corbulon a écrit:12 nominations pour Je suis accusé, mais à part ça dictature féministe bis.
pabelbaba a écrit:Du coup, J'accuse, ça parle de viol?
pabelbaba a écrit:Du coup, J'accuse, ça parle de viol?
corbulon a écrit:pabelbaba a écrit:Du coup, J'accuse, ça parle de viol?
Non ça se sert juste d’un vrai innocent pour dénoncer la pression que subit un vrai coupable.
Après pourquoi pas soutenir un pedocriminel, mais alors il faut être cohérent jusqu’au bout et ne pas nommer aussi le film de François Ozon.
arcarum a écrit:autant pour l'ancienne affaire, il a été effectivement condamné...
autant pour la nouvelle affaire, il n'a pas encore été jugé...
mais je ne vois toujours pas le rapport avec le film et ses qualités ou encore les acteurs et techniciens ayant travaillé sur le film.
Cooltrane a écrit:Le Lac Aux Oies Sauvages : (Chine continentale) Au moment du partage des territoires de chasses de la pègre locale d’une mégapole de province (Wuhan, j’ai cru comprendre), une rixe entre « familles » fait des blessés dont un par balle. Lors du concours organisé pour départager les belligérants, la famille lésée tend un piège à la fautive et le bilan est de deux morts, dont un policier. S’en suit une interminable (proche de deux heures) chasse à l’homme (où les rares femmes jouent des rôles salvateurs pour le fugitif) qui se terminera autour du lac du titre, qui est pourtant un lieu de villégiature réunissant bien des strates de la société de l’empire du milieu. Parfois difficile de s’y reconnaître entre les forces de l’ordre (peu efficaces) en civil et la pègre voulant finir le travail commencé, il me semble que certains acteurs ont dû parfois s’y confondre aussi.
Bien que seulement moyennement violent, malgré le sujet du film, il est désolant de constater que le côté film de karaté y est assez présent. Niveau paysages et dépaysement, on est loin de la carte postale, car les égouts de bas-fonds obstruent la vue du touriste voyeur que nous sommes. Entre une bande son très présente, un côté esthétisant incertain, et des eaux sur toutes leurs formes (sauf glacées), le rythme est haletant, mais le scénario n’est pas des plus accrocheur, car il oublie de s’approfondir - ou du moins s’étaler un peu. Du coup, on regrette une certaine longueur générale et une série de scènes qui auraient pu sauter sans perdre une miette du fil de l’histoire. Difficile de croire que ce demi-navet à un reçu un ours d'or à Berlin. 5/10
euh... si vous le dites a écrit:
Ah ben tiens, je pensais que tu racontais juste n'importe quoi à propos de la récompense qu'aurait remportée le film mais, à présent que je l'ai vu, je me rends compte que c'est en fait l'entièreté de ta chronique qui est du n'importe quoi...
thyuig a écrit:Nan mais quand même, tu reproches au film qu'il ne montre pas assez les paysages pour satisfaire le touriste que tu es (tu reprocherais à un cinéaste français de ne pas montrer la Tour Eiffel ? T'as confondu la séance avec Faut pas rêver ?) tu dis des Chinois qu'ils se ressemblent tous (d'ailleurs, même les acteurs se confondent), tu dis que c'est un demi-navet en lui mettant 5/10, tu parles du rythme haletant et reproches les longueurs. Bref, comme dirait Euh, c'est un peu n'importe quoi !
euh... si vous le dites a écrit:Cooltrane a écrit:Le Lac Aux Oies Sauvages : (Chine continentale) Au moment du partage des territoires de chasses de la pègre locale d’une mégapole de province (Wuhan, j’ai cru comprendre), une rixe entre « familles » fait des blessés dont un par balle. Lors du concours organisé pour départager les belligérants, la famille lésée tend un piège à la fautive et le bilan est de deux morts, dont un policier. S’en suit une interminable (proche de deux heures) chasse à l’homme (où les rares femmes jouent des rôles salvateurs pour le fugitif) qui se terminera autour du lac du titre, qui est pourtant un lieu de villégiature réunissant bien des strates de la société de l’empire du milieu. Parfois difficile de s’y reconnaître entre les forces de l’ordre (peu efficaces) en civil et la pègre voulant finir le travail commencé, il me semble que certains acteurs ont dû parfois s’y confondre aussi.
Bien que seulement moyennement violent, malgré le sujet du film, il est désolant de constater que le côté film de karaté y est assez présent. Niveau paysages et dépaysement, on est loin de la carte postale, car les égouts de bas-fonds obstruent la vue du touriste voyeur que nous sommes. Entre une bande son très présente, un côté esthétisant incertain, et des eaux sur toutes leurs formes (sauf glacées), le rythme est haletant, mais le scénario n’est pas des plus accrocheur, car il oublie de s’approfondir - ou du moins s’étaler un peu. Du coup, on regrette une certaine longueur générale et une série de scènes qui auraient pu sauter sans perdre une miette du fil de l’histoire. Difficile de croire que ce demi-navet à un reçu un ours d'or à Berlin. 5/10
Ah ben tiens, je pensais que tu racontais juste n'importe quoi à propos de la récompense qu'aurait remportée le film mais, à présent que je l'ai vu, je me rends compte que c'est en fait l'entièreté de ta chronique qui est du n'importe quoi...
thyuig a écrit:T'es quand même le roi des branquignoles quand tu t'y mets. Y'a rien à faire, tu ne vois jamais en quoi tu peux te planter.
Donc un demi-navet c'est un film moyen. Pourquoi ne pas le dire alors ?
Je pense que je n'ai pas besoin de voir le film pour comprendre ta chronique, merci, je sais encore lire.
Ensuite, ça tombe bien, il est dans ma liste "à voir", on pourra revenir en causer.
euh... si vous le dites a écrit:euh... si vous le dites a écrit:
Ah ben tiens, je pensais que tu racontais juste n'importe quoi à propos de la récompense qu'aurait remportée le film mais, à présent que je l'ai vu, je me rends compte que c'est en fait l'entièreté de ta chronique qui est du n'importe quoi...
bla-bla-bla-bla-bla-bla-bla-bla-bla-
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je n'ai pas eu cette sensation une seule fois dans le film.
bla-bla-bla-bla-bla-bla-bla-bla-bla-
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Le film, par contre, revisite très consciemment l'esthétique du film noir (le clin d'œil à la scène finale des miroirs de La dame de Shanghai d'Orson Welles est très explicite) pour la transporter dans une Chine contemporaine en plein délitement moral.
Etc...
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