nexus4 a écrit:Dans le genre foutage de gueule, elle est bien celle là
Le CSA et l'AEF : les coulisses d'une nomination prévisible
http://www.telerama.fr/medias/csa-et-l- ... ,85998.php
tzynn a écrit:On m'a toujours dit que le copinage était l'apanage de Sarko, j'ai compris maintenant pourquoi tous les artistes et sportifs se sont mobilisés pour François: il est encore pire.
Le gouvernement envisage, dès l’an prochain, d'instaurer une tranche à 75% sur les revenus qui dépassent 1 million d’euros. La mesure ne devrait toucher que quelques milliers de Français. Le gouvernement a en effet déjà décidé que les artistes comme les sportifs y échapperont dans la mesure où leurs revenus sont très variables d'une année sur l'autre. source
Faudra qu'on m'explique en quoi le fait que les revenus soient variables d'une année à l'autre au delà du million d'euro de revenu annuel justifie une exemption d’impôt pour nos amis artistes et sportifs...
Croaa a écrit:Et puis, regrettez sur quoi ? Sur l'agitation incessante sans résultat ? Perso je préfère pas de résultat sans agitation.
La République chancelle, la loi tombe en ruine; l'unité politique s'émiette aux tiraillements de l'intrigue; le haut de la société s'abâtardit et dégénère; un mortel affaiblissement se fait sentir à tous au dehors comme au dedans; les grandes choses de l'état sont tombées, les petites seules sont debout, triste spectacle public; plus de police, plus d'armée, plus de finances; chacun devine que la fin arrive. De là, dans tous les esprits, ennui de la veille, crainte du lendemain, défiance de tout homme, découragement de toute chose, dégoût profond.
[...]
Tout va être enflouti, le temps presse, il faut se hâter, il faut s'enrichir, s'agrandir et profiter des circonstances. On ne songe plus qu'à soi. Chacun se fait, sans pitié pour le pays, une petite fortune particulière dans un coin de la grande infortune puiblique. On est courtisan, on est ministre, on se dépêche d'être heureux et puissant. On a de l'esprit, on se déprave, et l'on réussit.
Les ordres de l'état, les dignités, les places, l'argent, on prend tout, on veut tout, on pille tout. On ne vit plus que par l'ambition et la cupidité.
On cache les désordres secrets que peut engendrer l'informité humaine sous beaucoup de gravité extérieure.
adricube a écrit:Mais quelle versatilité ! Que ce soit celle du peuple ou de la presse ... adore ce que tu as brûlé, brûle ce que tu as adoré ...
Baltimore a écrit:adricube a écrit:Mais quelle versatilité ! Que ce soit celle du peuple ou de la presse ... adore ce que tu as brûlé, brûle ce que tu as adoré ...
C'est pas nouveau adricuble !
Souviens toi de Gaulle !
Ou plus récemment, souviens toi Chirac !
Croaa a écrit:Et puis, regrettez sur quoi ? Sur l'agitation incessante sans résultat ? Perso je préfère pas de résultat sans agitation.
Philemon a écrit:Evidemment Thibault et Parisot n'ont pas la moindre chance de converger, ils l'ont dit ouvertement sur le plateau. Et le journaliste demande alors à Touraine: on fait quoi alors ?
Réponse: euh... on verra.
Trois mois après une victoire électorale sans véritable projet, ils en sont à organiser des "conférences" et "états généraux" de toutes sortes. On nous explique qu'il s'agit d'un exercice démocratique, que ces machins servent à faire participer la "société civile" aux décisions. Foutaises: l'exercice démocratique a dejà eu lieu, lors du débat électoral. C'est là que le peuple français approuve ou rejette un projet. L'idée qu'on va discuter pendant six mois pour élire un président qui ensuite aura besoin de six mois de discussions avec la "société civile" - en fait, les lobbies associatifs et syndicaux qui participent à ce genre de manifestation - pour savoir ce qu'il fera est une négation du processus démocratique lui même. S'il ressort des "conférences" une politique opposée à celle qui avait été discutée pendant la campagne électorale, c'est une trahison. Et s'il en ressort la même, à quoi aura servi la "conférence" ?
adricube a écrit:j'aime bien cette analyse :Trois mois après une victoire électorale sans véritable projet, ils en sont à organiser des "conférences" et "états généraux" de toutes sortes. On nous explique qu'il s'agit d'un exercice démocratique, que ces machins servent à faire participer la "société civile" aux décisions. Foutaises: l'exercice démocratique a dejà eu lieu, lors du débat électoral. C'est là que le peuple français approuve ou rejette un projet. L'idée qu'on va discuter pendant six mois pour élire un président qui ensuite aura besoin de six mois de discussions avec la "société civile" - en fait, les lobbies associatifs et syndicaux qui participent à ce genre de manifestation - pour savoir ce qu'il fera est une négation du processus démocratique lui même. S'il ressort des "conférences" une politique opposée à celle qui avait été discutée pendant la campagne électorale, c'est une trahison. Et s'il en ressort la même, à quoi aura servi la "conférence" ?
http://descartes.over-blog.fr/article-p ... 19667.html
choregraphe a écrit:poutré par baltimore
qui va de ce pas finir de lire sa pile de retard au lieu de nous embeter
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