makidoo a écrit:Merci pour la découverte en tout cas
Cool.
Deep end est certainement dans le top de mes plus belles découvertes depuis le début du ciné-club (juste à côté du Lucky star de Borzage).
C'est vraiment le genre de films que j'adore.
makidoo a écrit:Merci pour la découverte en tout cas
makidoo a écrit:Je crois que ça a déjà été dit mais on a aussi cette chance de voir des films en version restaurée dans une excellente qualité, et ça change pas mal de paramètres. Si j’avais vu ce film il y a 25 ans dans une mauvaise copie sur un écran cathodique bas de gamme, j’en aurai eu certainement une autre perception.
makidoo a écrit:En ce qui concerne une liste de films je n’ai encore une fois aucune idée mais je vais y réfléchir, en attendant que Lobo propose la sienne.
lobo a écrit: en passant par le lamentable prof de gym (je n'avais pas les sous-titres donc je n'ai pas trop compris ce que Jane lui dit à la fin, Piss off, etc...).
lobo a écrit:
J'ai eu la même impression que pour le Visconti (que seuls les plus anciens se rappellent), à savoir que les approches psychologiques (ici les affres de l'adolescence et du premier amour) manquent AMHA ce qui fait l'intérêt du film qui me semble avant tout esthétique et poétique : comment filmer un amour fou dans l'Angleterre populaire de la fin des sixties ? Pour aboutir à cette image finale des deux corps nus dans l'eau verte de la piscine teintée du rouge du sang. Ce jeu des couleurs tout le long du film est plus intéressant AMHA que toute évaluation psychologique (a-t-il bien rendu les affres de l'adolescence ?)
lobo a écrit:Merci Olaf pour cette précision. Ca colle bien avec ce que j'ai compris du personnage. En même temps s'il est si nul au lit, on ne comprend pas trop pourquoi elle continue de le voir.
makidoo a écrit:La vision des 2 films de Skolimowski avec ce côté chien fou des personnages principaux m’a donné une idée de thème : jeune et rebelle (qui a dit jeune et con ?)
(Beaucoup de classiques)
Zéro de Conduite, Jean Vigo, 1933
They Live by Night (Les Amants de la Nuit), Nicholas Ray, 1949
The wild One (L’Equipée Sauvage), Laszlo Benedetto, 1953
Rebel Without a Cause (La Fureur de Vivre), Nicholas Ray, 1955
Beat Girl (L’Aguicheuse), Edmond T. Gréville, 1960
lobo a écrit: l'Aguicheuse, dont je ne connais rien.
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