Je viens de lire... [COMIC]

[cicerobuck]

Message précédent :
Je viens de finir... Superman, Up in the Sky.

Mini série de Tom King avec Adam Kubert au dessin, j'avais suivi les 5 premiers numéros lors de la publication, avant de je ne sais pour quelle raison délaissé la série.
C'est d'autant plus étrange que j'avais vraiment apprécié cette série, voir par moment adorer.

Superman, ce n'est pas le personnage le plus facile pour raconter une histoire intéressante en 2020. Même en 1990! Le mythe de l'american way est aujourd'hui cramoisi, et pour contrer ce nouveau paradigme, bien des auteurs ont ces dernières années tenter de trouver de nouveaux angles aux histoires du kryptonien.

Pour ce qui est de Tom King, il s'agit plus d'un retour aux sources, d'une foi quasi aveugle en l'essence même du personnage, jamais autant en contraste avec sa terre d'adoption qu'aujourd'hui, et c'est certainement ce contraste qui donne la force à ce récit.

Me plongeant dans le dernier numéro, je dois avouer avoir été ému, touché, exalté, par la résonance du personnage avec le monde que l'on souhaite aujourd'hui, pas celui qu'on regrette. Ai-je versé une petite larme? Peut-être, en écho à la meilleure histoire jamais contée de Kal-El, celle d'Alan Moore.
Sur un ton différent du scribe de Northampton, Tom King joue certes plus sur le tableau de Superman for All Seasons, mais en refusant la nostalgie pour se focaliser sur l'universalité et l'intemporalité, il marche dans les ruelles de la Jérusalem britannique, créant pour ce qui me concerne un modeste classique instantané de la littérature super-héroïque.

[jb681131]

Je parle rarement de mes lectures, mais là je me dois d'en parler.

J'adore Derf Backdef depuis ses débuts. A chaque fois il ne raconte pas grand choses mais arrive toujours à en faire une histoire passionnante. Il raconte surtout son quotidien mais d'une façon très immersive. Il rend le pas grand chose intéressant.
Ce n'est pas pour rien qu'il a déjà gagné un Eisner Award, un prix à Angoulème et une adaptation au cinéma.

Mais là avec "Ken State", il a mis en avant ses études de journalisme, pour ne pas raconter son quotidien mais celui d'un campus étudiant durant la période des manifestations étudiantes contre la guerre du Vietnam en 1970.
Plus précisément sur le campus de "Kent State" dans l'Ohio qui finira en tueries quelques jours après l'arrivé de la garde national sur place.

On y voir l'horreur de l'administration Nixon et de sa gestion de la guerre du Vietnam. Mais aussi la folie des militaires gradé Américain et le dénie des responsabilités quand une bourde est commise.
Derf ne fait pas un récit anti quoi que ce soit, mais ne fait que raconter ces faits tragiques trop souvent oubliés.

Un récit très documenté avec à la fin du livre la liste complète de ses sources pour chacune des scènes. Des scènes toutes inspirées de témoignages, photos et vidéos de l'époque.

Je reste bluffé par sa façon d'écrire. Et la facilité de lecture de ses oeuvres.

[Bolt]

Je parle rarement de mes lectures, mais là je me dois d'en parler.

J'adore Derf Backdef depuis ses débuts. A chaque fois il ne raconte pas grand choses mais arrive toujours à en faire une histoire passionnante. Il raconte surtout son quotidien mais d'une façon très immersive. Il rend le pas grand chose intéressant.
Ce n'est pas pour rien qu'il a déjà gagné un Eisner Award, un prix à Angoulème et une adaptation au cinéma.

Mais là avec "Ken State", il a mis en avant ses études de journalisme, pour ne pas raconter son quotidien mais celui d'un campus étudiant durant la période des manifestations étudiantes contre la guerre du Vietnam en 1970.
Plus précisément sur le campus de "Kent State" dans l'Ohio qui finira en tueries quelques jours après l'arrivé de la garde national sur place.

On y voir l'horreur de l'administration Nixon et de sa gestion de la guerre du Vietnam. Mais aussi la folie des militaires gradé Américain et le dénie des responsabilités quand une bourde est commise.
Derf ne fait pas un récit anti quoi que ce soit, mais ne fait que raconter ces faits tragiques trop souvent oubliés.

Un récit très documenté avec à la fin du livre la liste complète de ses sources pour chacune des scènes. Des scènes toutes inspirées de témoignages, photos et vidéos de l'époque.

Je reste bluffé par sa façon d'écrire. Et la facilité de lecture de ses oeuvres.

N'hésite pas à coller tes impression dans le topic idoine:
kent-state-quatre-morts-dans-l-ohio-backderf-t92244.html

[toine74]

La chronique de Killers est en ligne !

[Bendart]

Glauque, instaurant un malaise tout au long de ses aventures, ce pavé de 200 et quelques pages m'a bien plus par son graphisme, ses ambiances et surtout son écriture. De très bonnes histoires qui tournent finalement beaucoup autour du personnage principal, ses cauchemars, ses démons.. Je recommande pour ceux qui aiment les personnages complexes mais je pense que l'ambiance et le coté "maléfique", triste et sombre ne plaira pas à tout le monde.

[jb681131]

Glauque, instaurant un malaise tout au long de ses aventures, ce pavé de 200 et quelques pages m'a bien plus par son graphisme, ses ambiances et surtout son écriture. De très bonnes histoires qui tournent finalement beaucoup autour du personnage principal, ses cauchemars, ses démons.. Je recommande pour ceux qui aiment les personnages complexes mais je pense que l'ambiance et le coté "maléfique", triste et sombre ne plaira pas à tout le monde.

Pour le run complet de Delano sur Hellblazer.

[trode]

Hellblazer c'est très bon, j'ai pas fini de tout lire (les "... Présente Hellblazer" de chez Urban + les 2 dossiers), mais rien ne m'a déçu. Beaucoup d'auteurs de talent sur une série avec un pitch initial qui marche très bien.

[Torelli]

Excellent volume avec l'Archer Vert. C'est un polar urbain ultra efficace avec des dessins somptueux de Mike Grell notamment une belle double pages avec Shado. Personnage sexy et énigmatique. En plus il y a une histoire courte dessinée par Alex Toth assez rigolote. Dommage qu'elle ne soit pas en noir et blanc car à mon avis la couleur gâche le trait du maître.
Bref une très bonne surprise.

[corbulon]

Hobtown mysteries (traduit chez Pow Wow) de Kris Bertin et Alexander Forbes est fortement recommandable. Imaginez les Six Compagnons catapultés dans les univers de Gustave Le Rouge, avec un trait qui rappelle celui des detectives stories des années 30, comme Sally the Sleuth.

The Magic Fish de Trung Le Nguyen, comicshojo tout en finesse traitant des bleus de l’âme d’une famille vietnamienne émigrée aux USA et de Tién en particulier qui a 13 ans et qui ne sait pas comment annoncer qu’il est gay à ses proches. Heureusement il y a les contes de fées. Graphisme qui arrive à trouver un bon équilibre entre le sens du détail et la lisibilité de la planche, avec cette tendance à la mono couleur que l’on retrouve souvent chez cette nouvelle génération d’artistes, comme Sloane Leong, Tillie Walden ou encore Rosemary Valero-O’Connell.



Et puis puisque je parle de Sloane Leong, il faut lire Map Of The Sun, la bande dessinée de l’été à la narration en corolle, 5 filles dans le vent et parfois à contre-courant, dans des contextes scolaires et familiaux pas simple. Le tout sublimé par un encrage rappelant Peeters, et des couleurs fabuleuses.

[Bolt]

Hobtown mysteries (traduit chez Pow Wow) de Kris Bertin et Alexander Forbes est fortement recommandable. Imaginez les Six Compagnons catapultés dans les univers de Gustave Le Rouge, avec un trait qui rappelle celui des detectives stories des années 30, comme Sally the Sleuth.

Yep, chez les québécois de Pow Pow, arrivé en milieu d'année en France. Je vais creuser un peu le truc. Merci pour les suggestions The Magic Fish et Map To The Sun.

[mallrat]

Parlons vraiment de Hellstorm.
Warren Ellis arrive au #12.
Le 11 finissait sur le fait que Hellstorm se retrouvait confronté à son père. IL avait vu que le Paradis était un broyeur d'individualité et que l'enfer... était l'enfer.
Ellis commence par une ellipse de deux mois.
On ne sait pas ce qui s'est passé durant la confrontation. Un des amis de Daimon lors des premiers arcs, Avram Siegel est tué par sataniste tueur en série. Il s'attaque aux magiciens et fait de leurs entrailles une protection contre la magie.

Notre héros va poursuivre ce tueur et rencontrera Jaine Cutter, une terroriste de l'occulte qui frappe ange et démons qui voudraient que la terre appartienne à leur camps et Anton Devine, Sataniste en chef des USA.
Gabriel Rosetti, devil-hunter, finit dans les mains des Asura, anges guerriers qui en font une arme contre l'enfer.
Daimon et Jaine commence une liaison. Ils finiront par vaincre le tueur, anisi que le démon qui l'animait.
Patsy, elle, reçoit la visite de Deathurge qui l'aide à se suicider.
Voici un résumé du premier arc en 3 numéros de Ellis.
On trouve déjà ses dialogues percutants, son habilité à mélanger magie et sciences, son gout de la provoc.
Manco, lui, a progressé et nous livre de superbes planches (même si Druid sera meilleur sur ce plan graphique).

L'épisode suivant nous sert une sorte de maison hantée revue et corrigée. Ellis nous fait un tour d'horizon des pires instruments de tortures existants. A la fin, Daimon semble avoir pris du poids niveau pouvoir.

On apprend ensuite qu'il a tué son père et pris le trône de l'enfer (enfin un celui de Marduk Kurios). On découvre Stephen Loss, qui lui défend le camp du Paradis et semble devoir devenir l'adversaire de notre héros.
Satana, elle, en bonne succube vole des âmes en étant prostituée.

Les 4 épisodes suivants faisaient progresser pas à pas les subplots de Satana, Gabriel, Stephen Loss et Lavoisin (qui donna le nom de son père à Daimon en échange de..?), tout en nous donnant de nouvelles affaires oùù soit les démons, soit les anges cherchaient à gagner de l'influence sur terre.
Les deux derniers numéros tenteront de donner une fin satisfaisante mais un peu rapide.

En même temps et c'est le point positif de Hellstorm par Ellis. Certes ca marche sur les plates bandes de Vertigo mais sauce Marvel: L'action dans tous les sens du terme sont présent tel que Marvel se détachait de DC dans les 60's.
Vertigo c est un peu le coté litteraire.. Hellstorm c est un album des Sisters of Mercy (référencés par Manco), des Fields of The Nephilim (le look de Hellstorm), le Pornography de Cure ou Skinny Puppy/Nine Inch Nails.. Il y a la rage, le désespoir en plus, il y a l'énergie!

Quand c'est sorti, c'est devenu d'un coup mon comics préféré du moment devant même Sandman ou Hellblazer. Sa fin m'a fait mal, et Druid n'a pas changé cela.

Bref Mallrat Recommande!!!

[cicerobuck]

hmmm, Skinny Puppy et NIN, c'est quand même plus Vertigo - CF Ted McKeever, Fegredo, les covers de Bisley sur Doom Patrol, de Dave McKean sur Hellblazer... Je sais pas, je trouve quand même ça un peu lourd, Hellstorm, et bien plus bavard que du Vertigo. Et puis Manco, ça reste désespérément statique et précieux, le contraire de ce dont tu parles niveau action. Mais bon, un jour je retenterais.

[mallrat]

Oui j oubliais McKeever mais là je parlais plus du Vertigo originel avec le surnaturel DC quoi..

Je suis pas d accord, c est bavard Hellstorm comme du vertigo mais c est aussi plus tourné vers l action.. les résolutions sont plus tournées vers l action.. et Manco en fan des Fields ou Sisters mets aussi un coté assez crade, sale...
Y a un coté plus rock ou Vertigo serait plus l induustriel de départ ou la coldwave..
en plus j aime tout donc c est pas une question de mieux (en musique mais aussi sur les comics) mais de différend.

[mallrat]

**HELLSTROM: PRINCE OF LIES TPB**
Written by RAFAEL NIEVES & LEN KAMINSKI
Penciled by MICHAEL BAIR, LEONARDO MANCO & PETER GROSS
Cover by DEREK YANIGER
ON SALE OCTOBER 2020
The Son of Satan is back — and there’s hell to pay! Daimon Hellstrom has long struggled with his nature and his evil parentage. He’s been an adventurer, a hero and a Defender — even a husband to Patsy “Hellcat” Walker. But that was years ago. Now storm clouds gather as Hellstrom walks among mortal men once more — for his new path is one of death and damnation! Unholy threats are on the rise, and the cynical, embittered Hellstrom is the only one who can combat them — if he can survive the many tricks his father’s kingdom has in store! Hellstrom encounters Gabriel the Devil-Hunter, Doctor Strange, the Gargoyle and more as he battles demonic doppelgangers, murderous mortals, faith healers and damned souls. But what will happen when Hellstrom goes to Hell? Collecting HELLSTORM: PRINCE OF LIES #1-11.
264 PGS./Rated T+ …$24.99
ISBN: 978-1-302-92519-2

J ai relu et c est bien mieux que dans mes souvenirs.
On sent que Bair gâche le scenario de Nieves en dessinant le début comme un comics de super-héros.. Cependant les 3 premiers restent bons avec un nouveau statu quo expliqué.. 'bien que si on a pas lu les Defenders de Dematteis à minima.. Certains points sont sortis du chapeau, mal expliqués et surtout pas référencés..)
L'utilisation de Gabriel Devil Hunter est assez bienvenue en exorciste qui a perdu la foi...
Tout est remis aussi au niveau du marvelverse avec Doc Strange ou Gargoyles qui montre un peu la nouvelle place à part de Hellstrom.
Le 4-5 sont moins bons mais on sait que ca devait être un guest starring avec le Ghost Rider qui est redessiné en nouveau personnage sans explication.
Le 6 est un superbe episode.. aujourd'hui c est du déjà lu.. mais à l'époque c etait assez neuf, surtout dans le marvel universe.

Kaminisky qui a scripté les 4-5 reprend le titre à ce moment là.. et là j avais un sale souvenir alors que c est pas mal du tout.. seul le poncif chez lui de booster les pouvoirs est assez chiant.. mais cette histoire d'âmes ramenés de l enfer que Hellstorm veut amener au Paradis puis un petit tour de l'enfer est vraiment sympa.

Un bon compromis entre vertigo et du superheros.. en tout cas bien meilleur que les midnights sons.

Vraiment une lecture sympa.. qui certes n est pas au niveau de la suite avec Ellis mais c est quand même sympa.
Je vous laisse avec quelques petites mention de la distinguées concurrence que je n avais pas vu.

[cicerobuck]

Je me rappelle comment j'ai découvert la série, un pote qui m'avait prété la série intégrale, juste avant la publi de Druid, élégiaque sur Ellis et Manco. Résultat, j'ai préféré tout ce qui est avant le run d'Ellis. Vertigo, je ne trouve pas ça particulièrement bavard apr rapport à Ellis sur Hellstorm. Mais pour ce qui est de l'action, je ne parle pas des intentions d'Ellis et Marvel, mais de la capacité de Manco à retrenscrire cela : je le trouve trés limité. Pour ce qui est de Bair, je trouve que son style est plus 70ies que réellement superhéros, on dirait presque du Warren. McKeever est là dès les débuts de Vertigo, et même un peu avant (Eclipso, Doom Patrol, The Extremist, etc).
Bref, ce qui est certain, c'est que c'est la série où Marvel s'est donné une demi chance de jouer dans la cours de DC de l'époque, même si le résultat est au mieux embryonnaire, la culture mainstrean de l'époque bien trop forte chez Marvel, et l'age d'or commercial des X-Men

[mallrat]

Y en a eu quelques autres comme le Typhoid de Nocenti ou aprés les Werewolf de Jenkins et le man-thing de Dematteis (strange tales) qui sont presque plus vertigiens..

[cicerobuck]

Les Jenkins et DeMatteis dont tu parles, c'est déjà dans le Marvel d'après, quand Queseda arrive et change tout, pour justement faire du Marvel infusé au Vertigo ( en recrutant à tour de bras chez la concurrence distinguée). Je les ai ces comics, mais là encore, c'était outrancieusement verbeux si je me souvient bien...
Pour Typhoid Mary, c'était très beau, mais j'ai trouvé ça imbittable à l'époque.Pê à retenter?

[mallrat]

Non Strange tales c est encore Harras (1998)
D ailleurs dans l omnibus Hellstorm on apprend que la série Satana qui était prévue pour la label par Ellis/Olivetti (je l avais précommandée à l epoque) a failli être publiée en 2003 sous le label max avec une suite par Ostrander et Bennet (Ellis et Olivetti avait fait le 1 et le 2 OStrander/Bennet ont fait le 3 jamais publiés sauf dans cet omnibus (seul le 1 est lettré).

[cicerobuck]

On s'est mal compris : Le début de Queseda avait déja commencé, et Marvel Knights (Man Thing, Werewolf), c'est le label de Queseda, sous la houlette de Harras.
Rappelons également qu'à l'époque de Hellstorm, Ellos est le scénariste sur Thor, Excalibur, Starjammers, etc, du super héros bien basique et bien chiant, du sous Claremont alimentaire.

[mallrat]

Non le label de Man-Thing et Werewolf (et Satana) c est Strange tales.
Rien a voir avec quesada.. C est Macchio et Bernardo qui éditent

Rappelons également qu'à l'époque de Hellstorm, Ellos est le scénariste sur Thor, Excalibur, Starjammers, etc, du super héros bien basique et bien chiant, du sous Claremont alimentaire.

Ca change pas grand chose mais à l epoque de Druid il est sur Excalibur et 2099.. le reste arrive juste apres Druid(Daraedevil, Doc Strange et Thor) puis apres ca doit etre Ultraforce et Ruins

[cicerobuck]

Oui, autant pour moi, mais le fait est que c'est pile poil au moment où Marvel changeait, radicalement. Regarde les changements d'équipes créatives de part et d'autre. ET Je me trompe pê, mais il me semblait bien que Pryde and Wisdom, Star Jammers etc, c'était au même moment. C'était en tout cas bien nul. Doom 2099, c'ést sans doute ce qu'il a fait de plus intéressant chez Marvel à cette époque, assez barjo, plus les segments dans 2099 Unlimited. Daredevil, il n'a fait qu'un numéro (assez nul d'ailleurs), Doc Strange, pour le coup du sous sous Vertigo bien cynique (il on même pris l'encreur de Bachalo sur Shade pour le dessin, je crois), et Thor donc, avec pê même un peu d'Avengers (je n'ai pas été jusqu'au bout tant c'était médiocre...)
Bref, Hellstorm dénotait un peu de la prod Marvel de l'époque, personne ne dira le contraire, mais ce n'est pas bien glorieux non plus selon moi. Si Ellis n'avait pas fait par la suite la carrière qu'on lui connait, je ne crois pas qu'Hellstorm aurait gardé si longtemps ce statut semi-culte.

Je n'ai pas encore lu Ruins, mais il parait que c'est bien, même si assez influencé par öes Kingdom Come, Marvels etc...