Anianka a écrit:deja je suis pas à paris, et de 2, si l'essence devient tellement cher que la voiture personnelle devient difficilement inutilisable il restera :
- covoiturage
- bus
- télétravail (pour els boulots ou c'est possible)
- voiture électrique
- train
- entreprise de navettes financées par les entreprises pour faire el trou des villages mal déservis
- et sans doute plein de nouveaux trucs qui ne se sont pas encore développés et auquel je ne pense pas (et auquel d'autres penseront et se feront masse pognon grace a ca)
et si une entreprise voudra embaucher, ca deviendra un critère pour les employés autant que le salaire, les primes, vacances, ...
c'est juste une mutation normale des modes de transport
Et pour ceux qui les conduisent...les bus ?
Pas mal de collègues se sont éloignés des dépôts car le loyer devenait trop cher. Du coup ils sont désormais a 50 bornes voir plus...et lorsque tu dois être au boulot à 4h15...difficile de trouver une de tes alternatives.
Et idem pour ceux finissant à 2h00 du matin leur service.
Alors certes tu va me dire "quelle idée de partir vivre aussi loin de son lieu de travail ? "
C'était bien avant la flambée du prix du carburant.
Et pour certains c'était aussi fuir la population qu'ils transportent.
Et non ce n'est pas avec leur "vraie" paye, pas celle soit disant perçu selon les médias qui ne font pas leur travail d'enquête ni ne tente de passer ne serait-ce qu'une journée dans la peau d'un conducteur de bus, que les collègues peuvent se loger décemment,en proche banlieue.
Tiens...du coup je suis dans le thème du sujet.
Si il y a tant de soucis en ce moment dans le transport de personnes, c'est que le métier n'est plus du tout payer à la valeur des sacrifices consentis par les travailleurs.
Et celui qui me causera prime aura mon poing dans la gueule.
Les primes ne sont en rien du salaire, et souvent bien trop difficile a acquérir