Miss Goldgruber a écrit:la machine houlomotrice Hace
https://www.franceculture.fr/economie/h ... 1619420258
Mirdhynn a écrit:Petite larme émue en voyant ton post
RIP politique honnête et responsable. Pourquoi s'emmerder à trouver des idées pour faire avancer les choses, continuons ce qui marche depuis 40 ans : vendons de la merde aux électeurs
Anianka a écrit:Mirdhynn a écrit:Petite larme émue en voyant ton post
RIP politique honnête et responsable. Pourquoi s'emmerder à trouver des idées pour faire avancer les choses, continuons ce qui marche depuis 40 ans : vendons de la merde aux électeurs
d ou il se sort ce '1.5 millions de personnes ne pourront pas voter' ?
on interdit a des gens de voter maintenant ?
bon sinon, c est plutôt pitoyable comme campagne de pub, mais c est exactement ce qu on va se taper à la présidentielle : votez pour nous, le RN il est méchant !
Anianka a écrit:d ou il se sort ce '1.5 millions de personnes ne pourront pas voter' ?
leliensurlaffiche a écrit:Est-ce que je peux voter en Île-de-France ?
Si vous n'êtes pas sur les listes électorales, vous ne pourrez pas voter aux élections régionales des 20 et 27 juin.
Vérifiez votre inscription en un clic grâce à notre outil sécurisé avant le 14 mai.
Brian Addav a écrit:Donc c'est ne "voudront pas voter"...
Un iceberg s'est détaché de l'Antarctique, au nord-ouest de la plateforme glaciaire de Filchner-Ronne. Repéré par des images de la mission Copernicus Sentinel-1, ce géant glaciaire mesure 170 km de long sur 25 km de large, soit une superficie totale d'environ 4 320 km2. Baptisé A-76, il devient ainsi le plus grand iceberg du monde, légèrement plus grand que Majorque, île espagnole des Baléares.
Un gigantesque iceberg -- de quelque 1.270 km2, soit plus que la taille de l'agglomération parisienne -- vient tout juste de se détacher de la barrière de Brunt, une plateforme de 150 mètres d'épaisseur, à proximité de la base antarctique Halley administrée par le British Antarctic Survey (BAS).
Electricité : L'« explosion des factures » dénoncée par l’UFC-Que choisir
POUVOIR D'ACHAT Selon l’association de défense des consommateurs, le tarif réglementé de vente de l’électricité a connu une hausse de près de 50 % en dix ans
L’association cite notamment le mécanisme par lequel EDF est contraint de vendre une partie de son électricité nucléaire à ses concurrents, baptisé Arenh (Accès régulé à l’énergie nucléaire historique).
Ce mécanisme, très critiqué par EDF qui est contraint de vendre son électricité à bas prix, est plafonné. Il représente un petit tiers de la production de l’entreprise. « Le rationnement de la quantité d'électricité ainsi disponible a poussé les prix tant du TRV que des offres de marché à croître artificiellement, et frappé très concrètement les consommateurs », estime l’UFC-Que Choisir. L’effet est en effet direct pour tous : Les fournisseurs alternatifs augmentent leurs tarifs car ils ne peuvent pas acheter assez d’électricité nucléaire bon marché et EDF a un tarif réglementé dont le mode de calcul est conçu pour n’être pas trop compétitif face aux alternatifs.
L’UFC veut un débat public :
L’UFC-Que Choisir s’inquiète également des négociations actuelles sur l’avenir d’EDF, dont la meilleure rémunération du nucléaire est justement l’un des enjeux. Elle craint de « fortes hausses tarifaires » sur l’accès au nucléaire, qui pourrait devoir supporter l’inflation des coûts de l’EPR de Flamanville dans la Manche. L’association réclame au final « la mise en place d’un débat public sur le devenir de cette régulation, sur la base d’une transparence sur les coûts réellement supportés par EDF ». En attendant, elle demande un « déplafonnement immédiat des volumes d’Arenh accessibles par les fournisseurs alternatifs, pour mettre un coup d’arrêt à la spirale inflationniste actuelle ».
Olaf Le Bou a écrit:Electricité : L'« explosion des factures » dénoncée par l’UFC-Que choisir
POUVOIR D'ACHAT Selon l’association de défense des consommateurs, le tarif réglementé de vente de l’électricité a connu une hausse de près de 50 % en dix ansL’association cite notamment le mécanisme par lequel EDF est contraint de vendre une partie de son électricité nucléaire à ses concurrents, baptisé Arenh (Accès régulé à l’énergie nucléaire historique).
Ce mécanisme, très critiqué par EDF qui est contraint de vendre son électricité à bas prix, est plafonné. Il représente un petit tiers de la production de l’entreprise. « Le rationnement de la quantité d'électricité ainsi disponible a poussé les prix tant du TRV que des offres de marché à croître artificiellement, et frappé très concrètement les consommateurs », estime l’UFC-Que Choisir. L’effet est en effet direct pour tous : Les fournisseurs alternatifs augmentent leurs tarifs car ils ne peuvent pas acheter assez d’électricité nucléaire bon marché et EDF a un tarif réglementé dont le mode de calcul est conçu pour n’être pas trop compétitif face aux alternatifs.
L’UFC veut un débat public :
L’UFC-Que Choisir s’inquiète également des négociations actuelles sur l’avenir d’EDF, dont la meilleure rémunération du nucléaire est justement l’un des enjeux. Elle craint de « fortes hausses tarifaires » sur l’accès au nucléaire, qui pourrait devoir supporter l’inflation des coûts de l’EPR de Flamanville dans la Manche. L’association réclame au final « la mise en place d’un débat public sur le devenir de cette régulation, sur la base d’une transparence sur les coûts réellement supportés par EDF ». En attendant, elle demande un « déplafonnement immédiat des volumes d’Arenh accessibles par les fournisseurs alternatifs, pour mettre un coup d’arrêt à la spirale inflationniste actuelle ».
Olaf Le Bou a écrit:Electricité : L'« explosion des factures » dénoncée par l’UFC-Que choisir
POUVOIR D'ACHAT Selon l’association de défense des consommateurs, le tarif réglementé de vente de l’électricité a connu une hausse de près de 50 % en dix ansL’association cite notamment le mécanisme par lequel EDF est contraint de vendre une partie de son électricité nucléaire à ses concurrents, baptisé Arenh (Accès régulé à l’énergie nucléaire historique).
Ce mécanisme, très critiqué par EDF qui est contraint de vendre son électricité à bas prix, est plafonné. Il représente un petit tiers de la production de l’entreprise. « Le rationnement de la quantité d'électricité ainsi disponible a poussé les prix tant du TRV que des offres de marché à croître artificiellement, et frappé très concrètement les consommateurs », estime l’UFC-Que Choisir. L’effet est en effet direct pour tous : Les fournisseurs alternatifs augmentent leurs tarifs car ils ne peuvent pas acheter assez d’électricité nucléaire bon marché et EDF a un tarif réglementé dont le mode de calcul est conçu pour n’être pas trop compétitif face aux alternatifs.
L’UFC veut un débat public :
L’UFC-Que Choisir s’inquiète également des négociations actuelles sur l’avenir d’EDF, dont la meilleure rémunération du nucléaire est justement l’un des enjeux. Elle craint de « fortes hausses tarifaires » sur l’accès au nucléaire, qui pourrait devoir supporter l’inflation des coûts de l’EPR de Flamanville dans la Manche. L’association réclame au final « la mise en place d’un débat public sur le devenir de cette régulation, sur la base d’une transparence sur les coûts réellement supportés par EDF ». En attendant, elle demande un « déplafonnement immédiat des volumes d’Arenh accessibles par les fournisseurs alternatifs, pour mettre un coup d’arrêt à la spirale inflationniste actuelle ».
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