euh... si vous le dites a écrit:yannzeman a écrit:euh... si vous le dites a écrit:Xavier Guilbert a écrit:un Astérix qui vendrait "seulement" 500 000 exemplaires, c'est un échec; un livre de Cornélius qui écoulerait 25 000 exemplaires, c'est un succès retentissant. Le marché de la bande dessinée fait cohabiter des modèles éditoriaux et économiques extrêmement contrastés.
Voilà bien des propos qu'un yannzeman devrait un jour essayer de comprendre.
Mais je crains que ce ne soit pour lui une tâche beaucoup trop lourde...
Non non, j'ai très bien compris, le sens du propos.
Mais au final, est-ce que ces 25 000 ventes suffisent à nourrir les auteurs et toute la chaine du livre autour ?
Non.
Dans la durée, ce n'est pas vivable.
Il faut de vrais locomotives, avec de vrais grosses ventes.
Peu importe si elles sont un peu moins importantes qu'espérées par les financiers du groupe ; ils feront mieux la fois suivante, parce qu'il y aura une prochaine fois !
Tu ouvres ton message en nous disant que tu as très bien compris mais c'est juste un peu dommage que tout ce qui suit nous démontre que ce n'est pas le cas.
25.000, pour Cornelius, c'est ça, la locomotive.
Et ça fait quand même plus de 30 ans maintenant que chez eux, il y a toujours une prochaine fois.
OK pour la maison d'édition, mais quid des auteurs?