème de place... au prix du m² dans certaines villes, une petites collection de 5000 pièces coute les yeux de la tête en terme de place.
Aujourd'hui le moins cher légalement reste la médiathèque municipale... et illégalement le piratage.
La révolution viendra des premières médiathèques à franchir la pas du numérique.
LittleCow a écrit:J'ai parcouru les 13 pages de posts sur ce thème.
Il y a un sujet qui a un peu été abordé page 11 mais qui, à mon avis mérite d'être un peu creusé.
Lors de la réalisation d'une BD, le scénariste, le dessinateur et le coloriste, adaptent leur travail au support (taille, qualité de papier, nombre de pages, nombre de volumes...).Il y a un découpage de pages étudié, des transitions entre doubles pages tant pour le scénario que pour le dessin, des jeux de couleurs (lire entre autres Les histoires des aquarelles de Blacksad). Il y a aussi la couverture qui est étudiée, le choix des matières, de l'illustration.
Ce n'est pas juste écrire, dessiner et coloriser, c'est réaliser une BD dans un format donné.
En passant en numérique, tout ceci ou presque est perdu. Par contre, le numérique offre d'autres possibilités et permettrait par exemple d'entrer dans la case pour voir ce qui est derrière, d'ajouter des pages techniques pour en savoir plus (des détails sur un char, un avion...), des histoires cachées. Il faut adapter la création au support.
C'est ce type de contenu qui fera, à mon avis, éclore la BD numérique.
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