zourbi le grec a écrit:Brian Addav a écrit:ah ça y est, on a réécrit l'histoire pour l'origine du terme IA.
Avec internet tout le monde peut être spécialiste en n'importe quoi ou du moins jouer les perroquets.
Cela nous donne d'éminents juristes (l'affaire Gaston) à foison, des spécialistes en informatique à la pelle, ...
Le Rescator a écrit:Artificial Intelligence (AI) c'est de la Data en anglais, comme le terme Intelligence l'indique depuis bien longtemps dans CIA / Central Intelligence Agency (Agence Centrale de Renseignement).
Le terme succède ainsi dans son acception actuelle à Data Warehouse, Data Mining, Data Lake, Big Data, ... (Evolution de l'EIS / Execution Information System du siècle dernier à l'EBS / Enterprise Business Intelligence actuelle) pour renouveler la proposition de valeur des acteurs concernés du secteur.
Sinon Intelligence cela veut plutôt dire renseignement en anglais et le renseignement, ce n'est pas uniquement des données
Le physicien et philosophe des sciences Etienne Klein se pose la question suivante (j'ai déjà publié la vidée de cette conf, par ailleurs) :
Est-ce qu'une "IA", à partir de ses observations de toutes les chutes de tous les corps possibles
dans l'atmosphère, pourrait faire comme Galilée : un écart de pensée, et comprendre que,
dans le vide, (ce que du temps de Galilée on ne savait pas créer, à la limite l'imaginer), tous les corps tomberaient en fait à la même vitesse ? Ce qui n'est pas ce qu'on voit.
Il en doute, il lui laisse juste le bénéfice de pouvoir prévoir avec une précision inégalée les différentes vitesses, positions, etc de chacun de ces corps différents (masse, forme, composition, etc) en fonction des conditions atmosphèriques, etc...
Mais une "IA" ne pourrait jamais faire une telle expérience de pensée, ou "penser contre son cerveau", comme le firent Copernic, Galilée, Newton, Einstein, etc...