Cinéma : les films en salle

[superscream]

Message précédent :
C est quoi ce truc !

[Brian Addav]

Rho le niveau de WTF rien que pour le casting...

[mtintin]

C est quoi ce truc !

Dans la lignée de piège en haute mer…

Après le cuisinier, le jardinier, on aura droit au couvreur, au maçon, au livreur (pas celui de Colissimo car on ne le voit jamais , au facteur…. Liste à compléter

[Bolt]

JCVD, Youn, Kaaris, Poqssi... Ca envoie du rêve.

[fanche]

Voir ces personnes dans un naufrage ça donne presque envie de regarder

[Julien Despreux]

Après "Ils ont tué mon chien", voici "Ils ont tué mon père" :

[Julien Despreux]

Selon la rumeur, «Kraven, The Hunter» doit servir de première étape à l’introduction des «Sinister Six», le célèbre collectif de supervilains (Vautour, Docteur Octopus, l’Homme-Sable, le Rhino, Chameleon ou encore Venom) qui tentent d’unir leurs forces pour éliminer l’homme-araignée dans les comics, dans le Sonyverse :

[fanche]

Après "Ils ont tué mon chien", voici "Ils ont tué mon père" :

[y]

Ça peut pas être pire que "ils m'ont marché sur le pied"

[Julien Despreux]

... et sans oublier, bien sûr, "Ils ont tué ma femme" avec Rami Malek :

[logan1973]

Selon la rumeur, «Kraven, The Hunter» doit servir de première étape à l’introduction des «Sinister Six», le célèbre collectif de supervilains (Vautour, Docteur Octopus, l’Homme-Sable, le Rhino, Chameleon ou encore Venom) qui tentent d’unir leurs forces pour éliminer l’homme-araignée dans les comics, dans le Sonyverse :

Vu que Sony a annoncé cette semaine qu'ils n'utiliseraient pas Spiderman dans leurs films ça va pas servir à grand chose.

[corbulon]

Ouin-ouin, encore un coup porté à la liberté d’oppression (et le communiqué rappelle furieusement celui d’Angoulême dans le cadre de l’affaire Vivès, dans les deux cas ce qui pose problème étant totalement occulté) :




Et sinon Hijo de Sicario de Astrid Rondero et Fernanda Valadez était vraiment top, enfin un peu de female gaze sur le monde des gangs.

[Julien Despreux]

Sans doute une mesure protectionniste afin de préserver l''équilibre du marché des produits laitiers et crémeux.

[ubr84]

Comment c'est possible d'aller foutre des clivages politiques gauche-droite dans TOUS les sujets ?

Il y aurait un sujet yaourt aux fraises ou aux ananas, il arriverait encore à le politiser

Une super vidéo sur la politique et le cinéma (ici les séries), en plus ça parle BD aussi.

Elle m'a fait penser à ta remarque Divelord

[superscream]

[Julien Despreux]

"Depuis quand y en a un rouge ? "

[Thierry_2]

Souleymane est un demandeur d'asile guinéen. Il passe son entretien avec l'OFPRA dans 2 jours, mais il n'est pas prêt. Il sillonne Paris sur son vélo pour faire des livraisons Uber en utilisant un compte qui lui été loué par un type peu scrupuleux. Avec l'argent, il paye un guinéen qui lui promet de lui fournir de quoi garantir sa demande d'asile. Il galère pour passer la nuit au chaud dans les refuges.
Dans un premier temps, le film déroule un récit très dur, très réaliste sur le quotidien des réfugiés. Dur mais attendu.
Et puis ?
Tout le film converge vers LA scène: ce fameux entretien.
Vertigineux, d'une justesse infinie de la part de l'acteur Abou Sangaré (et très subtile Nina Meurisse en face). Un moment d'une puissance incroyable qui impose un silence de plomb dans la salle.

[Révéler] Spoiler:

et, pour info, son histoire est tout-à-fait recevable pour un statut de réfugié, les discriminations envers les personnes souffrant de troubles mentaux étant reconnues... la fin ne doit pas être jugée à l'emporte-pièce sur le fait qu'il (et les réfugiés par extension) a mentit ne serait qu'un réfugié économique, mais bien que les différentes formes d'exploitation et de mensonges qui enferment ces hommes et ces femmes dans une spirale de l'exploitation et de rejet, les déniant leur humanité

ce n'est pas un film à thèse, c'est une tragédie moderne

[crepp]

J'espère le voir avec le festival Télérama de Janvier.

[superscream]

Interessant

[corbulon]

En fait c’est mieux quand Bertrand Bonello se consacre à la musique d’un film plutôt qu’à sa réalisation.

[corbulon]

Souleymane est un demandeur d'asile guinéen. Il passe son entretien avec l'OFPRA dans 2 jours, mais il n'est pas prêt. Il sillonne Paris sur son vélo pour faire des livraisons Uber en utilisant un compte qui lui été loué par un type peu scrupuleux. Avec l'argent, il paye un guinéen qui lui promet de lui fournir de quoi garantir sa demande d'asile. Il galère pour passer la nuit au chaud dans les refuges.
Dans un premier temps, le film déroule un récit très dur, très réaliste sur le quotidien des réfugiés. Dur mais attendu.
Et puis ?
Tout le film converge vers LA scène: ce fameux entretien.
Vertigineux, d'une justesse infinie de la part de l'acteur Abou Sangaré (et très subtile Nina Meurisse en face). Un moment d'une puissance incroyable qui impose un silence de plomb dans la salle.

[Révéler] Spoiler:

et, pour info, son histoire est tout-à-fait recevable pour un statut de réfugié, les discriminations envers les personnes souffrant de troubles mentaux étant reconnues... la fin ne doit pas être jugée à l'emporte-pièce sur le fait qu'il (et les réfugiés par extension) a mentit ne serait qu'un réfugié économique, mais bien que les différentes formes d'exploitation et de mensonges qui enferment ces hommes et ces femmes dans une spirale de l'exploitation et de rejet, les déniant leur humanité

ce n'est pas un film à thèse, c'est une tragédie moderne

Un bon complément sur le sujet de l’entretien, sorti la même année, c’est l’Audition de Lisa Gerig :

[crepp]

Conclave d' Edward Berger
Le pape est mort, ainsi l'élection d'un nouveau pape s'effectue, dans un tension où la recherche du pouvoir est à la base de nombreuses personnes. Bref il n'y a pas qu'une vipère chez les cardinaux.
Ca fait plaisir de voir un thriller sans poursuites, flingues, meurtres etc etc . Les acteurs et une actrice (bon oui on est là pour l'élection d'un pape) sont au diapason. J'aurai préféré un point de vue plus important sur l'évolution de l'église.
Plaisant, avec quand même une étonnante chute (vraiment pas vu venir).