pabelbaba a écrit:Le seul souvenir que j'ai d'Arditi impliqué en politique c'est quand il avait une flûte de champagne à la main au QG de campagne de Jospin début avril 2002...
yodada a écrit: Entièrement d'accord, les donneurs de leçon qui vivent mieux que bien devraient la fermer ! Hollande a trop promis et l'attente trop grande...
Brian Addav a écrit:Anianka a écrit:le problème de Hollande, c'est qu'il n'a pas le courage de ses convictions (pour autant qu'il en ait), donc au final, le gouvernement n'accouche que de décisions en demi-mesures ...)
tu les connais ses convictions ?
parce que si tu les connaissais, tu verrais qu'au contraire, il les suit à la virgule près ses convictions.
Coldo3895 a écrit:Ben pour la loi sur le mariage gay, la PMA, il est pour, mais contre, quoi qu'un peu, mais plus tard, il faut réfléchir, laisser l'assemblée décider, la mettre dans la loi, puis l'enlever.... etc...
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J’ouvrirai le droit au mariage et à l’adoption aux couples homosexuels.
Croaa a écrit:yodada a écrit: Entièrement d'accord, les donneurs de leçon qui vivent mieux que bien devraient la fermer ! Hollande a trop promis et l'attente trop grande...
D'abord, dire qu'un homme politique promet trop, c'est redondant. Tout est dit dans les mots "Homme politique".
Par contre, Hollande, il a promis de tout régler en 1 an ? Il ne me semble pas.
l'attente est trop grande ? La faute à qui? Au gouvernement ou à ceux qui attendent qu'un problème mondial soit réglé en deux coups de cuillère à pot sans que cela coute 1 centime au contribuable ?
Tout le monde est devenu trop impatient. Pour tout. On ne supporte plus d'attendre 1 an pour avoir un deuxième tome sinon on passe à autre chose, c'est une des raisons de la crise que la BD vit aujourd'hui.
On ne supporte plus, depuis que l'autre mariole de Sarko a réagit avec une loi, non applicable et donc non appliquée, tous les jours pour régler des problèmes de fond qui demandaient un minimum de réflexion, que chaque problème ne soit aps régler dans la mminute.
L'électeur change de gouvernement et pense que tout va être réglé ?
Laissons le gouvernement gouverner, il sera toujours temps de tirer des conclusions en temps utile.
Ce qui ne nous empêche bien sûr pas de critiquer à tout va, on aime tous ça.
Brian Addav a écrit:Les 60 engagements de Flamby:31
J’ouvrirai le droit au mariage et à l’adoption aux couples homosexuels.
Voilà. Simple.
Pour l'amnistie, Hollande n'en a jamais parlé. Tout au long de la campagne, il a éviter le sujet.
C'est un projet qui est venu de l'extrême gauche du sénat, qui a réussi à le faire voter.
Lors du vote, le PS et le gvt était loin d'être pour. (http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202724932327-amnistie-sociale-le-ps-veut-resserrer-sa-portee-561138.php).
Hollande a tranché, ce sera non. Non parce que ça n'a jamais été dans ses convictions.
(et mélenchon peut crier haut et fort s'il le veut qu'il lui aurait menti dans les yeux je sais pas quoi).
L'engagement à ouvrir les techniques de PMA aux lesbiennes figurait bien dans le programme socialiste. Mais il avait disparu de celui de François Hollande. Sa fameuse proposition 31 dit : "J'ouvrirai le droit au mariage et à l'adoption aux couples homosexuels." Mais ne mentionne pas les techniques d'insémination et de fécondation in vitro, sur lesquelles il n'a jamais été très explicite. Dans un entretien à Têtu, le 29 avril 2012, le candidat avait pourtant promis : "Oui, je l'ai dit [je suis favorable à la PMA]. Aux conditions d'âge, bien sûr. Je suis très précis là-dessus. Il faut que ce soit un projet parental. Et je suis aussi très soucieux du respect de l'anonymat du don des gamètes. En revanche, je suis hostile à la gestation pour autrui, la GPA."
En réalité, comme dans plusieurs autres domaines, François Hollande s'est montré assez flou. Comme le rappelait lexpress.fr, son discours sur la PMA a varié selon les audiences. Ainsi, il avait promis à l'Association des parents gays et lesbiens d'ouvrir la PMA aux couples de femmes, mais souligné dans Libération la difficulté de faire passer ces textes de loi. Dans une réponse au courant "homosexualité et socialisme", en 2011, il évoquait le "droit de l'enfant" et ne parlait pas de PMA.
A l'exception de l'ouverture du mariage aux couples de même sexe, engagement répété tout au long de la campagne présidentielle, François Hollande n'a jamais été prolixe sur ces sujets. En avril 2012, il se livre dans un entretien au magazine Têtu, passage obligé pour les candidats à la présidence. Oui à la PMA, non à la GPA, dit-il, ajoutant que la reconnaissance des enfants ainsi nés posait un "débat qui devra avoir lieu".
Cette interview à Têtu a toujours été considérée comme un engagement clair du candidat, même si la question de la PMA n'a jamais figuré dans son programme. Pourtant, au même moment, en mars-avril 2012, les associations se méfient. Car, en réponse à un questionnaire adressé par l'Association des parents et futurs parents gays et lesbiens (APGL), Hollande se déclare favorable à la PMA pour les couples de femmes, et seulement pour les couples.
Anianka a écrit:Coldo3895 a écrit:Ben pour la loi sur le mariage gay, la PMA, il est pour, mais contre, quoi qu'un peu, mais plus tard, il faut réfléchir, laisser l'assemblée décider, la mettre dans la loi, puis l'enlever.... etc...
c'est surtout à ça que je pensais en effet, il s'est bien garder de parler de la PMA, alors qu'à l'origine c'était un package avec le mariage (et de tte manière, je vois mal comment ils vont pouvoir l'empêcher une fois les couples mariés)
pour le reste, j'attend toujorus de voir la contribution des marchés financiers à la crise qu'ils ont provoqués, parce que pour l'instant, ils continuent à spéculer, à truquer les taux (cf Libor), et au final, aucune sanction durable, aucune mesure pour limiter les abus, ni aucune taxe afin de limiter la spéculation (investir en bourse, c est bien, c'est la spéculation qui va finir par tuer la poule aux oeufs d'or).
le pire c'est que rien n'est ne serais-ce que évoqué, donc forcément, les gens ont beau être patient, pour l'instant, y'a quand même pas grand chose en route.
pour l'amnistie sociale, je trouve ça ridicule. ça me fait penser aux mecs qui font grêve une fois leur revendications acceptées pour que leurs jour de grêve leur soient payés ... et s'ils faisaient moins grêve et plus de négociation, les entreprises et les employés s'en sortiraient bcp mieux. (cette remarque concerne aussi bien les patrons que les grêvistes)
Anianka a écrit:le problème de Hollande, c'est qu'il n'a pas le courage de ses convictions (pour autant qu'il en ait), donc au final, le gouvernement n'accouche que de décisions en demi-mesures ...
(mais bon, Sarkozy au final n'a pas fait mieux vu qu'il a reculé ou abandonné quasi tout ce qu'il avait commencé)
Brian Addav a écrit:Anianka a écrit:le problème de Hollande, c'est qu'il n'a pas le courage de ses convictions (pour autant qu'il en ait), donc au final, le gouvernement n'accouche que de décisions en demi-mesures ...)
tu les connais ses convictions ?
parce que si tu les connaissais, tu verrais qu'au contraire, il les suit à la virgule près ses convictions.
darkhann a écrit:En même temps, v'la le sondage à la con... évidemment que 80% des gens vont répondre oui.
Quant on participants de ce futurs gouvernement, les noms que tu cites sont les 6 proposés par le sondeur, forcement, ca limite les réponses...
Ce dimanche midi, l'ambiance était tendue sur le plateau de "Dimanche +", l'émission politique de Canal +. Anne-Sophie Lapix recevait Marine Le Pen, un peu plus d'un an après leur premier clash. Une fois de plus, les deux femmes n'ont pas été sur la même longueur d'onde.
"N'y a-t-il pas une tendance naturelle de l'élu FN parce qu'il est isolé à distribuer les marchés à des proches ?", lance alors Anne-Sophie Lapix. Marine Le Pen a mal pris cette question et à alors accusé la journaliste de "racisme" à l'égard du Front National. "C'est scandaleux ! Écoutez, ce genre d'émission... c'est bien, vous allez être félicité (...) D'abord, ces faits ont eu lieu il y a 20 ans ! Je ne vous ai jamais vu faire la liste des dizaines et des dizaines d'autres condamnations à l'égard des autres partis politiques (...) Vous n'êtes pas capable de vous taire deux minutes et de me laisser parler ? (...) Vous êtes censée apporter une information à vos téléspectateurs. Ils sont très intéressés par ce que vous pensez, votre vision des choses. Peut-être sont-ils intéressés par mes explications" lance la présidente du FN exaspérée par les interruptions d'Anne-Sophie Lapix. "Ce n'est pas une tribune non plus ! Je ne vais pas vous laisser parler 5 minutes sans que l'on puisse vous relancer", lui rétorque la journaliste. Puis elle s'amuse avec le chroniqueur présent en plateau en l'appelant "Monsieur le procureur" lorsqu'il liste toutes les mairies FN épinglées pour leur mauvaise gestion des deniers publics. "Ce type de méthode est indigne du journaliste que vous êtes" conclut Marine Le Pen.
Jusqu'à la fin de l'émission, la tenson était à son maximum sur le plateau de Canal +. Marine Le Pen s'est mise à donner le surnom de "Madame la commissaire politique" à Anne-Sophie Lapix après la diffusion d'un sujet sur les militants du GUD. Un sujet qui n'a pas plu à la présidente du Front National : "Je n'avais pas vu un reportage comme ça depuis les années 80 ! Je n'avais pas vu un tel sujet d'une telle mauvaise foi avec de tels raccourcis, de tels amalgames lourdingues !" Dès le générique de fin lancé, Marine Le Pen a quitté son fauteuil ! Visiblement, elle n'iront pas en vacances toutes les deux.
Invitée ce midi dans "Le Supplément" de Canal+, Rachida Dati, qui vient de renoncer à la primaire UMP organisée pour choisir la personalité de droite qui sera candidate pour les municipales parisiennes, a passé un mauvais quart d'heure avec Maïtena Biraben.
Très vite, l'ex-protégée de Nicolas Sarkozy a été interrogée sur une bande-dessinée ("Rachida, aux noms des pères") dont elle a essayé d'interdire la publication. "Ce Monsieur Deray a toujours eu un comportement de voyou, a attaqué Rachida Dati. Il aime l'argent et est prêt à tout pour en gagner. Il a écrit des livres ignobles sur Carla Bruni, sur Trierweiler.... Comme par hasard toujours sur des femmes... en les dénigrant. Il ne s'agit que de ragots et calomnies. J'ai dû lui financer une maison, il veut sans doute maintenant la piscine".
"Avez vous lu la BD ?", lui a demandé l'animatrice. "Ca ne m'intéresse pas", a sèchement répondu le maire du VIIe arrondissement de Paris. "Vous faites de la promo là, a-t-elle tiqué quand Maïtena Biraben lui a montré la couverture. Vous êtes une femme et je ne sais pas si vous avez des enfants. Quand vous voyez qu'il est écrit que j'ai utilisé ma famille pour faire de l'argent... C'est juste sale et bas".
Maïtena Biraben a ensuite fait allusion au père, toujours inconnu, de la fille de Rachida Dati. Une remarque qui est très mal passée. "Que des hommes... un peu parfois... bon. Mais que femmes s'abaissent à ça, ça me surprend", enchaîne-t-elle avant que la présentatrice ne rappelle le droit à sa vie privée.
"La preuve c'est que vous posez des questions là-dessus", a rétorqué l'ex-ministre avant de demander à son interlocutrice d'arrêter les questions sur le sujet en rappelant les menaces dont sa fille fait l'objet. "Vous vous abaissez, Maïtena, a-t-elle enchaîné. C'est votre choix éditorial, si vous pensez que ça fait de l'audience c'est votre problème...".
Florian Philippot a écrit:La fébrilité de @aslapix révélatrice de l'inquiétude du système face à la montée spectaculaire du Front National !
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