corbulon a écrit:Cooltrane a écrit:corbulon a écrit:. Après deux possibilités de le voir soit en trois jours, soit sur une journée marathon, le samedi de 9h30 à dimanche 1h du mat. Je me tâte encore mais je vais sans doute éviter l’option marathon. Je crois que même au NIFFF, j’ai dû mal avec la journée qui me fait enchaîner 5 films entre 11h et 24h.
comme quoi , il peut nous arrive d'être d'accord sur qqe chose...
Si on fait souvent des doubles shots avec la compagne (parfois interrompu par un resto vite fait), il m'arrive encore (assez rarement) de me faire 3 films sur une journée, mais je le faisais régulièrement dans les 80's (parfois avec deux à l'oeil - c'est le cas de le dire - , car la surveillance à l'intérieur de ces cinéplex était défaillante), mais cela doit bien faire 30 ans que je n'ai pas tenté 4 films sur la journée. Jamais essayé 5, par contre (pas sûr que ce soit possible dans des cinoches commerciaux)
je pencherais plutôt pour une solution sur deux ou trois jours dans ton cas, ce qui te donnerais l'occasion de payer partiellement et ne pas se sentir trop floué si tu sors avant la fin du premier chapitre/tome, car ce sera nul.
En fait j’ai de plus en plus de mal à en enquiller 5, maintenant sur 9 jours de festival j’essaIe de voir 25 longs métrages (mon record est de 33). Si je fais encore des efforts c’est parce que les films sélectionnés ne peuvent être vu en salle seulement à cette occasion. Après dans mon centre culturel souvent une séance est offerte, comme par exemple pour la trilogie des mille et une nuit de Miguel Gomes. Donc c’est pas vraiment possible que je me fasse gruger. Mais effectivement je vais le faire en trois jours. Après pas sûr qu’il y ait du rab niveau prix, puisque la durée pourrait couvrir 8 films.
p'tain... après le premier film choisi par ma compagne (Sybil) hier soir, j'ai pas eu le courage de nous forcer à nous enquiller trois (et plus) d'un film turc appelé Wild Pear Tree(ci-dessous), pourtant j'aime bien Bilge Ceylan, mais comme son précédent (et fort bon) Winter Sleep, il faisait aussi au-delà des 3h.
Du coup, on s'est rabattu sur un film guatémaltèque Temblores de Bustamente, dont le sujet pourrait t'intéresser fortement par son sujet. J'avais déjà vu son premier (Ixcanul), que j'avais trouvé soporifique et répétitif, malgré le coté instructif. Mais si là, on touchait aux Mayas, ici on aborde la classe régnante et répugnante (enfin surtout son clergé évangéliste)