Cinéma : les films en salle

[e m]

Message précédent :

Marrant, parce que rien qu'en lisant : drame familial sur fond de misère sociale (travailleurs pauvres
Je me suis dit que c'est vraiment pas mon genre de film

[Julien Despreux]

Va voir "les herbes sèches"avec Ece Bagci.

Déjà vu.

Ça t'a plut?

Du verbe "pluter"

Presque, j'aurais plutôt privilégié le verbe ploitre, intransitif irrégulier du 3ème groupe, que pluter, verbe régulier du 1er groupe !

[superscream]

Trop cool !

[Mr Degryse]

De la télé sur grand écran. Quel cauchemar. Aucune gravitas, aucune ne fut-ce qu'intention dans la bande-annonce, de tentative de vaguement teaser une histoire, un sens, même un évènement. Du tout-venant.

[superscream]

De la télé sur grand écran. Quel cauchemar. Aucune gravitas, aucune ne fut-ce qu'intention dans la bande-annonce, de tentative de vaguement teaser une histoire, un sens, même un évènement. Du tout-venant.

attend faut voir a la sortie du film avant de critiquer

[wamuu]

Tu peux aussi aller voir de vrais bons films, pour changer, comme :

Mais à priori, il n'est pas encore sorti en France... C'est dommage, car c'est un film passionnant, porté par sa ribambelle d'acteurs tous excellents !

[nexus4]

Le photoshopage de l'affiche pique un peu. La grosse cavalerie.

[Mr Degryse]

Mega flop et surtout critiques assez tièdes pour être poli.

[euh... si vous le dites]

Mega flop et surtout critiques assez tièdes pour être poli.

Par contre, grosse attente en matière de film américain avec :

[Funkyyy]

Mega flop et surtout critiques assez tièdes pour être poli.

Aucune idée mais il ne manque personne en acteurs du moment, à part Pedro Pascal.

[nexus4]

J'ai regardé la bande annonce de Eden, en fait on a eu la version BD l'année dernière.
Il y a des plans qui sont les même dans le film et la BD.



Quand ils débarquent sur Floreana en 1929, Friedrich Ritter et Dore Strauch pensent avoir trouvé l'endroit idéal pour passer leur vie. Inhabitée et dôtée d'une faune et une flore extraordinaire, l'île a des allures d'Eden pour ce médecin fanatique de Nietzche et son ancienne patiente qui ont choisi de vivre isolé de la société des Hommes.
Pourtant, l'idylle sera de courte durée. Ayant eu vent de leur entreprise, et attirée par ce mode de vie si singulier, la famille Wittmer rejoint l'île en 1932. Malgré un accueil glacial, chacun poursuit sa vie paisiblement et de son côté. Mais c'est à l'arrivée d'une autoproclamée Baronne et de ses deux amants que les choses se gâtent vraiment...
Lutte pour le contrôle l'île, jalousie entre « voisins », disparitions mystérieuses, l'île de Floreana, si paisible jusque-là, devient le théâtre d'une comédie aussi étrange
que macabre.
Michaël Olbrechts revient sur la mystérieuse « Affaire des Galapagos » dans un huis-clos à exotique palpitant.

[satanpetitcoeur]

Mega flop et surtout critiques assez tièdes pour être poli.

Par contre, grosse attente en matière de film américain avec :

mais qu'est-ce qu'il se passe avec les affiches de film, en ce moment ? c'est quoi cette horreur ?

[toine74]

J'ai regardé la bande annonce de Eden, en fait on a eu la version BD l'année dernière.
Il y a des plans qui sont les même dans le film et la BD.

...

Ces ressemblances doivent provenir du fait que les auteurs ont dû se baser sur la même iconographie de départ. Cette histoire vraie avait eu un vrai retentissement international à l'époque et il existe de nombreux articles/photos et même un film N&B/meut tourné sur place.

[Morti]

:lol:
Marrant, parce que rien qu'en lisant : drame familial sur fond de misère sociale (travailleurs pauvres
Je me suis dit que c'est vraiment pas mon genre de film

Idem pour moi, il m'a perdu après la première phrase...

Mais je ne critique pas, il en faut pour tous les goûts et les respecter mais cet aspect du cinéma ne m'intéresse pas, on a les infos ou les documentaires pour ça.

[Morti]

Mega flop et surtout critiques assez tièdes pour être poli.

Par contre, grosse attente en matière de film américain avec :

mais qu'est-ce qu'il se passe avec les affiches de film, en ce moment ? c'est quoi cette horreur ?

Tiens à ce sujet, a-t-on jamais fait un thread sur les plus belles affiches de film ???
Ca pourrait être sympa...

[satanpetitcoeur]

bonne idée

[crepp]

Mega flop et surtout critiques assez tièdes pour être poli.

Par contre, grosse attente en matière de film américain avec :

Si je n'ai pas trop la flemme (jardinage cet après midi), c'est prévu de le voir ce soir.

[superscream]

voila pour les fans de Hideo Kojima

[crepp]

"Une bataille après l'autre" de Paul Thomas Anderson
"Ancien révolutionnaire désabusé et paranoïaque, Bob vit en marge de la société, avec sa fille Willa, indépendante et pleine de ressources. Quand son ennemi juré refait surface il va devoir affronter les consequences de son passé"

Le retour du grand Paul Thomas Anderson avec un budget dingue filé par la Warner, on parle de plus de 130 millions( ils espèrent des oscars).
Ce qui est bien avec Paul Thomas Anderson, c'est qu'il utilise les moyens pour filmer, et dans son film il y a des moments de toute beauté (la séance d'intro, la séquence dans la maison de Del Toro).
La première chose qui m'est venu en sortant du film c'est de me dire qu'Ari Aster (celui qui a fait "Edington") devrait voir ce film, il comprendra ce que c'est de tirer des balles et de toucher sa cible. Son dosage d'excès, d'humour, d'amour, d'action , décrit politiquement cette Amérique coupée en deux.
Anderson arrive à faire une film d'action tout en cassant les codes du genre, rien que dans le rythme du film, c'est là que l'on retrouve le plus son style.
Bien entendu difficile de ne pas parler du casting, alors beaucoup regarde vers Di Caprio, mais perso, j'ai beaucoup aimé Chase Infiniti (qui joue la fille) et que dire de la master class de Sean Penn !
Maintenant il y a quand même une longueur sur la fin du film, il y a un fond musical style piano "grinçant" ultra répétitif, et pour être franc je préfère le cynisme de "there will be blood" que l'espoir montré dans ce film.

[Thierry_2]

"Une bataille après l'autre" de Paul Thomas Anderson
"Ancien révolutionnaire désabusé et paranoïaque, Bob vit en marge de la société, avec sa fille Willa, indépendante et pleine de ressources. Quand son ennemi juré refait surface il va devoir affronter les consequences de son passé"

Le retour du grand Paul Thomas Anderson avec un budget dingue filé par la Warner, on parle de plus de 130 millions( ils espèrent des oscars).
Ce qui est bien avec Paul Thomas Anderson, c'est qu'il utilise les moyens pour filmer, et dans son film il y a des moments de toute beauté (la séance d'intro, la séquence dans la maison de Del Toro).
La première chose qui m'est venu en sortant du film c'est de me dire qu'Ari Aster (celui qui a fait "Edington") devrait voir ce film, il comprendra ce que c'est de tirer des balles et de toucher sa cible. Son dosage d'excès, d'humour, d'amour, d'action , décrit politiquement cette Amérique coupée en deux.
Anderson arrive à faire une film d'action tout en cassant les codes du genre, rien que dans le rythme du film, c'est là que l'on retrouve le plus son style.
Bien entendu difficile de ne pas parler du casting, alors beaucoup regarde vers Di Caprio, mais perso, j'ai beaucoup aimé Chase Infiniti (qui joue la fille) et que dire de la master class de Sean Penn !
Maintenant il y a quand même une longueur sur la fin du film, il y a un fond musical style piano "grinçant" ultra répétitif, et pour être franc je préfère le cynisme de "there will be blood" que l'espoir montré dans ce film.

il n'y a pas de mot, il est plus qu'exceptionnel
c'est le meilleur film que j'ai vu depuis longtemps, rempli de références, d'allusions, de petits détails qui enrichissent le propos:

[Révéler] Spoiler:

l'un des christmas adventurers qui fait ce qui ressemble très fort à un salut nazi, ce qui fit ensuite écho à la fin... une chambre à gaz et un four crématoire
di Caprio stone et largué en peignoir, comment ne pas penser au Dude ?
La scène de fuite sur les toits, entre les jeunes qui sautent comme des yamakasis et di Caprio en anti Tom Cruise qui galère, avant une allusion directe lorsque Del Toro (putain de charisme) demande à di Caprio de sauter en marche
Willa qui détruit en deux phrases l'assurance virile de Sean Penn: t-shirt moulant et talonnettes
les mimiques de Sean Penn, qui évoquent de Niro, l'allure coincée entre Forrest Gump et GI Joe

[crepp]

"Sirat" d'Oliver Laxe
Au cœur des montagnes du sud du Maroc, Luis, accompagné de son fils Estéban, recherche sa fille aînée qui a disparu. Ils rallient un groupe de ravers en route vers une énième fête dans les profondeurs du désert.

Filmer un road trip reste toujours la même chose dans un sens, tu t'y retrouves ou tu restes sur le coté. Je suis plutôt dans la seconde catégorie, car même si en général je suis un adepte du répétitif, la vision de trois véhicules roulants dans le désert au lever du soleil, en journée, au coucher, de nuit ...et même avec une musique hypnotique, c'est beau mais c'est quand même trop.
Maintenant je me suis pris "les deux moments clefs" du film dans la gueule, et j'ai été KO, cette radicalité est quand même le point important du film. A un moment j'ai fermé les yeux pour un passage, je n'ai pas pu regarder.
Bref, mitigé, pas conquis et pourtant depuis hier soir j'ai des images en tête.
En tout cas le titre est bien trouvé pour ce film.