Cela ne donnera rien comme d'habitude.
nerghal a écrit:Article corroborant en partie (?) les chiffres de ma photo d'hier:
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/1 ... -essor.php
Réalisée auprès d’un panel de 15 000 personnes, l’enquête révèle en effet que les acheteurs de BD sont majoritairement des femmes (53 %). Celles-ci s’avèrent presque aussi nombreuses que les acheteuses de littérature générale (59 %), même si 64 % des albums qu’elles acquièrent sont destinés à être offerts à un tiers. « Elles continuent, certes, d’acheter des albums à leurs enfants, mais nous avons là la confirmation qu’elles sont aussi des lectrices régulières de bande dessinée, souligne Moïse Kissous, le patron de Steinkis Groupe, qui a supervisé l’étude du SNE. Notre enquête démontre qu’elles sont friandes de mangas, de comics et de romans graphiques. L’augmentation de ce lectorat féminin s’inscrit dans une évolution plus large qui voit également le nombre d’auteures progresser, ainsi que la quantité d’offres éditoriales de qualité. »
Thierry_2 a écrit:entre les lignes, je devine un profil différent entre femmes et hommes en terme d'achat.
Thierry_2 a écrit:http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/10/17/la-bande-dessinee-un-loisir-tres-feminin_5201992_3234.html
corroboré dans ce même article avec un mot d'explication:Réalisée auprès d’un panel de 15 000 personnes, l’enquête révèle en effet que les acheteurs de BD sont majoritairement des femmes (53 %). Celles-ci s’avèrent presque aussi nombreuses que les acheteuses de littérature générale (59 %), même si 64 % des albums qu’elles acquièrent sont destinés à être offerts à un tiers. « Elles continuent, certes, d’acheter des albums à leurs enfants, mais nous avons là la confirmation qu’elles sont aussi des lectrices régulières de bande dessinée, souligne Moïse Kissous, le patron de Steinkis Groupe, qui a supervisé l’étude du SNE. Notre enquête démontre qu’elles sont friandes de mangas, de comics et de romans graphiques. L’augmentation de ce lectorat féminin s’inscrit dans une évolution plus large qui voit également le nombre d’auteures progresser, ainsi que la quantité d’offres éditoriales de qualité. »
entre les lignes, je devine un profil différent entre femmes et hommes en terme d'achat.
Xavier Guilbert a écrit:Thierry_2 a écrit:entre les lignes, je devine un profil différent entre femmes et hommes en terme d'achat.
Pour info, ce n'est que l'étude dont les résultats avaient été communiqués lors des Rencontres Nationales de la Librairie qui s'étaient tenues à La Rochelle en juin dernier.
Pour ce qui est de l'achat en librairie, cela donnait:
- une femme qui achète de la bande dessinée en librairie le fait dans 70% des cas pour quelqu'un d'autre;
- un homme qui achète de la bande dessinée en librairie le fait dans 65% des cas pour lui-même.
Chacun en tirera les conclusions qu'il voudra.
yannzeman a écrit:Bon, cela correspond plus à mon expérience d'acheteur de BD.
La BD reste un monde masculin, même si les femmes y viennent doucement.
Par contre, je ne remettais pas en cause le fait que les femmes sont de grandes lectrices... de romans.
Cooltrane a écrit:Thierry_2 a écrit:http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/10/17/la-bande-dessinee-un-loisir-tres-feminin_5201992_3234.html
corroboré dans ce même article avec un mot d'explication:Réalisée auprès d’un panel de 15 000 personnes, l’enquête révèle en effet que les acheteurs de BD sont majoritairement des femmes (53 %). Celles-ci s’avèrent presque aussi nombreuses que les acheteuses de littérature générale (59 %), même si 64 % des albums qu’elles acquièrent sont destinés à être offerts à un tiers. « Elles continuent, certes, d’acheter des albums à leurs enfants, mais nous avons là la confirmation qu’elles sont aussi des lectrices régulières de bande dessinée, souligne Moïse Kissous, le patron de Steinkis Groupe, qui a supervisé l’étude du SNE. Notre enquête démontre qu’elles sont friandes de mangas, de comics et de romans graphiques. L’augmentation de ce lectorat féminin s’inscrit dans une évolution plus large qui voit également le nombre d’auteures progresser, ainsi que la quantité d’offres éditoriales de qualité. »
entre les lignes, je devine un profil différent entre femmes et hommes en terme d'achat.
Oui, c'est les blogueuses qui demandent à leurs amies fb d'acheter tout ce qui trainent à leurs noms dans les librairies pour essayer de convaincre leurs éditeurs que ce qu'elles écrivent et dessinent intéresse qq'un d'autre qu'elles.
Bon, c'est vrai qu'il y a de plus en plus de femmes dans les boutiques BD spé, mais elle sont encore lmoin de la majorité... Par contre,, qu'elles soient la majorité des clients en librairie generalise,; je n'ai aucun problem à le croire. Idem pour les bibliothèques municipales.
Pouffy a écrit:Je serais curieux de connaître les chiffres du lectorat manga mais je pense qu'il est majoritairement féminin.
Entre 2012 et 2016, le Goncourt des lycéens arrive en moyenne en tête des ventes, avec 443 000 exemplaires, un peu plus que le prix Goncourt (398 000 exemplaires). Loin devant le prix de l’Académie française (246 000 exemplaires), le Renaudot (221 000 exemplaires), le Femina (83 000 exemplaires), l’Interallié (65 500 exemplaires) ou le Médicis (41 000 exemplaires).
L’obtention d’un prix conjuguée à l’approche des cadeaux de Noël gonfle doublement les achats, selon GfK. Plus de 100 000 ouvrages ayant obtenu un prix littéraire – on compte tout de même en France la bagatelle de 2 000 prix… – ont été écoulés chaque semaine de décembre l’an dernier.
Rien qu’au cours des huit jours précédant Noël, en 2016, le Goncourt, Chanson douce, de Leïla Slimani (Gallimard), s’est vendu à plus de 62 000 exemplaires et le Goncourt des lycéens, Petit pays, de Gaël Faye (Grasset), à plus de 56 000 exemplaires.
L’an dernier, cette saison « littéraire » s’est achevée avec 3,4 millions d’exemplaires vendus, soit 19 % du marché des romans contemporains grand format – aussi bien en chiffre d’affaires qu’en nombre d’exemplaires.
Cette année, au 15 octobre, Frappe-toi le cœur, d’Amélie Nothomb (Albin Michel, 180 p., 16,90 euros), caracolait en tête des ventes (112 500 exemplaires), suivi par Ils vont tuer Robert Kennedy, de Marc Dugain (Gallimard, 400 p., 22,50 euros), avec 54 300 exemplaires, Bakhita, de Véronique Olmi (Albin Michel, 455 p., 22,90 euros), avec 46 500 exemplaires, et L’Art de perdre, d’Alice Zeniter (Flammarion, 512 p., 22 euros), avec 33 300 exemplaires.
Ode à la bêtise!
Il y a de cela un peu plus d’une année, artistes, éditeurs et associations avaient agité énergiquement la clochette de l’alarme avant que des décisions ne soient entérinées par le petit monde politique belge sur une révision des droits de reprographie.
Attention, messieurs, ce que vous projetez, au demeurant de manière arbitraire et sans concertation, va faire perdre aux artistes et aux éditeurs au minimum 40% de leurs droits et ne sera bénéficiaire à d’aucun, si ce n’est aux multinationales fabricantes d’imprimantes et autres outils de copie, à l’image de HelwettPackard ou de Canon !
Bien entendu, le petit monde politique, tous en cœur avec l’habituelle condescendance, avaient répondu que les artistes et les éditeurs ne savent pas de quoi ils parlent ! Ces messieurs des cabinets ministériels autoproclamés experts en tout et son contraire, et soutenus par leurs ministres, avaient bien évidemment tout été étudiés. Si, si, je vous assure... Circulez, il n’y a rien avoir !
Aujourd’hui, à l’heure d’un premier bilan, 60% des droits se sont évaporés ! Et le pis, c’est que face aux chiffres, le petit monde politique vous répond avec un appoint consternant que oui, peut être, enfin… On va examiner la chose ! On va faire des études !
Examiner la chose? Des études ? Mais, connard, quand tes relevés montrent une perte de 60%, ce n’est pas le fruit de l’imaginaire ! Ta connerie nous l’a mis dans le cul bien profond et toutes tes études n’y changeront rien...
Oui, je sais, tout cela n’est pas bien civil et sérieux, que de vulgarités. Mais quand les formules de politesses et les courriers déférents on été trainés avec mépris, un doigt tendu, un bras d’honneur ou quelques mots grossiers soulagent à défaut de convaincre.
Jean-Yves DELITTE
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