Erik Arnoux a écrit:Suivant ma propre "ordonnance", j'ai fait pareil, moi aussi. Trouvé les deux manquants en occasion, pas le choix, et en état neuf à 20 et 30 euros, hors envoi, Et évidemment aussi le XIII... Et le "bout de la piste" gf Novedi, malheureusement une version qualitativement techniquement moins réussie, niveau reproduction.
Je fais l'impasse sur les deux diptyques noir et blanc parus en 80, dommage d'autant que ce sont sans doute parmi les plus réussis graphiquement.
Pour être complet, les Hollandais ont sorti de très belles versions par deux albums à chaque fois, en noir et blanc. Mais en néerlandais évidemment... 45€.
sketch a écrit:(...) mais j'avais trouvé qu'il y avait des longueurs...et que cela se terminait un peu en queue de poisson...à relire...
Erik Arnoux a écrit:sketch a écrit:(...) mais j'avais trouvé qu'il y avait des longueurs...et que cela se terminait un peu en queue de poisson...à relire...
C'est pas que ça se termine en queue de poisson, c'est qu'on a le sentiment qu'emportés par leur élan, les auteurs ont oublié la pagination... d'un album qui compte quand même 52 planches, soit six de plus que le précédent et que du coup ils bâclent une fin en une planche vite torchée, nous laissant un peu sur notre fin. On devine évidemment celle de Prosit, mais après des mois de lecture en hebdo avec les personnages, on aurait apprécié une conclusion un poil plus développée. Pour moi il manque deûx pages de plus... a minima.
JYB a écrit:Je rembobine le fil pour rappeler que la discussion actuelle a été lancée par moi-même il y a deux ou trois jours pour demander si quelqu'un sait pourquoi Blueberry s'appelle Blueberry dans la série éponyme
Erik Arnoux a écrit:Euh, "amertume" ? allons donc, sûrement pas, on peut tout à fait être emballé ou pas par un livre sans pour autant être "amer". Voire s'en foutre, aussi. Et puis au final, ce n'est pas une reprise en soi mais davantage la version artistique personnelle d'un personnage "vu par" avec la bénédiction de l'éditeur. On peut trouver ça à chier ou s'extasier, évidemment, tous les goûts étant dans la nature. Ou simplement penser le pari artistique à demi réussi. Ça ne touchera pas Dargaud qui commercialement se frotte les mains et peut aussi remettre le Blueb de Charlier et Gir en avant, ce qui permettra au passage de faire redécouvrir la série à ceux qui ne connaissent pas.
Erik Arnoux a écrit:... Et puis repris dans le dossier d'ouverture, noir sur blanc, dans "Ballade pour un cercueil" sorti en 74, il y a... 45 ans.
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