scubby a écrit:moi je pense que tous ces ayants-droits, souvent la descendance, qui n'ont jamais rien eu à faire de leur vie sauf encaisser les chèques de droits d'auteurs devraient se contenter d'observer la progression de leur compte en banque. La progéniture des auteurs d'Astérix et de bien d'autres l'ont désormais compris... Jusqu'au moment où ils iront rejoindre la source de leurs revenus dans une autre monde (le plus tard possible il va de soi), les ayants-droits devraient plutôt être fiers qu'une oeuvre respectueuse continue.
La plupart du temps les descendants n'ont que peu de possibilité de s'opposer a la continuation de l'oeuvre.
Ainsi Isabelle Franquin n'a pas pu s'opposer légalement au desastre filmé par Pierre-François Martin-Laval en 2018.
Cette fois ci, elle pense qu'elle a la possibilité de s'y opposer - en disant se baser essentiellement sur le refus d'une reprise par le défunt. Je ne vois pas le souci a ce qu'elle s'y oppose en justice. C'est son droit.
La justice tranchera.
Par ailleurs, je trouve assez condescendant de déclarer de facon péremptoire:
" qui n'ont jamais rien eu à faire de leur vie sauf encaisser les chèques de droits d'auteurs". Si son père lui a légué une oeuvre qui lui permet de vivre, tant mieux pour elle! Elle a aussi toute latitude d'exercer un metier ou de faire du benevolat.