D'après l'indice de Cambridge sur la consommation électrique du Bitcoin, cette dernière consommerait 5,19 gigawatts, pour un total annuel estimé à 79,87 Twh (térawatts/heure) ce qui représente 0,32% de l'électricité produite chaque année (25 082 TWh). À titre de comparaison, cela dépasse la consommation d'électricité de pays comme l'Algérie, la Suisse, Israël, Singapour, Hong Kong, le Qatar ou même le Portugal.
Coldo3895 a écrit:Quand je vous dis que la seule solution réelle c'est une réduction significative de la population !
kiboko a écrit:Coldo3895 a écrit:Quand je vous dis que la seule solution réelle c'est une réduction significative de la population !
Tout à fait, mais comment faire?
Même une pandémie mondiale n'a aucun effet significatif apparemment.
Coldo3895 a écrit:...
En France, revenons à 40 millions d'habitants.
toine74 a écrit:Coldo3895 a écrit:...
En France, revenons à 40 millions d'habitants.
Sur combien de temps ?
Coldo3895 a écrit:kiboko a écrit:Coldo3895 a écrit:Quand je vous dis que la seule solution réelle c'est une réduction significative de la population !
Tout à fait, mais comment faire?
Même une pandémie mondiale n'a aucun effet significatif apparemment.
Politique incitative.
Arrêt des allocations familiales, arrêt des 1/2 parts d'impôts supplémentaires.
(je ne dis pas qu'il faut arrêter la redistribution mais qu'elle ne doit pas se faire selon le critère du nombre d'enfants)
Arrêt total de l'immigration, ni regroupement familial, ni rien. Eventuellement des réfugiés politiques mais de façon très stricte.
En France, revenons à 40 millions d'habitants.
toine74 a écrit:
Tu es conscient que ton "programme" est complètement utopique et impossible à mettre en oeuvre pour diverses raisons (accords internationaux, équité, etc.) ?
Le Japon est sur cette pente avec un taux de fécondité en dessous de 1 (la Russie aussi pour d'autres raisons) et une immigration égale à 0 (en chiffre rond). Un laboratoire grandeur nature à observer de près.
Coldo3895 a écrit:Politique incitative.
Arrêt des allocations familiales, arrêt des 1/2 parts d'impôts supplémentaires.
(je ne dis pas qu'il faut arrêter la redistribution mais qu'elle ne doit pas se faire selon le critère du nombre d'enfants)
Arrêt total de l'immigration, ni regroupement familial, ni rien. Eventuellement des réfugiés politiques mais de façon très stricte.
En France, revenons à 40 millions d'habitants.
Ca peut prendre un siècle. Même plus. Mais c'est la direction à prendre.
toine74 a écrit:Pour les réfugiés, la France a des obligations de les accueillir (Convention de Genève et autres). Même si je sais bien que ces droits sont bafoués un peu partout.
toine74 a écrit: Couper les allocations, même de façon étalée sur le temps, touchera en premier lieu les plus modestes, donc de l'inégalité.
toine74 a écrit:Le problème avec ce genre de proposition (celle que tu avances), c'est que ça va bien plus loin qu'un simple chiffre (pourquoi 40 millions d'abord ? Ca serait pas mieux avec 35 ou 42 ?).
toine74 a écrit:Quand à un arrêt total de l'immigration, ni regroupement familial, ni rien. C'est l'exemple parfait de l'idée magique qui va faire disparaître tous les problèmes.
toine74 a écrit:Il y a des ramifications éthiques et morales à n'en plus finir, sans parler d'une multitude défis pratiques (les déserts médicaux ne vont pas finir de s'aggrandir par ex).
toine74 a écrit:Va aussi dire ça aux différentes industries qui se reposent sur cette main d'oeuvre à bon marché que c'est fini les sans papier payés en cageots de pêches.
Coldo3895 a écrit:Quand je vous dis que la seule solution réelle c'est une réduction significative de la population !
Le Complot a écrit:Coldo3895 a écrit:Quand je vous dis que la seule solution réelle c'est une réduction significative de la population !
Il faudrait que plus personne ne fasse d'enfants pendant 30 ans grand minimum, si on veut sauver la planète. A l'échelle mondiale.
LeJoker a écrit:De toute façon, l'explosion démographique africaine assurée et par ricochet la hausse inéluctable de la pression migratoire sur l'Europe aboutiront à une révision des accords internationaux sur l'accueil des réfugiés. On ne peut pas s'entêter à gérer une situation avec des instruments intellectuels pensés pour une situation qui n'existe plus. Un peu comme si on s'acharnait à vouloir penser juridiquement Internet avec le droit mérovingien.
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