flocon a écrit:Brian Addav a écrit:A l'étranger, pas de sécu française, pas de mutuelle française, pas de points de retraite française,
pour ça, logiquement (i.e si les rentrées étaient suffisantes), il y a des cotisations basées sur les salaires ou une adhésion volontaire qui n'ont rien à voir avec l'IR, non ?
Brian Addav a écrit:flocon a écrit:Brian Addav a écrit:A l'étranger, pas de sécu française, pas de mutuelle française, pas de points de retraite française,
pour ça, logiquement (i.e si les rentrées étaient suffisantes), il y a des cotisations basées sur les salaires ou une adhésion volontaire qui n'ont rien à voir avec l'IR, non ?
si tu bosses pour une boîte française peut-être, et encore, sinon c'est très chiant de cotiser tout seul de son côté.
Brian Addav a écrit:flocon a écrit:Brian Addav a écrit:A l'étranger, pas de sécu française, pas de mutuelle française, pas de points de retraite française,
pour ça, logiquement (i.e si les rentrées étaient suffisantes), il y a des cotisations basées sur les salaires ou une adhésion volontaire qui n'ont rien à voir avec l'IR, non ?
si tu bosses pour une boîte française peut-être, et encore, sinon c'est très chiant de cotiser tout seul de son côté.
Frannck a écrit:C'est pourtant ce que font les professions libérales. En tant que VIE, j'étais assuré (sécu+mutuelle) à part, je ne l'ai pas ressenti comme un problème.
Vote par Internet et piratage, des législatives dans la tourmente
Si le vote par Internet est une aubaine pour les français se trouvant à l’étranger, ce système fait débat.
Les législatives s’annoncent pour le moins animées face aux révélations chocs d’un informaticien. Celui-ci prouve que le système informatique peut être piraté sans problème et ainsi modifier les résultats des votes. Le vote par internet a toujours suscité de vives polémiques par rapport au vote papier. En cause : le dépouillement trop opaque pour certains ! Laurent Grégoire a voulu prouvé qu’il est possible de pirater le système sous la forme d’une attaque « man in the middle ». Il injecte le code fourni par le ministre des Affaires étrangères dans l’appli java, qui est soi-disant « sécurisée ».
Bien sûr, il faut avoir accès à l’ordinateur de la personne qui va voter. Cet accès peut se faire en direct ou par le biais d’un logiciel téléchargeable depuis le net. L’ordinateur ainsi piraté, le vote est changé sans que l’électeur ne soupçonne rien. Le vote est réalisé est bonnes et dues formes, mais bel et bien piraté. Alors, évidemment, il faut être un as de l’informatique et maîtriser parfaitement l’application java, dans ses moindres détails. Pour arriver à ses fins, Grégoire a donc décompilé le programme du ministère. Rien que cela ! Le code Java ainsi récupéré, le système de piratage est mis en place, via le mode de débogage de l’appli Java. Trafiquer le vote devient alors un vrai jeu d’enfant.
Le Quai d’Orsay n’a pas tardé à réagir face aux révélations chocs de Grégoire. Il y a pourtant plus de 126 600 français de l’étranger qui ont déjà voté par le biais du web. Selon le Quai d’Orsay, les annonces de possible piratage ne remettent pas en cause les conditions constitutionnelles qui sont bien respectées, par l’accessibilité du scrutin, le secret du vote et la sincérité du suffrage. D’un point de vue technique, tout a été analysé avec minutie et rien ne semble remettre en cause la validité des votes sur Internet. Si le premier tour s’est achevé malgré quelques soucis d’ordre technique, le second tour est attendu de pieds fermes le 6 juin.
silversurfer a écrit:Ca fait toujours plaisir de voir que quand on parle des Français expatriés, c'est toujours le sujet des zaffreux zexilés fiscaux qui revient.
Alors qu'en fait les Français de l'étranger ce n'est pas que ça, ce sont aussi par exemple des pirates informatiques qui truquent les électionsVote par Internet et piratage, des législatives dans la tourmente
Si le vote par Internet est une aubaine pour les français se trouvant à l’étranger, ce système fait débat.
Les législatives s’annoncent pour le moins animées face aux révélations chocs d’un informaticien. Celui-ci prouve que le système informatique peut être piraté sans problème et ainsi modifier les résultats des votes. Le vote par internet a toujours suscité de vives polémiques par rapport au vote papier. En cause : le dépouillement trop opaque pour certains ! Laurent Grégoire a voulu prouvé qu’il est possible de pirater le système sous la forme d’une attaque « man in the middle ». Il injecte le code fourni par le ministre des Affaires étrangères dans l’appli java, qui est soi-disant « sécurisée ».
Bien sûr, il faut avoir accès à l’ordinateur de la personne qui va voter. Cet accès peut se faire en direct ou par le biais d’un logiciel téléchargeable depuis le net. L’ordinateur ainsi piraté, le vote est changé sans que l’électeur ne soupçonne rien. Le vote est réalisé est bonnes et dues formes, mais bel et bien piraté. Alors, évidemment, il faut être un as de l’informatique et maîtriser parfaitement l’application java, dans ses moindres détails. Pour arriver à ses fins, Grégoire a donc décompilé le programme du ministère. Rien que cela ! Le code Java ainsi récupéré, le système de piratage est mis en place, via le mode de débogage de l’appli Java. Trafiquer le vote devient alors un vrai jeu d’enfant.
Le Quai d’Orsay n’a pas tardé à réagir face aux révélations chocs de Grégoire. Il y a pourtant plus de 126 600 français de l’étranger qui ont déjà voté par le biais du web. Selon le Quai d’Orsay, les annonces de possible piratage ne remettent pas en cause les conditions constitutionnelles qui sont bien respectées, par l’accessibilité du scrutin, le secret du vote et la sincérité du suffrage. D’un point de vue technique, tout a été analysé avec minutie et rien ne semble remettre en cause la validité des votes sur Internet. Si le premier tour s’est achevé malgré quelques soucis d’ordre technique, le second tour est attendu de pieds fermes le 6 juin.
http://www.24matins.fr/vote-par-interne ... ente-17088
Marine Le Pen n'aime décidément pas "Le Grand Journal" de Canal+. Invitée hier sur le plateau, elle n'a pas vraiment apprécié que son temps d'interview soit limité à 12 minutes. A la fin de son entretien, elle lâche : "Ah c'est tout ? Ah ben dites donc on n'aura pas beaucoup parlé de politique ce soir, c'est le moins qu'on puisse dire. Comme d'habitude, les sujets de fond, le chômage, le pouvoir d'achat, l'insécurité et l'immigration n'auront pas été abordés. Vous vous serez contentés d'anecdoctes, pour changer. Cela ne m'étonne pas qu'il y ait un million de moins de téléspectateurs à votre émission." Sourire amusé de Jean-Michel Aphatie et précision d'Ali Baddou, "je ne vois pas le rapport" et d'Ariane Massenet, "ce qui est faux par ailleurs." La présidente du FN se lève pour quitter le plateau et insiste : "Non ce n'est pas faux, au revoir."
Marine Le Pen ne doit pas souvent lire puremedias.com pour donner de tels chiffres. "Le Grand Journal" est loin d'avoir perdu 1 million de téléspectateurs. L'audience a même progressé de 7% cette saison (à 1,8 million de téléspectateurs en moyenne pour la première partie), seules les parts de marché de l'émission sont en légère baisse. Les 116.000 téléspectateurs gagnés sont en réalité dû à l'intégration des "Guignols" dans l'émission. Sans cette modification structurelle, l'audience serait en effet en baisse mais pas dans ces proportions. Hier en revanche, avec Marine Le Pen en plateau "Le Grand Journal" a réalisé une contre-performance avec seulement 1,3 millions de téléspectateurs pour 6,9 % de parts de marché. Un mauvais score dû notamment au tournoi de Roland Garros diffusé au même moment sur France 2. Par ailleurs, il est à noter que hors campagne présidentielle, Marine Le Pen n'est plus un moteur d'audience comme les récents scores de ses interventions en témoignent.
Frannck a écrit:Aucune réaction sur l'interview de Mosco sur france inter hier ? J'ai été choqué par ses propos sur les députés ministres. Comment peut on vanter le "clientèlisme" ?L Le droit des ministres de reprendre leur mandat de député m'avait déjà choqué sous Sarkozy et je ne comprends pas que cela ne soit pas remis en cause. Même sur fi, ils étaient surpris, pour le clientélisme.
En cas de premier tour des élections législatives dimanche prochain, 33% des personnes interrogées voteraient pour le PS et le PRG, selon ce sondage réalisé pour Orange, la presse régionale et RTL, en hausse de 3 points par rapport au 11 mai (30%).
L’UMP recueillerait 32% des suffrages (contre 32,5%). Le Front national est inchangé à 16%. Le Front de gauche cède 1,5 point à 9%. Le Modem, 4,5%, et EELV, 4%, fléchissent chacun de 0,5 points. Debout la République est à 0,5% contre 1%, le NPA à 0,5% (inchangé), et Lutte ouvrière à 0,5% (+0,5 point). 2% des personnes interrogées n’expriment pas d’intention de vote.
Coldo3895 a écrit:(hé ho ! maintenant je suis dans l'opposition, je me lache !)
nexus4 a écrit:Même avis. Un ministre ne devrait même pas avoir le droit de se présenter aux législative-sénatoriale. C'est fromage ou fromage. T'es ministre, tu bosses et tu fais pas chier.
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