Je ne trouve pas ça très sympa de ne pas me croire
Ma professeure de latin, qui n’écoute jamais la radio dans sa voiture, pour la simple raison qu’elle ne voyage qu’en métro (quand celui-ci roule), m’a rappelé l’autre jour l’origine du nom de ce jeune garçon qui se prenait pour Belmondo dans une histoire inventée par son voisin de palier Michel-Philippe Charlier.
Vous savez certainement tous que Charlier en écossais se traduit par « Leitch » qui ne veut strictement rien dire, comme me l’a toujours dit cet enseignant celtique dont je connais très bien le neveu. Par contre, il est évident que ce personnage brun et sombre qui incarne le héros de cette série ouesternne « Faure n’a va Jo », voit l’origine de son nom tirée du vieux gaélique « donn » (brun) et « dubh » (sombre), ce qui a donné Donndubhan
Or, lorsque Michel-Philippe a fait son quatrième tour du monde en Europe en 1964, il a rencontré ce jeune artiste du même patronyme que le sien et il a eu comme une révélation (après avoir mangé son cinquième morceau de blueberry-pie) : son héros va s’appeler « Donovan » alors qu’un surhomme ensoleillé qui jouait de la vielle à roue tentait d’attraper le vent (je tiens cette info de mon maître Barabajagal, qui m’a enseigné les chakras du neuvième art).
Tout cela s’est produit, selon ce pédagogue sudiste, alors que le jeûne (parce qu’il ne se nourrissait que de champignons) Giraud prétendait avoir une illumination en lisant soi-disant une revue géographique dans son blain-mousse alors qu’il avait oublié d’éteindre les sphares de sa Chevrolet
![vieux crouton [old]](./images/smilies/papy.gif)