Tu n'as rien expliqué tu as développé ton point de vue qui n'est en rien basé sur des chiffres ou des recherches scientifiques.
Nul besoin de grandes explications scientifiques et de chiffres pour expliquer (et comprendre) qu'un mec qui ne veut pas claquer un rond pour acheter une BD, n'en achètera pas. Que le piratage existe ou non.
Je pense moi que ceux qui téléchargent sont des amateurs de BD qui achèterai surement plus de BD s'il ne pouvait pas les pirater.
C'est ton opinion, mais je ne la partage pas pour les raisons que j'ai évoquées plus haut
Ce charmant blabla n'est pas un argument,
A défaut d'être un argument, c'est une réalité. Comme je l'ai dit plus haut, le mec qui ne veut pas dépenser un rond, ne dépensera rien. C'est de ce postulat, me semble t-il qu'il faudrait partir. Par conséquent un non acheteur n'est donc pas une perte pour un éditeur, qu'il télécharge ou non.
mais un twistage de la situation et de la logique qui sert uniquement à banaliser un acte illégal et ainsi justifier ta propre pratique du "test" intégral et gratuit d'une œuvre protégée.
Tu vois, tu reviens toujours sur l'aspect moral de la chose parce qu'au final, c'est votre seul argument légitime. Pirater c'est pas bien, je crois qu'on est tous d'accord là dessus. Maintenant dire que ça fait perdre du fric à l'éditeur, non. Sinon prouve moi le contraire. Explique moi en quoi un mec qui n'achète jamais de BD, donc un "non client", est préjudiciable pour un éditeur?
Il y a des règles, des lois, tu es dedans ou en dehors, c'est tout.
Ok, peu importe, restons uniquement sur le droit. Ca ne change rien. Télécharger est illégal. Ok, on est d'accord. Mais je repose donc encore la même question: en quoi le fait qu'un mec qui n'a jamais l'intention d'acheter d'une BD, en la téléchargeant porte préjudice à l'éditeur? Vu que dans tous les cas il n'aurait jamais dépensé un rond pour obtenir cette BD.
Tu retournes le problème du point de vue de l'éditeur alors que ça n'a aucun impact sur lui. Comme je l'ai expliqué: le téléchargement ne bénéficie qu'au pirate sans que ça change de toute façon quoique ce soit pour l'éditeur puisque le pirate est déjà un "non client".
Les tolérances qui existent (lecture en grande surface, par exemple) sont difficilement comparables à celui de "l'industrie" du piratage sur net
Il n'empêche que cette tolérance existe et qu'elle me permet de lire tout aussi gratuitement et légalement une BD à la FNAC si je veux. Donc "l'accessibilité à la gratuité" est bien possible, et ce légalement pour celui qui veut s'épargner d'avoir le rôle du vilain pas beau pirate mais lire gratos quand même. Résultat kif kif donc, c'est à dire zéro vente pour l'éditeur. Ce qui veut donc bien dire que l'éditeur accepte ce risque de lecture gratuite en magasin. Preuve aussi que le mec qui veut lire sans acheter a toujours une possibilité de faire, le téléchargement n'est qu'une manière de plus. Sinon que les éditeurs mettent sous blister leur BD. Ils ne le font pas, pourquoi?
Tu es un ange de vertu qui regarde à peine des fichiers pour te faire une idée en les effaçant immédiatement après
Ben oui. Où est l'intérêt de garder un PDF d'une BD qui ne m'intéresse pas? Pas plus que je ne l'achèterai si je l'avais vu directement en magasin. Par contre si ça me plaît, j'irai l'acheter ensuite.
tu scannes (en HD !) les albums qui te plaisent avant de les revendre
Et qu'est ce qu'il y a de répréhensible là dedans?
des fois que le bras de la justice te demande des comptes.
Et pourquoi elle me demanderait des comptes? J'ai encore le droit de revendre les BD que j'ai achetées et de les scanner pour en avoir une copie archivée au format numérique par souci de gain de place, de poids, etc...
Tu es donc du bon côté, celui des justes qui ne ferait pas mal à un éditeur nécessiteux.
Explique moi en quoi je porte préjudice à un éditeur? J'achète ses BD, je les revends. Comme le font des millions de gens. Où est le problème? Que je les scanne pour en garder une copie privée est légal aussi parce que je préfère déménager ma bibliothèque qui tient dans un disque dur que dans 3 camions. Où est le problème?
(il y a encore des disquaires autour de chez toi ?)
Et c'est parce qu'il n'y a plus de disquaire qu'il n'y a plus de musiciens peut être? Il n'y a plus de musique dans le monde depuis qu'internet existe peut être? Le mode de diffusion et d'achat est simplement différent. Il s'est adapté aux technologies de notre siècle, c'est tout. Encore une fois, le fond reste le même, c'est la forme qui change.