zanzibar a écrit:La meilleure scène que j'ai vu c'est la BA du prochain Hobbit: les 5 armées. C'est quand meme la loose.
zanzibar a écrit:La meilleure scène que j'ai vu c'est la BA du prochain Hobbit: les 5 armées. C'est quand meme la loose.
lobo a écrit:Vu Interstellar... Lourdingue et pas malin... Je suis complètement d'accord avec la critique de Mr Degryse... J'ajoute que comme lecteur assidu de science-fiction, je trouve que le scénar est ridiculement convenu. Il aurait paru à peine original dans un numéro d'Astounding de 1945. Quelqu'un ici a comparé avec Haldeman... Faut pas déc*** Tout ça parce qu'une fille vieillit plus vite que son père, qui a voyagé vite...
L'Ombre Jaune a écrit:Woaah ! Beaucoup de pédanterie blasée, par ici…
Je m'en vais relire l'un ou l'autre James Graham Ballard ou Alfred Elton Van Vogt pour essayer de voir comment j'ai pu commettre le sacrilège d'avoir apprécié "Interstellar"… Trois Pater et deux Avé…
Mea culpa.
BOBetBOBETTE a écrit:Pour Mommy,
je pense exactement comme H.Dayez:
Mommy
Diane, mère célibataire, va chercher Steve, son fils adolescent, rejeté du centre qui l’héberge : son comportement violent et incontrôlable est jugé inadmissible. Steve souffre de troubles de l’attachement ; malgré son handicap, Diane veut s’en occuper, toute seule, et veiller à son éducation… Elle ne sait pas à quoi elle s’engage.
"Mommy" est le cinquième long-métrage de Xavier Dolan, 25 ans, génie autoproclamé du cinéma québécois. Toute une frange de la critique cannoise voulait la Palme d’Or pour Dolan, il a dû se contenter d’un plus modeste Prix du Jury. Le cinéma de Dolan a, on l’a compris, ses fans irréductibles… Et ses opposants farouches. N’y allons pas par quatre chemins : je fais partie de la deuxième catégorie. "Mommy" est tout ce que j’exècre au cinéma. Un critique nordique avait qualifié "Dancer in the dark" de Lars von Trier de "pornographie sentimentale". C’est une expression très judicieuse, qui convient à merveille pour "Mommy" : c’est un grand déballage de disputes de famille, vulgaire et impudique, d’une longueur exténuante. Dolan se regarde filmer, et pour faire son intéressant, enferme ses personnages dans un format carré. Si ce format d’image peut à la rigueur fonctionner pour un clip, il se révèle rapidement horripilant pour un long-métrage de 2H20. Pour faire "authentique", Dolan force ses acteurs (Anne Dorval et le jeune Antoine-Olivier Pilon) à s’exprimer dans un patois québécois avec un accent à couper au couteau, procédé qui se révèle plus artificiel que réaliste, en fin de compte. Dolan fait du faux "cinéma-vérité", mais il est terriblement à la mode. Mais rien ne se démode plus que la mode…
arnaud a écrit:ça me gène un peu le flot de réactions exacerbées ici, on peut aimer un film sans le porter aux nues ou le détester sans le descendre non ?
ça me gène un peu le flot de réactions exacerbées ici, on peut aimer un film sans le porter aux nues ou le détester sans le descendre non ?
Le Complot a écrit:Triste époque où personne va voir Fincher surtout.
Oncle Hermes a écrit:Le Complot a écrit:Triste époque où personne va voir Fincher surtout.
Un des meilleurs films de l'année pour moi !
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