euh... si vous le dites a écrit:Y a pas grand chose qui m'intéresse dans sa filmographie en dehors des quelques films comme In the heat of the night que j'ai déjà vus.
Du moment que tu mets les deux films suivants dans la liste, je suis content :
1950 - No way out (Mankiewicz)
1957 - Edge of the city (Ritt)
jolan a écrit:Bon, on attend le retour d'Aleksi, mais on peut passer au vote de la séance hommage à Sidney Poitier
Je vous soumets une liste, ou on procède autrement ?
jolan a écrit:euh... si vous le dites a écrit:Y a pas grand chose qui m'intéresse dans sa filmographie en dehors des quelques films comme In the heat of the night que j'ai déjà vus.
Du moment que tu mets les deux films suivants dans la liste, je suis content :
1950 - No way out (Mankiewicz)
1957 - Edge of the city (Ritt)
C'est dommage, il y a beaucoup de bons films.
Bon, je vous soumets une liste ? (si pas de réponse demain, je vous soumettrai une liste )
makidoo a écrit:Je précise que je suis encore là si ça intéresse...
sergent latrique a écrit:bungalow pour femmesR.Walsh - 1956
L'histoire commence par le départ de Mamie Stover, une sorte d'aventurière, dont on ne connait pas grand chose et qui au fond restera une inconnue à part ses racines en
Mississippi. L'image de Mamie se retournant sur la voiture d'escorte des policiers de San Francisco résume presque à elle seule le personnage.
Ensuite, dans le contexte particulier de 1941, après la rencontre avec l'écrivain en route comme elle à Hawaï, c'est une histoire qui se traîne un peu, entre elle, venue retrouver une copine pour faire l'entraineuse dans un bar à hotesse et à soldats particulèrement pour amasser un paquet de pognon de dingue et lui,
l'écrivain romantique hésitant entre une vague fiancée et son désir de servir son pays avant de retrouver sa belle, une fois la guerre terminée. On sait généralement comment se terminent ces serments d'amoureux.
Jane Russel, en rousse flamboyante fait tourner les têtes (de quoi ne me demandez pas) pendant que Richard Egan (Jim Blair, l'écrivain, scénariste) écrit ses bafouilles sous les explosions.
On comprend qu'elle joue un jeu double, son attrait de l'argent passant outre ses promesses et qu'en voulant tout garder elle finira par tout perdre, c'est une joueuse dans sa vie prête montrer ses griffes et à renverser, la mère maquerelle (Agnès Moorehead, dont je ne me souviens que de son rôle de vieille sorcière dans " la série de notre enfance") , le gros bras de l'établissement et qu'au fond elle n'aime qu'elle, sans doute une revanche sur un passé pauvre.
Le couple ne fonctionne pas tellement, et je pense que Richard Egan a du jouer de meilleurs rôles.
La réalisation est soignée au niveau des belles couleurs, mais on sent le film de commande, avec un traitement des scènes sans grande originalité, comme à la plage ou à la guerre.
Les seuls moments intéressants sont dans l'établissement à mon goût.
Bon, au final, je reste plutôt déçu par l'ensemble et je note un 2,5/6.
Aleksi a écrit:
Y a de drôles de scènes comme la plage où y a une partie en décors naturelle et l'autre en studio, ça fait un peu mal aux yeux les raccords de lumière . Et en effet, très plan plan comme les scènes de guerre.
lobo a écrit:My favourite actor of all time is Mister Sidney Poitier
makidoo a écrit:Je précise que je suis encore là si ça intéresse...
Je regarde le film ce soir ou demain soir.
lobo a écrit:lobo a écrit:My favourite actor of all time is Mister Sidney Poitier
Personne n'a relevé ma citation... David Brent (Ricky Gervais, mon comique favori) qui veut rattraper le coup auprès d'un de ces collaborateurs, un homme de couleur, qui l'a surpris en train de raconter la Black Man's Cock Joke... Moins PC tu meurs... J'en ris rien que d'y penser.
euh... si vous le dites a écrit:3 : Edge of the city
2 : No way out
1 : N'importe lequel qui aurait eu 0 si je n'avais pas voté pour lui
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