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Ciné-Club séance 83 Two Weeks in Another Town (Minnelli 62)

La politique, la musique, le cinéma, les jeux vidéos et la culture en général lorsqu'elle ne traite pas directement de bande dessinée

Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede euh... si vous le dites » 17/12/2020 22:10

Message précédent :
makidoo a écrit:Merci pour la découverte en tout cas


Cool.
Deep end est certainement dans le top de mes plus belles découvertes depuis le début du ciné-club (juste à côté du Lucky star de Borzage).
C'est vraiment le genre de films que j'adore.
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede makidoo » 18/12/2020 08:02

Je crois que ça a déjà été dit mais on a aussi cette chance de voir des films en version restaurée dans une excellente qualité, et ça change pas mal de paramètres. Si j’avais vu ce film il y a 25 ans dans une mauvaise copie sur un écran cathodique bas de gamme, j’en aurai eu certainement une autre perception.
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede makidoo » 18/12/2020 13:37

Bon j’ai regardé Le Départ, film totalement dans la mouvance Nouvelle Vague des années 60 : un rythme et un montage rapide, souligné par la vitesse des voitures et le Free-Jazz, des scènes tournées caméra à l’épaule et une certaine liberté laissée aux acteurs.
C’est très intéressant mais cela ne m’a pas plu autant que Deep End. Disons que Skolimowski y aborde des thématiques qu’il reprendra et développera aussi dans Deep End : la fougue de la jeunesse (Léaud y a un côté chien fou comme le sera John Moulder-Brown 3 ans plus tard) et la perte d’une certaine insouciance, il y a également un personnage de « cougar » que l’on retrouve !
Il y a de très belles scènes : la scène dans l’Austin découpée, la scène avec les reflets dans le miroir que le couple de jeunes acteurs porte dans la rue.
Le film m’a en revanche moins ému que Deep End, et je l’ai trouvé moins intéressant plastiquement également, mais cela n’en reste pas moins un film réussi dans son genre.
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede euh... si vous le dites » 18/12/2020 17:29

makidoo a écrit:Je crois que ça a déjà été dit mais on a aussi cette chance de voir des films en version restaurée dans une excellente qualité, et ça change pas mal de paramètres. Si j’avais vu ce film il y a 25 ans dans une mauvaise copie sur un écran cathodique bas de gamme, j’en aurai eu certainement une autre perception.


C'est clair.
Je le soulignais d'ailleurs à propos du Mizoguchi il y a quelques semaines.
Mais d'un autre côté, à une certaine époque, la rareté de certains films et donc la difficulté d'avoir même l'occasion de les voir (tout le monde n'habite pas Paris où l'offre en matière de cinéma de patrimoine est importante) faisait de la possibilité même de voir certains films des évènements exceptionnels. Aujourd'hui, cette dimension a très largement disapru.
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede makidoo » 18/12/2020 18:21

Oui c’est très vrai, rien ne remplace l’expérience d’une projection cinématographique.

Sinon ça ne fait pas très longtemps que je participe au ciné-club mais il est toujours aussi lent Jolan ? :roll: parce que là on attend et ça ralenti le bon rythme qu’on avait pris [:bru:3]






:D
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede jolan » 18/12/2020 18:26

C'est certain que quand on se matait les films du Cinéma de Minuit ou autres raretés diffusés ça et là (je me souviendrai toujours du "Sacrifice" de Tarko diffusé lors d'un festival de Cannes), on se délectait à l'avance de la séance, qu'on attendait passionnément, et qui rendait le film encore plus beau, ou plus décevant.

Oui, en enchaine sur la prochaine séance (je le mate bientôt)

A qui le tour ?

Makidoo je crois :lisezmoi:
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede makidoo » 18/12/2020 19:06

C’est pas plutôt au tour de Lobo ?
Bon, mème si je taquinais quand au rythme, perso je ne suis pas sûr d’être aussi disponible pendant la période des fêtes... donc on peut proposer quelque chose mais je ne suis pas sûr d’avoir le temps de regarder...
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede jolan » 18/12/2020 21:27

Ah oui, Lobo, exact, je n'avais pas vérifié mon fichier, bah c'est vous qui faites les deux prochaines séances, à vous de définir l'ordre ;)

Et donner un peu de rythme ne signifie pas pour autant speeder (là vous avez tous embrayé direct sur le Skolimowski que je n'ai même pas encore eu seulement l'idée de regarder), mais pour la séance suivante ça peut être plus soft, en tout cas rien n'empêche de partir sur la liste et les votes 8-)
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede makidoo » 18/12/2020 22:48

Nan mais je blaguais, notamment vis à vis du topic Jeu Photo où tu pointes régulièrement (et a juste titre) et de façon ironique le manque de rythme !

En ce qui concerne une liste de films je n’ai encore une fois aucune idée mais je vais y réfléchir, en attendant que Lobo propose la sienne.
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede Olaf Le Bou » 19/12/2020 13:51

Deap End :
j'ai vu le film sans rien savoir ni du réalisateur, ni des acteurs, ni du sujet, je savais juste que ça se passait à Londres fin des années 60. Alors le sujet en lui-même ne m'attire pas spécialement (les atermoiements adolescents me passionnent peu), mais le traitement est en revanche très intéressant. Quelques longueurs (normale dans une piscine me direz vous) viennent bien parfois briser le rythme (l'interminable attente à la sortie du club, la chasse au diamant, la scène au cinéma porno...), mais le traitement graphique est remarquable, le choix des gros plans, l'ambiance faisandée de la piscine décrépite, les couleurs verdâtres élimées, l'atmosphère humide et froide qui règne en permanence, la concupiscence des adultes qui s'étale partout, tout cela est très prenant. Quelques touches d'humour également (le marchand de hot-dog qui doit se baisser sans arrêt pour voir les clients, la prostitué plâtrée, la rombière amatrice de tirs au but) pour désamorcer le propos qui serait un peu lourd s'il n'était question que d'opposer la fougue de la jeunesse et la compromission des adultes. Et puis l'ambivalence permanente de Susan / Jane Asher qui évolue en permanence à la frontière des deux registres est finalement bien plus captivante que de voir l'attirance de Michael tourner à l'obsession mortifère.

bref, c'est beau, c'est percutant, mais un peu inégal parfois

:arrow: 4/6


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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede euh... si vous le dites » 19/12/2020 13:52

makidoo a écrit:En ce qui concerne une liste de films je n’ai encore une fois aucune idée mais je vais y réfléchir, en attendant que Lobo propose la sienne.


Si tu n'as pas d'idée particulière, tu peux juste taper une liste de films que tu voudrais voir, revoir ou nous faire découvrir.
Moi, j'aime bien l'idée de base qui est de naviguer entre les périodes et passer du coq à l'âne entre classiques reconnus et propositions plus décalées.
Fais-toi plaisir. Au final, c'est ça qui compte.
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede lobo » 19/12/2020 14:32

Deep end (Jerzy Skolimowski)
Magnifique histoire d'une éducation sentimentale finissant en amour fou dans l'esthétique du swinging London. Esthétique 60's avec ces couleurs acidulées plutôt que 70's (avec son orange maronnasse si présent dans le film avec Sean Connery que j'ai détesté). Inventif, drôle, toujours intéressant. Ca fourmille de trouvailles, j'en cite quelques unes qui m'ont frappé : le diamant dans la neige et les moyens de le retrouver, le revolver... du starter, les hot-dogs en série (with mustard), le tourne-disque de la prostituée, le coup de pinceau rouge au moment où on admire l'harmonie pop du vert de la piscine et du roux des cheveux de Jane Ascher, cette façon de jouer avec nos nerfs dans le suspense final avec ce mélange eau-électricité, l'inénarrable film (suédois ?) sur le monde du sexe... Et puis des choses plus classiques mais bien menées : le jeu avec les affiches (l'homme enceint, Jane nue), et le magnifique final... Les personnages sont tous réussis, de la grosse nympho au technicien de la piscine en passant par le lamentable prof de gym (je n'avais pas les sous-titres donc je n'ai pas trop compris ce que Jane lui dit à la fin, Piss off, etc...). La palme à Jane Ascher, Goddess des swingin' sixties, et compagne un temps du Dieu de la mélodie pop. Bref un film génial AMHA.
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede Olaf Le Bou » 19/12/2020 14:46

lobo a écrit: en passant par le lamentable prof de gym (je n'avais pas les sous-titres donc je n'ai pas trop compris ce que Jane lui dit à la fin, Piss off, etc...).


elle lui dit qu'il avait été sa première fois, et qu'elle comprend pourquoi il tourne autour des lycéennes, des jeunettes, c'est par ce qu'elles sont sans expérience et pour qu'elles ne puissent pas comparer et voir combien il est nul et pathétique.
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede lobo » 19/12/2020 15:59

Merci Olaf pour cette précision. Ca colle bien avec ce que j'ai compris du personnage. En même temps s'il est si nul au lit, on ne comprend pas trop pourquoi elle continue de le voir.
Sinon, j'ai lu toutes vos critiques.
J'ai eu la même impression que pour le Visconti (que seuls les plus anciens se rappellent), à savoir que les approches psychologiques (ici les affres de l'adolescence et du premier amour) manquent AMHA ce qui fait l'intérêt du film qui me semble avant tout esthétique et poétique : comment filmer un amour fou dans l'Angleterre populaire de la fin des sixties ? Pour aboutir à cette image finale des deux corps nus dans l'eau verte de la piscine teintée du rouge du sang. Ce jeu des couleurs tout le long du film est plus intéressant AMHA que toute évaluation psychologique (a-t-il bien rendu les affres de l'adolescence ?)
Sinon, pour la prochaine, ce serait bien que makidoo s'y colle...
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede euh... si vous le dites » 19/12/2020 16:12

lobo a écrit:
J'ai eu la même impression que pour le Visconti (que seuls les plus anciens se rappellent), à savoir que les approches psychologiques (ici les affres de l'adolescence et du premier amour) manquent AMHA ce qui fait l'intérêt du film qui me semble avant tout esthétique et poétique : comment filmer un amour fou dans l'Angleterre populaire de la fin des sixties ? Pour aboutir à cette image finale des deux corps nus dans l'eau verte de la piscine teintée du rouge du sang. Ce jeu des couleurs tout le long du film est plus intéressant AMHA que toute évaluation psychologique (a-t-il bien rendu les affres de l'adolescence ?)


Chacun trouve l'intérêt du film là où son inclination le porte. ;)
Les interprétations divergentes ne me semblent pas de nature à s'exclure les unes les autres. Bien au contraire, elles ne font que renforcer l'impression de richesse du film... et justifier l'intérêt d'en discuter pour compléter sa propre perception.
Ceci dit, quand tu associes Deep end avec Le départ qui l'a précédé dans la filmographie de Skolimowski, tu ne peux pas passer à côté de la récurrence du thème de l'énergie de l'adolescence et de la difficulté de passer dans le monde des adultes.

Au final, ce qui est génial, c'est qu'on a mis tous les deux une super note à ce film. ;)
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede Olaf Le Bou » 19/12/2020 16:16

lobo a écrit:Merci Olaf pour cette précision. Ca colle bien avec ce que j'ai compris du personnage. En même temps s'il est si nul au lit, on ne comprend pas trop pourquoi elle continue de le voir.


je suppose qu'elle parle sous le coup de la colère et pour être blessante, ou bien le fait qu'elle continue de le voir marque également la part encore adolescente qui réside en elle et toujours sous l'emprise psychologique du prof.


mais oui, très fort ce jeu des couleurs, avec la dominante de verts, l'irruption progressive du rouge vif, et la singularité de ce long ciré jaune vif qui enveloppe l'héroïne telle une corolle vénéneuse.
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede makidoo » 19/12/2020 16:29

La vision des 2 films de Skolimowski avec ce côté chien fou des personnages principaux m’a donné une idée de thème : jeune et rebelle (qui a dit jeune et con ?)
(Beaucoup de classiques)

Zéro de Conduite, Jean Vigo, 1933
They Live by Night (Les Amants de la Nuit), Nicholas Ray, 1949
The wild One (L’Equipée Sauvage), Laszlo Benedetto, 1953
Rebel Without a Cause (La Fureur de Vivre), Nicholas Ray, 1955
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede euh... si vous le dites » 19/12/2020 16:36

makidoo a écrit:La vision des 2 films de Skolimowski avec ce côté chien fou des personnages principaux m’a donné une idée de thème : jeune et rebelle (qui a dit jeune et con ?)
(Beaucoup de classiques)

Zéro de Conduite, Jean Vigo, 1933
They Live by Night (Les Amants de la Nuit), Nicholas Ray, 1949
The wild One (L’Equipée Sauvage), Laszlo Benedetto, 1953
Rebel Without a Cause (La Fureur de Vivre), Nicholas Ray, 1955
Beat Girl (L’Aguicheuse), Edmond T. Gréville, 1960


Je reverrais bien They live by night.

Sinon, c'est Laszlo Benedek, non?
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede lobo » 19/12/2020 16:48

Belle sélection.
Comme les amants de la nuit, je l'ai vu il n'y a vraiment pas longtemps et que les autres, je les connais par coeur, je vote pour l'Aguicheuse, dont je ne connais rien.
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede euh... si vous le dites » 19/12/2020 16:54

lobo a écrit: l'Aguicheuse, dont je ne connais rien.


Moi non plus, mais j'ai l'impression que c'est très bien comme ça. :D
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 53 : Jerzy Skolimowski

Messagede Olaf Le Bou » 19/12/2020 17:02

They live by night :-D
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