Pardeilhan a écrit:zourbi le grec a écrit: [...] Gaston dans l'univers des startups, dont les ridicules sont sources de gags inépuisables et qui nous parlent bien plus, surtout aux jeunes.[...]
--- pas du tout l'humour (et le rythme) de
Gaston, mais le film ci-après exploite plutôt bien certains aspects comiques de l'univers que tu évoques (moi, j'ai beaucoup aimé).
Preuve qu'il y a matière à concevoir des gags même à l'époque contemporaine :
Très bon film des frères Podalydès dont l'imaginaire s'est beaucoup nourri des grands de la bd (dans un de leur film, on a même la scène du restaurant Syldave du
sceptre)
C'est pour moi le meilleur moyen de rendre hommage aux artistes plutôt que de pomper leur travail tel quel.
Erik Arnoux a écrit:Ce qui ressort, c'est que ça va faire du fric, l'interêt artistique est relégué très loin, quand à l'intérêt narratif usé jusqu'à la corde, à part repomper l'esprit d'il y a cinquante ans dans des gags poussifs et totalement démodés, je vois pas bien; mais Delaf fait (très proprement) le taf qu'on lui demande et je le comprends, c'est un coup intéressant pour lui même si j'imagine bien qu'il ne s'attendait sans doute pas à tout ce barouf en signant des deux mains !
En s'attaquant à un tel monument, Delaf devait bien se douter de ce qui allait se passer ou alors il est vraiment ingénu. C'est du même niveau qu'une reprise de Tintin
BDbilos a écrit:Bon courage à Delaf s'il falait rendre des planches vivantes avec des gags de réunions virtuelles et de signatures de contrats pdf
Il est probable qu'un auteur du niveau de Franquin trouverait de très bons gags en concordance avec son temps. Il y a pas de raisons que notre époque soit pire que la sienne, d'ailleurs personne n'avait pensé à faire ses gags avant lui (lapalissade, je sais
)