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Ciné-Club séance 83 Two Weeks in Another Town (Minnelli 62)

La politique, la musique, le cinéma, les jeux vidéos et la culture en général lorsqu'elle ne traite pas directement de bande dessinée

Re: Ciné-Club séance 51bis : Dragonwyck (Mankiewicz 46)

Messagede euh... si vous le dites » 05/12/2020 00:43

Message précédent :
jolan a écrit:Ce sera un Kurosawa pour moi svp


Pareil.
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Re: Ciné-Club séance 51bis : Dragonwyck (Mankiewicz 46)

Messagede makidoo » 05/12/2020 10:17

euh... si vous le dites a écrit:
jolan a écrit:Ce sera un Kurosawa pour moi svp


Pareil.


Garçon ! La même chose !
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Re: Ciné-Club séance 51bis : Dragonwyck (Mankiewicz 46)

Messagede lobo » 05/12/2020 12:24

J ai visionné Dragonwyck. J envoie une petite critique dans la journée après la manif. Ce sera du 4,5 pour moi. Pour la prochaine il semble y avoir une appétence pour ce vieux Kurosawa. Ça me va aussi.
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Re: Ciné-Club séance 51bis : Dragonwyck (Mankiewicz 46)

Messagede Le Complot » 05/12/2020 17:17

Je traverse une période où j'ai un peu le bourdon, en plus le temps est tout pourri, ne m'attendez pas pour la suite, mais je compte bien me faire ce Dragonwyck, quand, c'est une autre question, et je vais donc m'abstenir pour les prochains, histoire de ne pas ralentir le topic. ;)
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Re: Ciné-Club séance 51bis : Dragonwyck (Mankiewicz 46)

Messagede jolan » 05/12/2020 18:44

Rien de tel que de vieux films pour éloigner le bourdon (avis perso)

A bientôt Comploto ;)
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Re: Ciné-Club séance 51bis : Dragonwyck (Mankiewicz 46)

Messagede sergent latrique » 05/12/2020 18:50

Ca prend le chemin de l'unanimité pour le Kurosawa, 3 votes, 3 Kurosawa. Difficile à battre. On considère que c'est plié ?
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Re: Ciné-Club séance 51bis : Dragonwyck (Mankiewicz 46)

Messagede jolan » 05/12/2020 19:23

Ce sera en effet très difficile à battre puisqu'il y a 3 votes et un acquiescement de lobo, mais il va peut-être rappeler le garçon pour commander une autre boisson

:-D

Sinon il reste toi et Olaf, donc oui, tournée générale de Kurosawa :food:

* * *

Ciné-Club séance 51bis : Dragonwyck (Mankiewicz 46) = 3,41 (avant note du Complot)
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede Olaf Le Bou » 05/12/2020 19:32

partant pour le Kurosawa de toute manière :ok:
Prenez un cercle, caressez-le, il deviendra vicieux

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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede euh... si vous le dites » 05/12/2020 23:18

Le lien vers L'ange ivre :
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede sergent latrique » 05/12/2020 23:36

En moins de 24h: liste, votes, résultats, film livré à domicile. Le ciné club pète le feu 8-)
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede euh... si vous le dites » 06/12/2020 14:09

L'ange ivre - Kurosawa (1948)

J'ai revu avec beaucoup de plaisir ce beau film de Kurosawa, le premier pleinement maîtrisé d'une filmographie qui comportera ensuite de nombreux chefs d'oeuvre.
On y trouve déjà l'humanisme lucide qui fera la grandeur de son cinéma, à travers la figure du docteur alcoolique, bourru mais plein de bonté. Il entre en opposition avec un yakuza atteint par la tuberculose, porté par la prestation enfiévrée d'un Toshiro Mifune qui trouve ici son premier grand rôle.
Dans un quartier populeux et misérable du Tokyo de l'immédiat après-guerre, Kurosawa organise son petit théatre autour d'une mare putride et d'une lutte contre la tuberculose qui agissent comme révélateurs du milieu vicié dans lequel baignent les habitants.
Kurosawa dénonce sans ambiguité les lâchetés et l'hypocrisie du code moral de la pègre, qu'il dépeint comme des nuisances héritées du régime féodal traditionnel (et en filigrane de sa récente excroissance militariste mortifère). Il les oppose à une vision humaniste lucide, que l'on pourrait même trouver désabusée si le film ne se terminait par sur une petite pointe optimiste. Le combat du docteur contre la tuberculose a permis de guérir la jeune fille, qui symbolise à elle seule la jeunesse du Japon à qui il revient de s'éloigner de la mare putride et de l'héritage de la féodalité (et par extension embrasser la démocratie naissante - en 1949, le cinéma japonais se trouve encore sous la censure de l'occupant américain).
La dernière scène du film est très forte. Le docteur, pris entre la jeune fille guérie qui va à présent embrasser la vie à pleins poumons et l'amoureuse qui ne peut que s'accrocher aux cendres du yakuza qui s'est sacrifié de manière pathétique sans être capable de dépasser les codes qui ont dirigé son existence. D'un côté, la joie juvénile et la vie , de l'autre, la résignation et la mort.
Formellement, le film démarre sous les auspices d'un néo-réalisme à la japonaise qui rend compte avec beaucoup de force des conditions de vie des classes populaires dans le Japon urbain de l'après-guerre pour virer, au fur et à mesure de la déchéance du yakuza malade, vers une vision proche de l'expressionnisme allemand du muet beaucoup plus théatralisée.
Mais ça n'empêche pas le film de fonctionner, même si l'on peut trouver un certain déséquilibre à mesure que l'accent est de plus en plus posé sur un Toshiro Mifune qui crève l'écran et vole la vedette à Takashi Shimura, pourtant l'ange ivre du titre.

Ma note : 5/6
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede lobo » 07/12/2020 12:15

Dragonwyck (Mankewicz)
Film d'une grande beauté plastique dans une discrète ambiance gothique comme on les aimait à l'époque. La belle Gene Tierney est tout de même un peu cruche dans cette histoire, et Vincent Price en fait un peu des tonnes, mais bon... Je connaissais évidemment le rôle des Hollandais à New York et dans l'état de New York, mais j'avais gardé l'idée plutôt d'aventuriers qui faisaient du commerce de fourrures. Je ne savais pas qu'existait encore au XIXème siècle une aristocratie foncière "à l'européenne" sur les bords de l'Hudson river. C'est l'occasion d'une mise en scène assez abrupte d'une lutte de classes entre les propriétaires et leurs fermiers et une autre, à peine plus subtile, entre l'aristocratie hollandaise (le "cousin") et le petit propriétaire exploitant yankee (le père) seul maître chez lui après Dieu. Belle image de la mère tout de même.
En résumé amha petit chef d'oeuvre cinématographique au scénario un peu bancal.
4,5/6
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede makidoo » 09/12/2020 20:06

L'ange ivre - Kurosawa (1948)

La rencontre entre un médecin (Sanada) porté sur la boisson et un Yakusa tuberculeux (Matsunaga).
Kurosawa dépeint un quartier sordide du Tokyo d’après-guerre, et les personnages qui y vivent et survivent, comme des héros maudits (bas-fonds que Kurosawa revisitera encore avec Toshiro Mifune dans Chien Enragé un an plus tard).
Sanada prévient Matsunaga du mal qui le ronge, et de la nécessité de se soigner. Celui-ci refuse dans un premier temps, puis, prenant conscience de son état, semble se résigner à changer son mode de vie (pas d’alcool ni de femmes) et se soigner. C’était sans compter sur la sortie de prison d’un lieutenant de la pègre (Okada) qui revient dans ce territoire.
Celui-ci déclarera « Tout a changé ici. Sauf cette mare puante »
En effet, son statut a quelque peu changé mais cette mare, symbole du vice ancré dans ces bas-fonds est toujours omniprésente.
Kurosawa fait un parallèle entre la tuberculose et la pègre (les bacilles dont il faut se débarrasser).
Sanada dira d’ailleurs « Ton poumon ressemble à cette mare » en s’adressant à Matsunaga. Les règles des Yakusa sont impitoyables (la loi du plus fort, qui ne supporte ni la maladie ni la faiblesse).
Le film oscille entre plusieurs registres, le néoréalisme de l’après seconde guerre mondiale (les plans sur la voie ferrée aérienne et le marché) et le cinéma expressionniste (la bagarre finale entre Matsunaga et Okada).
L’alcool comme seule échappatoire pour Sanada (et les Yakusa qu’il méprise) semble-t-il, contrairement à la jeune fille guérie qui quitte cet univers vicié pour un avenir plein de promesses.
Une atmosphère plutôt bien rendue, un jeu d’acteurs un peu outrancier, quelques belles scènes (Okada jouant de la guitare, la chanteuse au cabaret, l’affrontement final dans la peinture), on a un film de genre plutôt réussi.
4/6
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede lobo » 10/12/2020 19:07

L'ange ivre (Kurosawa)
Très bon film amha. Deux portraits, un médecin des pauvres, prisonnier (volontaire ?) de sa situation dans un bas quartier près d'un cloaque, par opposition à son copain de fac, plus sérieux, devenu chef de clinique, qui n'aura peut-être pas une existence aussi riche. Et un yakusa qui finit par avoir des états d'âme face au courage et à la sollicitude du médecin. Toshiro Mifune dont j'avais détesté le jeu dans L'homme au pousse-pousse me plait bien ici dans ce rôle d'anti-héros dostoievskien pris entre le vice et la vertu. J'aime toujours les rôles incarnés par Takashi Shimura, ici un humaniste bougon et qui n'a peur de rien, ni des bacilles, ni des yakusas. Il incarne une certaine "modernité" par rapport au Japon féodal encore présent dans les codes des yakusas. Mais pas la "modernité" vulgaire que représente l'occupant américain (la ridicule boîte de "jazz"), un nouvel humanisme qui utilise la science pour résoudre les problèmes (j'aime beaucoup ces moments, qui résument bien tout le personnage, où il lit les radios (en pleine rue à la fin, que sa jeune patiente lui apporte comme un bulletin scolaire)) et anti-sexiste... Bon, j'ai toujours un peu de mal avec les codes du cinéma extrême-oriental, le fait que les hommes soient toujours en train de brailler (pas du tout l'impression que m'ont donné les Japonais lors de mon voyage au Japon) ou bien dans la bagarre finale qui est un bon morceau mais qu'on croirait sortie d'un film muet de 1925 avec ces expressions outrées : le parrain, qui est censé n'avoir peur de rien, qui fait de grands yeux épouvantés face au canif de Matsunaga.
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede euh... si vous le dites » 10/12/2020 19:31

lobo a écrit:Bon, j'ai toujours un peu de mal avec les codes du cinéma extrême-oriental, le fait que les hommes soient toujours en train de brailler (pas du tout l'impression que m'ont donné les Japonais lors de mon voyage au Japon)


Ca se voit que tu n'as jamais rencontré mon beau-père. :lol:
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede jolan » 11/12/2020 04:57

L'Ange ivre – Akira KUROSAWA – 1948

Une sorte de parabole sur un pays rongé de l'intérieur par les yakuzas (ici la tuberculose qui tue le jeune homme qui règne sur le quartier, et le marais putride au milieu des maisons). Ou bien simplement une histoire sans réelles intentions. De toute façon, l'histoire n'a que peu d'intérêt.

Chacun joue un rôle dans cette vie qu'ils ne maîtrisent pas : le docteur soigne des malades, alors qu'il ne pense qu'aux femmes et à l'alcool. Le jeune homme joue au caïd mais en fait il est terrifié par sa mort prochaine et accepte rapidement - mais pour un temps seulement - de changer de mode de vie pour survivre. Les hommes qui tuent et les hommes qui soignent quoi. Les femmes ne sont guère épargnées, qui fuient leur ancien tortionnaire ou qui se donnent au plus offrant, à celui qui détient le pouvoir. Bref, un film qui joue un peu aux films noirs américains, mais qui n'y parvient évidemment jamais (horrible scène avec la chanteuse).

Il est vrai que le jeu passe de la douceur la plus contenue et la discrétion la plus polie aux emportements les plus criards et hystériques de ces personnages masculins rustres et minables, et qu'il y a peu de place pour la nuance dans le jeu des comédiens. Une sorte de comportement japonais qui me choque à chaque film, comme je le relevais pour les films d'Ozu. Un peu pareil pour le maquillage simiesque du jeune yakuza malade, bien trop marqué. Mais de bons moments de Mifune dans ce film, en particulier lorsqu'il va chez le docteur, ivre.

Qui est l'ange ivre du titre, sans doute les deux personnages principaux. L'un ange par sa bonté, son humanisme, et l'autre par sa mort en pleine jeunesse. Ivres, ils le sont tous les deux, d'alcool, de femmes, et de vie. Mais pas de la même façon, ni dans le même but. Peut-être d'abord le docteur qui nous semble plus juste, puis le film se focalise davantage sur le jeune yakuza condamné, et c'est peut-être lui le véritable ange.

La musique est un peu envahissante, et c'est étrange, elle est composée de variations sur deux thèmes tirés de « La Méditation de Thaïs » de Massenet et de « La Mer » de Debussy (comme dans "Portrait of Jennie" sorti l'année suivante). Et bien sûr le gars qui joue Okada ne sait ni jouer de guitare ni bien faire semblant d'en jouer...

Amusant de ridicule le duel final entre le vieux et le malade, où les deux hommes essoufflés par la vieillesse ou la maladie finissent par se battre en glissant sur de la peinture, à la manière d'une farce de vieux film pas drôle genre Laurel et Hardy.

Un film qui ne m'a pas vraiment marqué, mais qui ne m'a pas totalement déplu non plus. C'est juste que je n'ai probablement pas su y voir grand chose. Côté réalisation, j'ai surtout vu quelques plans ambitieux mais un peu chaotiques. Le reste est convenable. Sans plus.

2,5/6

Je vais maintenant lire vos critiques pour comprendre ce que j'aurais dû voir.
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede jolan » 11/12/2020 19:09

On enchaine tranquillement ?

Euh, tu avais une liste si je ne me docteur mabuse...
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede euh... si vous le dites » 11/12/2020 19:21

jolan a écrit:On enchaine tranquillement ?

Euh, tu avais une liste si je ne me docteur mabuse...


Ok.

Sélection "cinéaste en exil" consacrée au cinéaste polonais Jerzy Skolimowski.

Je propose :

1967 - Le départ (Belgique)
1970 - Deep end (Grande-Bretagne)
1978 - Le cri du sorcier - The shout (Grande-Bretagne)
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede jolan » 11/12/2020 19:40

Pas fan du tout.

"Le Départ"
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede makidoo » 11/12/2020 20:19

« Deep End » pour moi
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Re: Ciné-Club BDGest Séance 52 : L'Ange ivre (Kurosawa 48)

Messagede euh... si vous le dites » 11/12/2020 22:15

jolan a écrit:Pas fan du tout.


J'ai juste vu Essential killing avec Vincent Gallo et j'ai envie de découvrir un peu sa filmo.

Et comme makidoo, je vote pour Deep end.
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