Jetjet a écrit:kobaia a écrit:Holmes, le nouveau "Feux d'Askell".
Non je ne pense pas, c'est mal connaître Luc Brunschwig !
Angus Powderhill?
Jetjet a écrit:kobaia a écrit:Holmes, le nouveau "Feux d'Askell".
Non je ne pense pas, c'est mal connaître Luc Brunschwig !
Thierry_2 a écrit:Jetjet a écrit:kobaia a écrit:Holmes, le nouveau "Feux d'Askell".
Non je ne pense pas, c'est mal connaître Luc Brunschwig !
Angus Powderhill?
Thierry_2 a écrit:Jetjet a écrit:kobaia a écrit:Holmes, le nouveau "Feux d'Askell".
Non je ne pense pas, c'est mal connaître Luc Brunschwig !
Angus Powderhill?
vacom a écrit:Thierry_2 a écrit:Jetjet a écrit:kobaia a écrit:Holmes, le nouveau "Feux d'Askell".
Non je ne pense pas, c'est mal connaître Luc Brunschwig !
Angus Powderhill?
Après la guerre ?
jfmal a écrit:Moi, je le dis franchement et sans haine, j'ai lâché.
Ces délais entre chaques tomes me semblent totalement déraisonnables et avec le temps, mon plaisir s'est tout simplement émoussé.
Je crains que les auteurs n'aient oublié ce qui fait la force et l'interêt d'un récit feuilletonesque, à savoir le rythme de production et le rendez vous régulier avec le lecteur.
Je suis un peu lassé par l'attitude de ces dessinateurs qui semblent avoir oublié ce principe de base. Qu'ils regardent donc du côté de leurs illustres ainés qui ne se prenaient pas encore pour des artistes mais qui faisaient néanmoins le nécessaire pour livrer leurs pages hebdomadaires à leurs journaux. Qu'ils observent donc le rythme de production des Franquin, Uderzo ou encore Giraud et qu'ils en tirent des leçons...
jfmal a écrit:Moi, je le dis franchement et sans haine, j'ai lâché.
Ces délais entre chaques tomes me semblent totalement déraisonnables et avec le temps, mon plaisir s'est tout simplement émoussé.
Je crains que les auteurs n'aient oublié ce qui fait la force et l'interêt d'un récit feuilletonesque, à savoir le rythme de production et le rendez vous régulier avec le lecteur.
Je suis un peu lassé par l'attitude de ces dessinateurs qui semblent avoir oublié ce principe de base. Qu'ils regardent donc du côté de leurs illustres ainés qui ne se prenaient pas encore pour des artistes mais qui faisaient néanmoins le nécessaire pour livrer leurs pages hebdomadaires à leurs journaux. Qu'ils observent donc le rythme de production des Franquin, Uderzo ou encore Giraud et qu'ils en tirent des leçons...
TILLIERTON a écrit:Il est clair qu'on aborde cette série avec un état d'esprit particulier et que là on ne respecte plus du tout les conventions feuilletonesques du 19ème siècle. Conan Doyle lui-même n'aurait pas approuvé et Cécil a oublié qu'il n'est pas dans l'élaboration d'un Fragonard ou de toute autre peinture unitaire monosyllabique, mais dans un récit rythmé, nerveux, qui réserve son lot de surprises, au bord de l'improvisation. Et là, désolé......
Je ne préjuge pas de l'impact que ça aura sur les ventes,mais je prends quand même le pari que le genre de public auquel ça s'adresse aura plus ou moins délaissé la chose..Le risque est là.
Rien que pour avoir une idée de la communication sur l'album, il serait intéressant voire rigolo de faire l'historique des annonces des dates de sortie sur le web. Edifiant! Alors Octobre, je veux bien, mais il reste 8 pages sur 40, des crayonnés et des couleurs en sus à élaborer. Je dirais que c'est pas gagné.
TILLIERTON a écrit:Et si on était simplement dans le cas du "Créateur" d'Albert Dupontel ? le syndrome de la page blanche
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