Là, scalp, moi aussi, j'avais pas vu ça comme ça, mais plutôt :
que Babydoll se fait vraiment lobotomiser.
Mais ta version de la fin me plait bien et me fait dire qu'en fait, le scénar de ce film est beaucoup plus subtil qu'il n'y parait. On peu le voir sous différents angles: le basique, et ne voir qu'un scénario assez pauvre, des jolies filles sur fond de jeu vidéos (
faudra qu'on m'explique le rapport avec les jeux vidéos...moi, je ne vois que des rêves très bien montrés). Et le subtil: une métaphore sur le combat pour retrouver sa liberté psychique, retrouver son vrais soi afin de mieux se défendre face à la dureté de la vie.
Le fait que chaque objet à trouver face l'objet d'une aventure démente me fait penser à une quête "rôlesquienne".