Coldo3895 a écrit:LeJoker a écrit:Si cette affaire de bulletins oubliés est avérée, je ne vois pas comment, légalement, on pourrait ne pas recompter les voix.
Fillon peut-il refuser de faire compter les voix? A -t-il le droit de dire à ces militants d'outre-mer "votre vote ne compte pas parce que vous avez le tort de vivre loin de la métropole" ?
Ce que le camp Copé répond, c'est que ces bulletins étaient les premiers arrivés et qu'ils ont été bel et bien comptés.
Ca devrait quand même pas être difficile à vérifier...
Mais bon, une élection à 200.000 votants qui se joue à moins de 100 voix, voire moins de 50, c'est forcément le bordel...
mistercoyote a écrit:Pour avoir vécu ça en 2008 je plains les militants UMP et toutes ces embrouilles (gauche ou droite) ne vont pas arranger le désamour entre le peuple et ses élus
Olaf Le Bou a écrit:Coldo3895 a écrit:LeJoker a écrit:Si cette affaire de bulletins oubliés est avérée, je ne vois pas comment, légalement, on pourrait ne pas recompter les voix.
Fillon peut-il refuser de faire compter les voix? A -t-il le droit de dire à ces militants d'outre-mer "votre vote ne compte pas parce que vous avez le tort de vivre loin de la métropole" ?
Ce que le camp Copé répond, c'est que ces bulletins étaient les premiers arrivés et qu'ils ont été bel et bien comptés.
Ca devrait quand même pas être difficile à vérifier...
Mais bon, une élection à 200.000 votants qui se joue à moins de 100 voix, voire moins de 50, c'est forcément le bordel...
c'est quoi ces menaces des copéistes de revérifier les votes niçois en cas d'invalidation du décompte actuel ??
Estrosi s'est fait prendre la main dans l'urne ??
Irons-t-ils jusqu'à la scission ?? Suspense insoutenable dans les chancelleries.
(pour la première fois de ma vie, je vais plaindre ce pauvre Juppé, impuissant au milieu du champs de bataille, agitant vainement son drapeau blanc. Quelle rigolade quand même)
les invraisemblables irrégularités de ce scrutin, auprès de quoi le congrès socialiste de Reims semble une partie de bridge entre gentlemen, et le duel Gbagbo-Ouattara une votation de canton suisse
Le socialisme de l’usine à gaz
presque personne ne maîtrise ces règles, sauf peut-être les très grandes entreprises. Et encore, ces dernières devraient en toute logique calculer que ces dispositifs de crédit d’impôt se sont toujours caractérisés par une instabilité chronique et une imprévisibilité quasi totale à l’horizon de quelques années, et ne prendre par conséquent aucune décision qui les engage au-delà. Pour résumer : le gouvernement jette l’argent public par les fenêtres au moment où il n’en a pas.
crepp a écrit:J'en reviens toujours pas du Figaro, ça fait quand même plaisir de voir que de temps en temps leurs journalistes ouvrent leurs yeux.
Je le lis rarement hein mais j'aime bien lire les éditos de temps en temps. Celui d'aujourd'hui est terrible:
"On pourrait rire des Branquignols de la droite, de leurs haines en bataille et de leurs querelles d’apothicaires. On pourrait ironiser lourdement sur les invraisemblables irrégularités de ce scrutin, auprès de quoi le congrès socialiste de Reims semble une partie de bridge entre gentlemen, et le duel Gbagbo-Ouattara une votation de canton suisse. On pourrait dauber à n’en plus finir sur ces responsables de l’UMP, tricheurs, menteurs, mauvais joueurs, agressifs, procéduriers… et sur cette Cocoe à la noix qui ne sait plus au juste si elle n’a pas « oublié » quelques départements. On pourrait en rire, si tout cela n’était en vérité à pleurer. Quelle honte ! Et, pour la droite, quel gâchis ! La majorité part en quenouille, François Hollande s’enfonce dans l’impopularité, la croissance plonge, la dette grimpe, Moody’s nous dégrade, le mariage homosexuel n’est pas la formalité que l’on disait… et voilà que ces messieurs de l’UMP, aveuglés par leur frénésie de places et de postes, ouvrent un boulevard au pouvoir socialiste ! Ont-ils oublié qu’ils ne les devaient, ces places et ces postes, qu’à des militants, des électeurs, des citoyens qui ont la faiblesse de croire que la politique c’est - aussi - se battre pour son pays, et pour des idées ? Ceux-là, au fond, se fichent bien de savoir si cette bataille de titans doit être tranchée par la Commission des recours de l’UMP, la Cour de justice européenne ou le Tribunal pénal international. Peu leur importe que Copé et Fillon se départagent à pile ou face, à la courte paille ou à la course en sac. Peu leur chaut que l’on intronise Alain Juppé, un tandem, un triumvirat ou que l’on convoque les mânes de Nicolas Sarkozy. Ils ne demandent qu’une chose : que cesse - et vite - ce pitoyable feuilleton qui abaisse la politique et ceux qui sont censés l’incarner."
crepp a écrit:Pour le cas de l'UMP, oui il y a une guerre des chefs pour avoir le parti comme fer de lance, mais il y a aussi une différence de ligne politique. Et je ne suis pas sur que cela puisse stopper comme cela, avec juste un "ok c'est bon"
Tu veux savoir si ton ex t'aime encore? Envoie COCOE au 72600
adricube a écrit:revenons à des choses plus intéressantes, pour une fois je vais citer Libé :
le moine a écrit:Le président de la fameuse Commission Nationale des Recours des l'UMP :
http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/ ... 305651.php
Coldo3895 a écrit:crepp a écrit:Pour le cas de l'UMP, oui il y a une guerre des chefs pour avoir le parti comme fer de lance, mais il y a aussi une différence de ligne politique. Et je ne suis pas sur que cela puisse stopper comme cela, avec juste un "ok c'est bon"
Bof... Le PS s'en sort bien en réunissant de Hamon aux Strauss-Kahniens... tout est possible...
choregraphe a écrit:pour eviter de passer les pertes l'etat vient d'accepter que les emprunteurs ne remboursent pas pendant 2 ans sans etre expulsés.Pour que les banques ne passent pas la totalité du credit dans les pertes on a donc trouvé cette solution.
adricube a écrit:revenons à des choses plus intéressantes, pour une fois je vais citer Libé :
http://www.liberation.fr/economie/2012/ ... gaz_861597Le socialisme de l’usine à gaz
presque personne ne maîtrise ces règles, sauf peut-être les très grandes entreprises. Et encore, ces dernières devraient en toute logique calculer que ces dispositifs de crédit d’impôt se sont toujours caractérisés par une instabilité chronique et une imprévisibilité quasi totale à l’horizon de quelques années, et ne prendre par conséquent aucune décision qui les engage au-delà. Pour résumer : le gouvernement jette l’argent public par les fenêtres au moment où il n’en a pas.
Pouffy a écrit:Et oui l'Espagne c'est la misère.
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