Oui, ces deux récits m'ont toujours mis mal à l'aise. S'agissait-il d'un exutoire, d'une forme de thérapie cathartique pour l'auteur ? Il n'est pas interdit de le supposer...pierryves a écrit:C'est vrai qu'il y a des choses alléchantes ("Agorn" en tête), mais beaucoup que ne le sont pas ("Sable", "Rut", "4 Pages d'énergie pure"...) et des choses que je hais ("Le Garage à vélos" et "Plein le froc").
J'étais ado quand je les ai lus pour la première fois, je lisais beaucoup de polars durs mais le gore n'était pas ma tasse de thé. J'ai encaissé et je suis passé à autre chose, ça ne m'a pas traumatisé. Mais en fonction du psychisme des lecteurs, ces histoires courtes pourraient avoir des effets néfastes et délétères sur certaines âmes notamment parmi les plus vulnérables.