Coup de gueule 4

[LEAUTAUD]

Message précédent :
Tu pratiques l'almanach Vermot , Xcorion ?

Ton " Rubis-con " me paraît un ovni dans ta prose habituelle , il a tout de l'aléa ( jacta est) !

edit : poutré par Domi !
Je rends donc à Domi ce qui appartient à Domi

[choregraphe]

coup de gueule contre ca :

Avec la carte Futureo, fournie par Mastercard, le client se verra reverser au moment de régler ses achats, y compris sur internet, entre 0,3% et 0,5% sur un contrat d’assurance vie, Futureo Vie. Cette somme grimpera jusqu’à 20% des achats, s’ils sont réalisés dans les enseignes partenaires du programme Futureo.Groupe Flo (Brasseries Flo, Hippopotamus, Bistro Romain, etc) a par exemple choisi de reverser aux possesseurs de la carte de paiement 10% de l’addition dans ses restaurants.

J'ai entendu ces gros cons, hier matin alors je vais vous le faire simple

Intervenant 1
Oui nous sommes trop taxé nous les patrons, les charges sont enormes la protection sociale en france coute une fortune Etc....
La baisse de la TVA, nous a permis de créer 25000 emplois ( ce qui met l'employé a 100 000 € piece/an, certains sont heureux d'apprendre qu'ils viennent d'etre augmenté )

Intervenant 2
et nous lancons cette nouvelle formule de carte permettant de se créer une retraite complémentaire sur chacun de vos achats de facon indolore et vous permettrat d'avoir au bout de 20 ans environ 15 K€ de retraite capitalisée.

En gros il peut pas donner 0.1% de charges supplémentaire pour sauver les retraites, mais il peut donner 10% a un fond de pension

Ce monde est fou, completement fou
ce qui me troue c'est que l'on fasse la promo de se genre de truc ( arnaque )

[kbd63]

Angleterre: [texte et liens transmis par une source souhaitant rester anonyme]

Deux universités (ou plus précisément les adhérents du syndicat UCU) ont voté la grève: Westminster et la prestigieuse University College London (UCL):

* http://www.timeshighereducation.co.uk/s ... 411348&c=1
* http://news.bbc.co.uk/1/hi/england/london/8635849.stm

En ce qui concerne UCL, le problème concerne la restructuration du département de science de la vie qui devrait faire face a une réduction de 10% de personnels.

* http://ucllifesciences.wordpress.com/
* http://www.ucl.ac.uk/unions/UCU/

D'après la section UCU de UCL, les raisons financières invoquées par l'université sont injustifiées dans la mesure ou UCL a été plutôt épargnée par les coupes budgétaires.
L'Université de Birmingham aurait abandonné son plan initial de supprimer le département de sociologie, qui serait maintenu au prix d'une restructuration:

* http://www.timeshighereducation.co.uk/s ... 411318&c=1

Actions étudiantes contre l'augmentation des frais d'inscriptions:

Les étudiants de la confédération étudiante NUS (National Union of Students) font signer un texte aux candidats députés qui les engage à ne pas augmenter les frais d'inscriptions après les élections. NUS menace de boycotter les députés ne signant pas.

* http://www.timeshighereducation.co.uk/s ... 411328&c=2
* http://news.bbc.co.uk/1/hi/education/8633358.stm

La NUS est une confédération d'union d'étudiants, regroupant toutes les tendances politiques (des conservateurs a l'extrême gauche) mais est souvent considérée comme un tremplin pour une carrière politique au Labour. Les tendances plus à gauche accusent NUS d'avoir renoncer à demander l'abolition des frais d'inscriptions. Plus grave, NUS deviendrait de moins en moins démocratique et se transformerait en chaîne de distribution marchande, voir par exemple :

* http://conventionagainstfeesandcuts.wor ... /#more-298

Parmi les trois grands partis se présentant aux élections, seul les libéraux-démocrates proposent l'abolition des frais d'inscriptions a l'université, mais d'ici l'horizon 2016.

Et il y a environ 1an:

mardi 14 juillet 2009 - 06:39

Grèves en Angleterre : les ouvriers du bâtiment au centre de la lutte de classe...

"Nous publions ci-dessous la traduction d’un article réalisé par World Révolution, organe de presse du CCI en Grande-Bretagne."

On nous dit tous les jours que nous devons nous serrer la ceinture, accepter les suppressions de poste, les diminutions de salaire et de pension de retraites, les cadences accélérées au travail, pour le bien de l’économie nationale, pour l’aider à faire face à la récession qui s’approfondit. A British Airways, ils ont même poussé les ouvriers à travailler pour rien pendant tout un mois, en brandissant la menace du chômage. L’idée de lutter contre ces attaques incessantes se heurte à la peur terrible du chômage et à la campagne médiatique sans fin qui nous dit que la lutte ne peut empêcher nos conditions de vie et de travail d’empirer.

Mais, dans les premières semaines de juin, un événement est venu clairement démontrer que le poids de la passivité et de la peur n’était pas une fatalité. Les travailleurs du métro londonien ont fait grève pour défendre 1000 emplois menacés. Les ouvriers de la Poste à Londres et en Ecosse ont lancé des luttes contre les licenciements, les contrats rompus et les suppressions de postes. Et surtout, au même moment, 900 travailleurs du bâtiment de la raffinerie de Lindsey arrêtaient le travail par solidarité avec 51 de leurs camarades qui étaient licenciés. Cette lutte a explosé dans une série de grèves sauvages par solidarité dans les plus grands sites de construction du secteur énergétique en Grande-Bretagne, quand Total a jeté 640 grévistes le 19 juin. Ces luttes montrent que nous ne devons pas accepter notre « destin ».

"Le nationalisme contre les ouvriers et les ouvriers contre le nationalisme"

Au début de l’année, les ouvriers de la raffinerie de Lindsey avaient été au cœur d’une vague semblable de grèves sauvages, à propos de licenciements d’ouvriers sur le site. Cette lutte, à ses débuts, était freinée par le poids du nationalisme, symbolisé par le slogan « des jobs anglais pour les ouvriers anglais » et par l’apparition de drapeaux de l’Union Jack dans les piquets de grève. Quelques-uns des ouvriers en grève disaient qu’on ne devait pas employer d’ouvriers étrangers alors que les ouvriers anglais étaient licenciés. La classe dominante a utilisé ces idées nationalistes à plein, exagérant leur impact et en présentant cette grève comme étant contre les ouvriers italiens et polonais employés sur le site. Cependant, il a été mis soudainement et de façon imprévisible fin à cette grève, quand ont commencé à apparaître des banderoles appelant les ouvriers portugais et italiens à rejoindre la lutte, affirmant « Ouvriers du monde entier, unissez-vous » et que les ouvriers polonais du bâtiment ont rejoint les grèves sauvages à Plymouth. Au lieu d’une défaite ouvrière longuement préparée, avec des tensions croissantes entre ouvriers de différents pays, les ouvriers de Lindsey ont obtenu 101 emplois de plus, les ouvriers portugais et italiens gardant leur emploi, gagné l’assurance qu’aucun ouvrier ne serait licencié et sont rentrés unis au travail.

La nouvelle vague de luttes, s’appuyant sur cette bonne dynamique, a pu éclater sur une base d’emblée beaucoup plus claire : solidarité avec les ouvriers licenciés. 51 ouvriers étaient licenciés ou, plus exactement, leurs contrats n’étaient pas renouvelés. Au même moment, un autre employeur embauchait des ouvriers. Les ouvriers licenciés ont été avertis qu’on n’avait plus besoin d’eux par des post-it sur leur carte de pointage ! Cela a suscité une réponse immédiate de la part de centaines d’ouvriers, arrêtant le travail par solidarité. Il y avait le sentiment que ces ouvriers étaient attaqués à cause du rôle qu’ils avaient joué dans la grève précédente. Le 19 juin, Total, le propriétaire du site, prenait la mesure inattendue de licencier 640 grévistes. Il y avait déjà eu des grèves de solidarité dans d’autres usines, mais avec ces nouvelles de nouveaux licenciements, des grèves ont éclaté dans tout le pays. « Environ 1200 ouvriers en colère se rassemblaient aux principales entrées hier, agitant des panneaux qui fustigeaient ‘ les patrons cupides’. Des ouvriers des centrales électriques, des raffineries, des usines dans le Cheshire, le Yorkshire, le Nottinghamshire, l’Oxfordshire, en Galles du Sud et Teesside arrêtaient le travail pour montrer leur solidarité ». (The Independent du 20 juin). Le Times rapportait « qu’il y avait aussi des signes que la grève s’étendait à l’industrie nucléaire, puisque EDF Energy disait que les ouvriers contractuels du réacteur de Hickley Point dans le Somerset avaient arrêté le travail. »

Face à ce mouvement, il est plus difficile pour les médias de jouer la carte nationaliste. Ce serait surprenant que le nationalisme ne pèse pas sur quelques ouvriers et les médias savent comment concentrer l’attention sur eux. Le website de la BBC montre une photo d’un piquet avec des ouvriers tenant une banderole disant : « Mettez les ouvriers anglais d’abord, pas en dernier », tandis que le Guardian du 20 juin interviewait un gréviste qui disait : « Nous n’avons rien contre les ouvriers étrangers en tant que tels, mais nous avons le sentiment qu’ils devraient venir en complément de ce que nous ne pouvons fournir. » Mais les journaux de droite tels que le Times et le Daily Telegraph qui d’habitude utilisent à plein ce genre de sentiments, n’en faisaient aucune mention et se concentraient plutôt sur l’action engagée par Total et le danger que ces luttes ne s’étendent. La classe dominante est extrêmement préoccupée par cette lutte, justement parce qu’elle ne peut pas la dévoyer si facilement dans une campagne nationaliste. Elle a peur qu’elle puisse s’étendre à tout le secteur de la construction en général et peut-être même au-delà. Les ouvriers peuvent voir que si Total arrive à licencier des ouvriers en grève, d’autres patrons prendront la suite. La question de la grève est clairement posée comme une question de classe, qui concerne tous les travailleurs.

La vision de la solidarité avec les travailleurs étrangers confirme la nature de classe évidente de cette lutte. Comme le dit clairement un ouvrier licencié : « Total réalisera bientôt qu’ils ont libéré un monstre. C’est honteux que cela soit arrivé sans aucune consultation. C’est aussi illégal et ça me rend malade. S’ils (Total) s’en tirent, le reste de l’industrie s’écroulera et fera du dégraissage. Les travailleurs seront décimés et les ouvriers non qualifiés étrangers seront embauchés au moindre coût, traités comme de la merde et renvoyés quand le travail sera fini. Il y a une sérieuse possibilité que l’électricité soit coupée à cause de cela. Nous ne pouvons pas rester passifs et voir des ouvriers jetés comme des habits sales. » (The Independent du 20 juin).

Cette indignation des ouvriers est celle de toute la classe ouvrière. Pas seulement à cause de ce que fait Total, mais de toutes les autres attaques qu’ils subissent ou voient. Des millions d’ouvriers sont en train d’être jetés tout à fait comme des déchets par la classe dominante. Les patrons s’attendent à ce que les ouvriers acceptent des réductions de salaire ou même travaillent gratis et qu’ils en soient contents ! Le mépris de Total est celui de toute la classe capitaliste : « Comment les ouvriers osent-ils être si arrogants ? Ils doivent être défaits ! »

"La nécessité d’une lutte commune"

Quoiqu’il arrive dans les prochains jours, cette lutte a démontré que les ouvriers n’ont pas à accepter les attaques, qu’ils peuvent résister. Plus que cela, ils ont vu que la seule façon de nous défendre nous-mêmes est de nous défendre les uns les autres. Pour la deuxième fois cette année, nous avons vu des grèves sauvages de solidarité. Il y a des rapports qui disent que les grèves de Lindsey ont envoyé des piquets volants au Pays de Galles et en Ecosse. Il y a des sites de construction dans tout le pays, en particulier dans la capitale, où les sites olympiques regroupent un grand nombre d’ouvriers de plusieurs nationalités. Envoyer des délégations sur ces sites, appelant à l’action solidaire, serait le message le plus clair que c’est une question qui concerne le futur de tous les travailleurs, quelle que soit leur origine. Les ouvriers de la poste et du métro de Londres essaient aussi de se défendre contre des attaques similaires et ont tout intérêt à former un front commun.

Le vieux slogan du mouvement ouvrier – travailleurs du monde entier, unissez-vous – est souvent tourné en ridicule par les patrons qui ne peuvent pas voir plus loin que leurs intérêts nationaux. Mais la crise mondiale de leur système rend de plus en plus évident le fait que les ouvriers ont les mêmes intérêts partout : nous unir pour défendre nos conditions de vie et pour mettre en avant la perspective d’une autre forme de société, basée sur la solidarité à l’échelle mondiale et la coopération.

Certe la source est partisane, mais les faits sont là, les anglais savent faire grève.

[Yoda33]

Pourquoi, c'est une grande vertu de faire grève ?
Les dockers de Marseille sont en train de saborder leur boulot ... et celui de ceux qui dépendent de l'activité du port par exemple ...

[kbd63]

Faire la grève n'est en aucune manière une vertu, mais quelques fois la seule issue possibles pour d'aucun. En 36 c'était la seule issue pour rompre avec l'esclavage industriel entre autre.Lorsque vous n'avez plus rien à perdre si ce n'est votre vie, quelle importance?

[LEAUTAUD]

Ton " Rubis-con " me paraît un ovni dans ta prose habituelle , il a tout de l'aléa ( jacta est) !

On est au bistrot: faut savoir varier, et apprécier les tasses posées comme les soucoupes volantes. (gros gros niveau ce soir. )

L'état se poser ! Fichtre !
Votre dépêche de l'agence Tass posée sous mes yeux me rappelle vos coupes soulantes !

[pajan]

Bon impôts, taxes, déficit, gaspillage et tutti quanti... Par contre, jamais de réflexion sur les services que l'état rend. Personne pour dire : supprimons tel ou tel service (l'entretien des routes secondaires, les alloc', les bourses, les aides sociales, etc) pour économiser. En fin de compte, gaspillages pris en compte, nous vivons au-dessus de nos moyens (depuis plus de 30 ans), ayons l'honnêteté de l'accepter et de prendre les décisions qui s'imposent.

Les Anglais s'apprêtent à réduire (en gros) de 25% les budgets des ministères (et donc les services), avec des augmentations d'impôts en plus. Pas de débat, leur situation budgétaire est si pourrie que c'est ça ou le régime grecque.

il n'y a pas de débat parce que dans la culture anglo-saxonne le british ne descend pas (plus) dans la rue et que depuis cette chère Thatcher , il n'y a plus de syndicats (grêve des mineurs dans les années 80, plus d'un an de piquets de grêve, des mineurs qui crevaient de faim), elle a mis tout le monde à genoux, depuis une société qui va mal, ultra libéral, les retraites ont fondu, un " national health" (sécu) moribond.
Qu'on vienne pas me citer en exemple un pays ou les gens crèvent parce qu'ils sont sur liste d'attente pendant plus d'un an pour certaines opérations alors qu'en france tu passerais sur le billard dans la semaine

Raté, le constat, il n'est qu'a voir les étudiants!!!!

c'est la 1ere fois depuis 1968 qu'ils descendent dans la rue, donc désolé mais ça reste tout à fait exceptionel, maitenant au sujet de l'article posté plus haut tant mieux si les syndicats britanniques et les ouvriers reprennent du poil de la bête, mais franchement depuis vint-cinq ans que les anglais mangent de la merde il était bien temps!

[ulys]

Encore un qui a gouté à leur pudding !

[pajan]

[HOCHET Gabriel]

Appeler ça de la merde, en parlant de la bouffe anglaise, c’est plutôt gentil, non ?...







Existe-il quelque chose de plus agréable que de faire chier les anglais.... ?

[kbd63]

Existe-il quelque chose de plus agréable que de se faire tondre la laine sur le dos.... ?









Think about!.........

[LEAUTAUD]

Je sais pas si c'est le temps mais aujourd'hui je pousse ma gueulante :
- Dans le dernier numéro du Canard Enchainé un des critiques ciné se fends , pour qualifier un film considéré comme un peu bâteau par lui , de l'expression " personnages de BD "...j'adore l'équipe de ce journal , ça me fait d'autant plus râler quand je lis une telle bêtise !
- Un tribunal de prud'hommes vient de justifier des licenciements pour des salariès qui s'auto-qualifiaient de " Club des néfastes " sur face-book pour dénoncer la discipline dans leur entreprise...
La liberté d'expression sur la toile beaucoup de gens rêvent de la contrôler . Il s'agit là d'un empiètement abusif sur l'espace de l'expression publique (il y aura appel , et Cour de Cass' s'il le faut , reste donc un espoir) .
Ce matin sur France-Info j'ai entendu que l'Adopi c'est 2000 mails d'avertissements par jour , et bientôt une obligation d'acheter des anti-virus appropriés pour qu'autrui ne pirate pas ton ordinateur...tu vas payer pour " le cas où "...sont devenus dingues , ou quoi ?

[Brian Addav]

le coup des anti-virus, c'est de la connerie.
c'est la seule "pré-parade" qu'ils ont trouvé aux futurs procès des mecs qui vont montrer que la loi est tout bonnement inapplicable.

[LEAUTAUD]

Je me disais aussi , c'était trop " énorme " cette soit-disant obligation. Merci pour l'info , Brian !

[Juho]

Nan mais franchement, le coup des antivirus Hadopi , la bonne blague

Les mecs qui s'y connaissent un brin en piratage, ils les neutraliseront en une matinée

Et puis ça fait des années qu'on peut télécharger parfaitement anonymement par un proxy situé à l'étranger ou un réseau P2P crypté, c'est l'exemple même d'une loi qui est obsolète avant même d'être appliquée.

Les mails, ils sont envoyés aux malheureux de 12 ans qui ont téléchargé un clip de Rihanna parce qu'ils ont pas les thunes pour acheter le single, mais sûrement pas aux vrais pirates

[CherryTree]

le coup des anti-virus, c'est de la connerie.
c'est la seule "pré-parade" qu'ils ont trouvé aux futurs procès des mecs qui vont montrer que la loi est tout bonnement inapplicable.

C'est bien pire que ca, en realite.
Sans refaire tout le debat de l'hadopi ici ( ) ce que le legislateur impose desormais, c'est l'installation de "logiciels de securisation" (donc pas des antivirus, meme s'ils peuvent aussi faire ce job) de l'acces ADSL, et notamment wifi.
Cela dans le but d'evacuer l'argument (ou l'excuse) du piratage pour un internaute dont l'adresse Internet (IP) se serait fait prendre par la patrouille hadopi.

Ca en serait presque cocasse. 3 possibilites:

1) Vous ne telechargez pas illegalement de musique, series tv, etc. Vous n'utilisez pas de logiciels p2p. Bref, vous vous en fichez d'hadopi comme de l'an 40
On vous demande quand-meme d'acheter et de payer un abonnement pour un "logiciel de securisation" qui verifiera bien que vous ne faites pas....ce que de toutes facons vous ne faites pas!!

2) Vous telechargez du contenu illegal
vous vous faites prendre, vous payez une amende.
Que vous possediez ou non le logiciel de securisation ne change rien: si vous ne l'avez pas, on vous avait prevenu; et si vous l'avez...ca prouve juste que c'est vous le coupable!

3) On vous pirate la ligne pour telecharger du contenu illegal
Idem que 2, vous payez une amende avec ou sans logiciel.

Je me disais aussi , c'était trop " énorme " cette soit-disant obligation. Merci pour l'info , Brian !

Malheureusement, tout cela est bien reel!

[CherryTree]

Les mails, ils sont envoyés aux malheureux de 12 ans qui ont téléchargé un clip de Rihanna parce qu'ils ont pas les thunes pour acheter le single, mais sûrement pas aux vrais pirates

+1
C'est comme ca que cela va se passer, c'est sur

[Juho]

Les parents

[johnkalak]

Enfin les mails je n'ai toujours pas compris comment ils vont les envoyer...
Je suppose qu'ils comptent les adresser à la BAL fournie par le FAI mais qui utilise ça ???

S'ils m'envoient un mail sur mon adresse Free je suis pas près de le lire
Sérieusement maintenant chez la plupart des fournisseurs tu fournis une adresse mail de contact. Je suppose que c'est cette adresse qu'ils utilisent.

[Juho]

J'ai un compte chez plusieurs services de messagerie, gmail, msn, etc...

Mais malgré tout, je me sers encore en parallèle de mon adresse en wanadoo.fr ... Vestige historique du temps où c'était pas encore Orange

[e m]

Bientôt il faudra allez vivre en RPC pour pouvoir surfer librement, sans mouchard dans le pc...
Quand vous irez voter en 2012, n'oubliez pas à qui on doit cette loi (entre autres)