
Divelord a écrit:Comment c'est possible d'aller foutre des clivages politiques gauche-droite dans TOUS les sujets ?
Il y aurait un sujet yaourt aux fraises ou aux ananas, il arriverait encore à le politiser




Fraise Tagada a écrit:J’aime bien le banana split.



1. Inside Out 2: $652.9 million
2. Deadpool & Wolverine: $636.7m
3. Despicable Me 4: $361.m
4. Wicked: $320.5m
5. Moana 2: $300.m
6. Beetlejuice Beetlejuice: $294m
7. Dune: Part Two: $282.1m
8. Twisters: $267.7m
9. Godzilla x Kong: The New Empire: $195.8m
10. Kung Fu Panda 4: $193.5m

1. Inside Out 2: $652.9 million
2. Deadpool & Wolverine: $636.7m
3. Despicable Me 4: $361.m
4. Wicked: $320.5m
5. Moana 2: $300.m
6. Beetlejuice Beetlejuice: $294m
7. Dune: Part Two: $282.1m
8. Twisters: $267.7m
9. Godzilla x Kong: The New Empire: $195.8m
10. Kung Fu Panda 4: $193.5m

Thierry_2 a écrit:top dix des recettes aux USAZ cette année1. Inside Out 2: $652.9 million
2. Deadpool & Wolverine: $636.7m
3. Despicable Me 4: $361.m
4. Wicked: $320.5m
5. Moana 2: $300.m
6. Beetlejuice Beetlejuice: $294m
7. Dune: Part Two: $282.1m
8. Twisters: $267.7m
9. Godzilla x Kong: The New Empire: $195.8m
10. Kung Fu Panda 4: $193.5m
des suites, des remakes, des suites de remakes et la seule "nouvelle" oeuvre est une adaptation de comédie (prévue en deux films, donc une quasi-franchise)



corbulon a écrit:wolfox a écrit:The Substance
J'hésite à aller le voir ce soir, des retours ?
Alors apparement, niveau biais de genre et féminisme c’est un peu raté quand même :C’est un film de body horror sur une femme qui ne supporte pas de vieillir et qui est victime d’elle-même. Mais à aucun moment Coralie Fargeat ne sort du regard masculin intériorisé par son personnage, à aucun moment la version jeune d’elle-même ne subit la violence de la domination masculine. Car si le film critique la façon dont la société traite les femmes d’âge mûr, il passe à côté du continuum : être jeune et belle c’est aussi être surexposée aux violences sexistes et sexuelles. Il manque au film un female gaze : montrer que les femmes se débattent entre l’affirmation de soi et le regard masculin intériorisé et sans cesse réaffirmé par la société.
En fait, Coralie Fargeat n’a donné aucune chance à son scénario pour qu’il nous raconte quelque chose d’intéressant sur l’âgisme, qui fait disparaître les femmes passées un certain âge, sur leur déclassement social. La mise en scène de ce féminin pathétique laisse un goût amer et ennuyeux, un constat qui produit simplement une envie de se dire qu’en tant que femme « on ne veut pas finir comme ça ».
Mais c’est insuffisant pour une réalisatrice qui prétend dénoncer le regard perpétuellement chosifiant et sexualisé des hommes sur les femmes. Ça ne fonctionne pas puisqu’il ne se passe rien entre les spectateurices et l’héroïne, à part un regard condescendant pour la femme âgée et un regard envieux pour la jeune femme..
Le reste de l’article (atttention à la divulgâcherie) :
https://www.genre-ecran.net/?the-substance-2024









Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 1 invité