Genug a écrit:D'après un facebook voici
la couverture de la nouvelle édition, 320 pages en 25,8 x 19,6 contre 480 en 18,5 x 14 dans la précédente.
Larry Bambell a écrit:T & J, plutôt ?...Le Rescator a écrit:cela pourrait donner des idées à B&W selon le modèle économique de ce genre de TL / TT à tirage limitée, dans la dynamique des nouvelles versions Fournier et Franquin qui paraissent en alternance chez cet éditeur (une date prévisionnelle pour la sortie du prochain Fournier ou Franquin dans cette collection ?).
jb681131 a écrit:Genug a écrit:D'après un facebook voici
la couverture de la nouvelle édition, 320 pages en 25,8 x 19,6 contre 480 en 18,5 x 14 dans la précédente.
Et d'après Dupuis: https://www.dupuis.com/franquin-patrimo ... 28/1353180
A noter par rapport à la précédente édition le changement de format, de couleur de couverture et de pagination.
Mais surtout le changement du sous-titres de "1971-1993" à "1971-1996".
Le Rescator a écrit:jb681131 a écrit:Genug a écrit:D'après un facebook voici
la couverture de la nouvelle édition, 320 pages en 25,8 x 19,6 contre 480 en 18,5 x 14 dans la précédente.
Et d'après Dupuis: https://www.dupuis.com/franquin-patrimo ... 28/1353180
A noter par rapport à la précédente édition le changement de format, de couleur de couverture et de pagination.
Mais surtout le changement du sous-titres de "1971-1993" à "1971-1996".
C'est très clair effectivement sur le site de Dupuis, et de plus la version 2013 (Couverture Rouge) est proposée sur certains sites pour le double du prix de la version 2021 (Couverture Bleue).
Avec une version plus récente, plus grande et plus complète, la précédente conserve-t-elle un intérêt, ou une valeur ?
Pas illustrée ? Mais si.stephane_ a écrit:Beaucoup de gens (dont moi) avaient boudé la première version pour cause d'austérité : cet objet, petit, épais, pas illustré, ne faisait guère envie.
Apparemment on a la couverture chaque fois qu'il l'a faite...Gaffophone a écrit:Effectivement elle est illustrée cette première version.
...ainsi que les illustrations intérieures.Gaffophone a écrit:Peut-être pas suffisamment selon les attendus de chacun mais pour moi c'était suffisant.
Le seul défaut de l'ouvrage, quand on a entrepris de le lire par larges portions, ce sont les redites, mais 1° ça prouve la cohérence de Franquin et 2° l'autre option aurait été de caviarder les textes, à quoi je préfère largement les versions intégrales, avec cet inconvénient.Gaffophone a écrit:De plus personnellement, au-delà d'éventuelles illustrations inédites, c'est le fond, l'histoire qui m'intéressaient.
Que celui qui saura résister te jette la première pierre.Gaffophone a écrit:Bon après me connaissant il y a de fortes chances pour que je craque quand même sur cette V2
buzznico3000 a écrit:Pas d'interview supplémentaire ; juste quelques monstres retrouvés par-ci par-là...
jb681131 a écrit:buzznico3000 a écrit:Pas d'interview supplémentaire ; juste quelques monstres retrouvés par-ci par-là...
Sais-tu pourquoi rien avant 1971 ?
Vainsy a écrit:' devait pas y en avoir des masses, des fanzines, avant 1971, je pense...
http://neuviemeart.citebd.org a écrit: En France, les premiers fanzines de bandes dessinées sont apparus au début des années 60. Le premier fanzine en langue française de bande dessinée, Giff-Wiff (1962-1967), est édité trimestriellement par le premier Club de bande dessinée ‒ qui deviendra le Centre d’Études des Littératures d’Expression Graphique (CELEG) ‒ créé à l’initiative de personnalités comme Francis Lacassin, Alain Resnais et Jean-Claude Forest. Ce fanzine est avant tout le moyen pour toute une génération de lecteurs d’évoquer leur lecture d’enfance (les illustrés d’avant-guerre) sans en avoir honte. Nous sommes dans la nostalgie et dans la nécessité de légitimer un art mineur.
Giff-Wiff va créer plusieurs règles du genre, dans un pays où la publication de revues est soumise à des règles très strictes. C’est, au départ, le bulletin d’une association, ce qui lui donne un statut particulier. L’Association à but non lucratif, ce statut créé en France dès 1901 et qui sera un vecteur formidable pour la liberté d’expression, permet de publier des bulletins réservés en principe aux membres, échappant à la surveillance du ministère de l’Intérieur et à la Commission paritaire. Giff-Wiff devient ensuite un « prozine » qui entre dans le giron d’un éditeur établi mais à la marge, les éditions Jean-Jacques Pauvert. Ce schéma sera le même pour son successeur direct, Phénix.
Phénix (1966-1977) est né en 1966 d’une scission de certains membres du CELEG qui fondent la SOCERLID et, devant le développement incroyable de la bande dessinée notamment en Belgique, en France et aux États-Unis, souhaitent publier des articles sur les courants contemporains et non plus seulement d’un Âge d’Or fantasmé. Entretiens avec des auteurs, analyses, bibliographies, comptes rendus de festival et notes de lectures sont au sommaire de chaque numéro. D’abord publié par les éditions SERG, Phénix finit chez Dargaud.
Ran Tan Plan (1966-1978), né la même année, sera le pendant belge de Phénix et proposera un contenu avec une tendance logiquement tournée vers l’histoire de la bande dessinée belge et ses plus grands auteurs, dont il rééditera des extraits de récits épuisés depuis longtemps.
Schtroumpf, publié dès 1969 par un jeune lycéen grenoblois de 17 ans, Jacques Glénat-Guttin, qui créera cinq ans plus tard sa maison d’édition professionnelle, donnera l’illusion que l’on peut commencer comme fan-éditeur et devenir l’un des plus gros éditeurs de la bande dessinée. Mais ce sera l’exception qui confirme la règle inverse. Schtroumpf deviendra Schtroumpf-Les Cahiers de la bande dessinée puis Les Cahiers de la bande dessinée tout court.
Submarine, publié au même moment par Marc Minoustchine (plus tard l’un des fondateurs de la maison d’édition new-yorkaise NBM), va connaître une dizaine de numéros, proposant lui aussi des entretiens d’auteurs avant d’éditer quelques albums, dont le premier, d’un débutant qui s’appelle Enki Bilal, en 1975.
Cette première génération de fanzines est exclusivement intéressée par les entretiens d’auteurs, l’analyse des œuvres, la recherche bio-bibliographique, tant le patrimoine de la bande dessinée offre un champ totalement vierge et inconnu. Il s’agit de défricher l’histoire du genre, d’identifier ses courants et ses grands auteurs. Bien entendu, l’amateurisme et l’enthousiasme des contributeurs vont jeter les bases d’une recherche historique partiale et partielle, qui mettront longtemps à être remises en cause.
Genug a écrit:Pas illustrée ? Mais si.stephane_ a écrit:Beaucoup de gens (dont moi) avaient boudé la première version pour cause d'austérité : cet objet, petit, épais, pas illustré, ne faisait guère envie.
stephane_ a écrit:Genug a écrit:Pas illustrée ? Mais si.stephane_ a écrit:Beaucoup de gens (dont moi) avaient boudé la première version pour cause d'austérité : cet objet, petit, épais, pas illustré, ne faisait guère envie.
Je voulais dire "pas assez" illustré (à mon goût)
jb681131 a écrit:A noter par rapport à la précédente édition le changement de format, de couleur de couverture et de pagination.
Mais surtout le changement du sous-titres de "1971-1993" à "1971-1996".
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