Ouaip, il ne reste qu'un miracle pour la situation s’améliore et que les mentalités changent.
Son discours sur les émigrants a déjà démontré la portée morale du Vatican.

toine74 a écrit:Ouaip, il ne reste qu'un miracle pour la situation s’améliore et que les mentalités changent.
Son discours sur les émigrants a déjà démontré la portée morale du Vatican.![]()
Le gypaète barbu se sent bien en Suisse, record de naissances
Les efforts de la Fondation Pro Gypaète et d'organisations écologistes portent leurs fruits. Vingt-cinq naissances en liberté de gypaètes barbus ont été recensées cette année en Suissse, un record depuis la réintroduction de cette espèce il y a une trentaine d'années.
En tout, au cours de cette année, 163 gypaètes ont pris leur envol en Suisse dans le cadre de ce programme de repeuplement, indique mercredi la fondation.
Pour la première fois, une relève a été enregistrée au Tessin. Il y a vingt-six ans, les premières naissances en Suisse s'étaient produites dans les Grisons et en Valais. Depuis 2019, un couple se reproduit aussi dans l'Oberland bernois.
La réintroduction de ce rapace se fait dans tout l'espace alpin et est d'autant plus importante, observe la fondation, que l'espèce est fortement menacée voire éteinte dans ses espaces d'origine en Eurasie et en Afrique du Nord.
Surnommé aussi le roi des Alpes, le gypaète barbu a une fonction importante dans l'écosystème, rappelle le WWF sur son site. Les oisillons éclosent vers la fin de l’hiver, lorsque de nombreux animaux périssent. Au cours des premières semaines, leurs parents leur apportent la chair musculaire fraîche dont ils ont besoin.
Quelques semaines plus tard, ils passent à leur principale source d’alimentation: les os. 'Aussi macabre que cela puisse paraître, les habitudes alimentaires du gypaète aident à maintenir la propreté des Alpes et à endiguer la propagation des maladies', relève l'organisation.
/ATS
nexus4 a écrit:Je suis assez dubitatif sur l'expression récurrente de 'L'effondrement climatique". Allégoriquement c'est tendancieux mais pourquoi pas. Métaphoriquement ca tient déjà beaucoup moins la route. Scientifiquement ca ne veut rien dire. Certes, ca percute l'imaginaire, mais ce n'est pas du tout ce qu'il se passe.
Une nouvelle codirection pour de nouvelles ambitions
Après un vote de la rédaction, Lénaïg Bredoux et Valentine Oberti ont pris leurs fonctions en tant que codirectrices éditoriales de Mediapart. Le journal réaffirme sa promesse d’une information indépendante, à même de faire dérailler les agendas saturés par la com’ et l’extrême droite. Celle-ci sera l’objet d’une attention particulière. Tout comme l’effondrement du climat et les médias.
nexus4 a écrit:Je suis assez dubitatif sur l'expression récurrente de 'L'effondrement climatique". Allégoriquement c'est tendancieux mais pourquoi pas. Métaphoriquement ca tient déjà beaucoup moins la route. Scientifiquement ca ne veut rien dire. Certes, ca percute l'imaginaire, mais ce n'est pas du tout ce qu'il se passe.
rahoul a écrit:C'est encore une façon compliquée de dire qu'il pleut ?
Eul' temps s'abernaudit, il va nous chier une r'napée.
nexus4 a écrit:Ah j'ai regardé, c'est chiaire. A l'oreille, c'est très proche.
A noter que chiaire à l'imparfait ca donne chiait. Donc c'est vraiment très proche.![]()
D'instinct j'aurais dit que ca vient de chérer, celui de la bobinette, mais si ca se trouve ca n'a rien à voir.
Olaf Le Bou a écrit:il n'y a pas de verbe chérer
Chérer : Arg. [P. réf. au sens de cher « qui est d'un prix élevé »] Majorer un prix (cf. Esn. 1966) :
1. Il jeta une pièce de cinq francs sur le comptoir. L'aubergiste rendit la monnaie. À la grimace maîtrisée du Patron je devinai que le gargotier cherrait un peu, forçait le prix de la piquette. A. Arnoux, Zulma l'infidèle,1960, p. 251.
♦ Loc. (région. et Canada). Être cher(r)ant. Vendre cher. Vous êtes pas mal chérant (R. Girard, Marie Calumet,Montréal, 1946, p. 73).
− Au fig. ,,Dépasser la mesure en actes ou en paroles`` (Esn. 1966).
♦ Rudoyer, rosser (quelqu'un), et absol., frapper fort (cf. Esn. 1966 et Nouguier, Notes manuscrites interfoliées au dict. de Delesalle, 1900).
♦ Se moquer exagérément (cf. charrier) :
2. − Mais vous n'avez pas peur de moi, n'est-ce pas?... − Faudrait pas trop cherrer, la gosse. Tu peux toujours t'amener... F. Carco, Les Inoccents,1916, p. 96.
Prononc. et Orth. : [ʃeʀe], (je) chère [ʃ ε:ʀ] (graph. chérer); [ʃ ε ʀe], (je) cherre [ʃ ε:ʀ] (graph. cherrer). Chérer ds Ac. Compl. 1842 et Lar. 19e. Pour notre docum. ds Nouguier, Notes manuscrites interfoliées au Dict. de Delesalle, 1900, p. 66; G. Esnault, Notes complétant et rectifiant « Le Poilu tel qu'il se parle », 1956, pp. 143-147; L. Larchey, Dict. hist. d'arg., 2eSuppl., 1883, p. 34; Ch.-L. Carabelli [Lang. pop.]. Cherrer ds Quillet 1965. Pour notre docum. ds A.-L. Dussort, Journal 1929-34, ms. dép. par G. Esnault, 1953, p. 8; M. Stéphane, Ceux du trimard, 1928, p. 172; A. Dauzat, L'Arg. de la guerre, 1918; Sain. Tranchées 1973; C. Lambert, Le Lang. des Poilus, 1915; Marcus, L'Arg. tel qu'on le parle, 1947; Ch.-L. Carabelli, [Lang. pop.]; L. Stollé, Douze récits historiques racontés en arg., 1947; A. Bruant, Dict. fr.-arg., 1905; Rossignol, Dict. d'arg., arg.-fr. et fr.-arg., 1901; J. Lacassagne, L'Arg. du « milieu », 1928; F. Déchelette, L'Arg. des poilus, 1918. Les 2 graph. sont admises ds Lar. 20e, Lar. Lang. fr. Étymol. et Hist. a) Av. 1883 « frapper, battre » (Macé ds Larch. Suppl., p. 34); 1901 cherrer « foncer dans » (Bruant, p. 400); b) 1919 « forcer la dépense (au bridge) » (d'apr. Esn.); c) 1915 cherrer « exagérer » et « se moquer » (Le Poilu, no4 ds Sain. Tranchées, p. 140); 1915 « mentir, plaisanter » (C. Lambert, Le Lang. des poilus, p. 11). Prob. dér. avec dés. -er de cher* : du sens « prix élevé », on passe à celui de « forcer la dépense » puis au fig. de « exagérer » et de celui de « rude » (FEW, s.v. carus, p. 441b) à celui de « malmener, rudoyer » (v. Esn. Poilu; FEW, s.v. carus, pp. 441-442).
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