nexus4 a écrit:Ah non, je la connais pas. Y va me faire avoir des emmerdes, l'autre.
nexus4 a écrit:Huhu, j'imagine la rédaction du SNAC comme un repère de gros barbus qui rédigent le courrier des lectrices de Tante Aglaé en suçotant des Chupa-chups et qui se dépêchent de mettre des .e. partout, une légère suée sur la tempe, dès qu'Alwett rentre dans la pièce.
henscher a écrit:nexus4 a écrit:Huhu, j'imagine la rédaction du SNAC comme un repère de gros barbus qui rédigent le courrier des lectrices de Tante Aglaé en suçotant des Chupa-chups et qui se dépêchent de mettre des .e. partout, une légère suée sur la tempe, dès qu'Alwett rentre dans la pièce.
Ah oui, pour le coup tu manques grandement d'imagination...
Olaf Le Bou a écrit:Y seront présent.e.s
putain, même là y'a de la novlangue imbitable
kozu a écrit:Olaf Le Bou a écrit:Y seront présent.e.s
putain, même là y'a de la novlangue imbitable
Oh j'ai pensé à toi (en tout bien tout honneur) et aux sceptiques du langage épicène : Dans la revue Silence ils tâchent de l'appliquer et au final ça ne me paraît pas pénible à la lecture. En tout cas ça permet d'avoir un aperçu si vous avez l'occasion. Attention, je préfère prévenir ceux qui ne connaissent pas : il s'agit d'une revue d'écologie politique et volontiers féministe. Ne venez pas crier après
corbulon a écrit:Si on est vraiment ouvert d'esprit il n'y a pas de problème, mais c'est toujours plus difficile quand on fait parti des dominants et qu'on doit donc lâcher du lest. Mais c'est possible d'y arriver, sisi.
corbulon a écrit:Je constate également qu'il suffit qu'une information soit relayée ici sur les nouvelles règles de composition du comité de sélection d'Angoulême garantissant la parité hommes-femmes dans ledits comités, pour immédiatement susciter des réactions agacées.
marinacamille a écrit:Même si je n'accroche pas à ce genre d'écriture, comme le dit Corbulon "le vocabulaire et la grammaire sont vecteurs d'idées ". C'est vrai, et dans une langue, les notions derrière les mots sont ce qui fait cette langue, cette façon de penser....etc d'où des traductions directes bien souvent impossibles.
Donc se poser la question du "pourquoi féminiser des mots" et ne pas rejeter en bloc, c'est p'têtre plus constructif...
Les éditrices et éditeurs recevront les autrices et les auteurs.
nexus4 a écrit:Le mieux serait peut être d'assumer les répétitions et de mettre les féminins en premier. Tout bêtement.Les éditrices et éditeurs recevront les autrices et les auteurs.
Un peu lourd mais lisible. D'ailleurs on voit pas trop pourquoi auteur.trice.s et pas autrice.teur.s. Un peu de galanterie, quoi. A moins que la galanterie soit devenu le summum du machisme, on ne sait pas, on ne sait plus.
Olaf Le Bou a écrit:(et puis je n'ai pas l'impression que dans les nations possédant un langage neutre ou naturellement épicène la cause du féminisme ou l'égalité entre sexes soit beaucoup plus avancée que dans notre pays. Il doit exister des combats plus cruciaux pour faire avancer la chose)
marinacamille a écrit:Donc se poser la question du "pourquoi féminiser des mots" et ne pas rejeter en bloc, c'est p'têtre plus constructif...
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