choregraphe a écrit:l'A400M n'a pas de moteur a ce jour d'ou les retards
3 essais le banc de marseille réduit en bouillie avec le moteur et deux essais en espagne l'helice commence a tourner avant que le moteur n'explose
Brian Addav a écrit:de toute façon il est pas construit l'epr ?
bon, alors.
c'est comme l'a400m... c'est des broutilles tout ça!
Contrôle commande de l’EPR : quel est le problème?
Le 03 novembre 2009 par Ana Lutzky
EPR de Flamanville en chantier
© DR
Les critiques de trois autorités de sûreté sur la conception de l'EPR portent un nouveau coup dur à la filière nucléaire française.
Les autorités de sûreté du nucléaire française (ASN), britannique (HSE/ND) et finlandaise (STUK) ont émis lundi d'importantes réserves sur le "contrôle-commande" (ou système de pilotage) du réacteur développé par le français Areva et l'allemand Siemens.
La faille concerne l’indépendance des systèmes de sécurité. Sur un réacteur fiable à 100%, un mécanisme qui tombe en panne est immédiatement remplacé par un autre dispositif prenant le relais. Mais sur l’EPR d’EDF, les deux systèmes sont totalement dépendants. Le risque est qu'en cas de panne, l'exploitant perde le système de secours censé se mettre en route... en même temps que le système d'exploitation normal devenu défaillant ! « L’ensemble des concepts de sûreté d’un réacteur nucléaire repose sur des logiques de redondance et d’indépendance », précise le spécialiste Michaël Schneider interrogé sur les ondes d’Europe 1. Par exemple, un système de refroidissement a toujours au moins un suppléant. «Si vous avez toute une logique de système défaillante, une autre logique de système se met en place », répète Michaël Schneider.
un defaut presque grossier
"L’indépendance d’un système de secours vis-à-vis du système dont il doit pallier le dysfonctionnement est une condition basique de la sûreté", réagit la Criirad. "Il s’agit d’un défaut de conception presque grossier et d’autant plus incompréhensible qu’il concerne le système de contrôle commande, un élément majeur de la sûreté qu’un responsable de l’ASN qualifie d’épine dorsale de l’installation."
Par ailleurs, le communiqué officiel indique que les autorités de sûreté nucléaire britannique, finlandaise et française ont découvert le problème simultanément et chacune de leur côté." Cela paraît peu probable et demande en tout cas à être vérifié", indique la Criirad. Un opportunisme multilatéral, profitant du changement de patron à la tête d'EDF (Henri Proglio succéde à Pierre Gadonneix à la fin du mois), à l'oeuvre pour pointer du doigt un dysfonctionnement de sûreté?
Le travail à fournir pour remédier aux failles du logiciel informatique est d'une telle ampleur que l'ASN doute de l'aptitude d'EDF et d'Areva à le mener à bien. L'autorité les enjoint d'ores et déjà à examiner un système de pilotage alternatif. Areva a promis de trouver une solution d’ici la fin de l’année.
prejoris a écrit:[...] Pour défendre l'organisation de leur travail (je suppose parce que je n'ai trouvé aucune justification à ce mouvement sur internet) [...]
Brian Addav a écrit:Coup de gueule contre ces abrutis de Deezr qui se mettent à la pub
Le Complot a écrit:S'il n'y avait que ça!
Le summum du ridicule reste les fragments de morceaux avoisinant les 30 secondes!
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 2 invités