xof 24 a écrit:
Ils ont quels ages tes gosses ?
Non parce qu'il me semble qu'il suffit de les laisser entrer voir le film et toi tu patientes au dehors...
Tu économises ta place et tu évites d'importuner le français, qui se lève tôt et qui a droit à ses petits plaisirs, avec ton smartphone ...
logan1973 a écrit:Le Tapir a écrit:Fallait bien que je m'occupe (merde c'est quand même une torture de regarder une daube pareille, qui plus est avec des grosses d'un quintal à coté, leurs maris crane rasé et tatoués et les mouflards de 3 ans qui chialent parce qu'ils ont peur) !
(Je précise que j'ai fait en sorte de ne pas déranger avec mon phone, si, si)
même quand t'as sauté en hurlant sur l'essai de Raka?
corbulon a écrit:C’est vrai que Neil Jordan n’a jamais fait de films mettant en vedette des personnages féminins avant 2017.
La dernière production de l’Irlandais Neil Jordan n’est pas loin d’être un navet total, mais qu’attendre de plus d’un réalisateur dont les dernières œuvres intéressantes (restons poli) datent des 80’s.
Mr Degryse a écrit:Je pense que c'était de l'humour car dès la compagnie des loups , Jordan mettait en avant les femmes
corbulon a écrit:Et sinon Ari Aster semble être parti pour proposer un The Wicker Man à sa sauce :
Mr Degryse a écrit:La dernière production de l’Irlandais Neil Jordan n’est pas loin d’être un navet total, mais qu’attendre de plus d’un réalisateur dont les dernières œuvres intéressantes (restons poli) datent des 80’s.
Pas un mauvais souvenir de Butcher boy qui date de 1997. Film bizarre, inclassable, divisant mettant mal à l'aise et loin d'être parfait mais intéressant selon moi.
LEAUTAUD a écrit:Vu The dead don't die de Jim Jarmusch.
Bonne surprise ! truffé de références (Carpenter, Romero, Tarantino, Hitchcock, and so on) ce film offre un réjouissant contraste entre les dialogues plan plan des flics (on se croirait dans P'tit Quinquin de Bruno Dumont) et les scènes gores (très gores).
Cerise sur le gâteau avec Uma Thurman vieillie (Tilda Swinton) maniant le sabre en virtuose de la décapitation.
Je n'ai pas repéré Iggy Pop qui joue un des nombreux vampires, mais il en était ça c'est sûr.
Jarmusch règle ses comptes avec les USA mondialisés et gangrené par l'hyper-consommation, avec un final à la Spielberg que j'ai apprécié.
Le film est tout à la fois marrant, horrifiant, et finalement assez émouvant.
En sortant de la salle j'ai pas pu m'empêcher de marcher en crabe bras tendu et gueule figée comme un mort-vivant, personne n'a rien remarqué dans ce couloir sombre, mais je me suis bien marré.
bru a écrit:Au final un film d'action somme toutes correct, qui se laisse bien voir en été caniculaire dans une salle de cibé climatisée.
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