cronos59 a écrit:Y m'a l'air d'être un gros relou ce Benoit Peeters.
http://www.charentelibre.fr/2016/07/21/ ... 047419.php
Enfin moi ça me géne quand on s'immisce comme une fleur en donneur de leçon dans la popote des autres. Tout ça me rappelle une histoire datant des années 2000 que m'avait raconté un jeune auteur d'alors qui siégeant a la table du duo créateur des cités obscures, s'était vu corrigé par le scénariste sur le fait qu'il ne fallait surtout pas inscrire le nom de la coloriste sur la couverture, que c'était un emplacement réservé aux auteurs tu comprends...
kozu a écrit:Ah ben si une bonne couleur ça ne se fait pas par-dessus la jambe !! Il faut qu'elle colle à l'esprit de l’œuvre, c'est une création, ça nécessite une étroite collaboration avec le scénariste/dessinateur. Désolée mais une colo à côté de la plaque ça gâche tout.
Enfin je ne suis pas d'accord pour ma part.
nexus4 a écrit:Moi je le trouve plutôt légitime.
Il a réussi mais s'intéresse quand même aux petits camarades
Cooltrane a écrit:Désolé, mais les artistes, c'est le dessinateur et le scénariste
le/la coloriste est tout au plus un artisan (je dis cela avec le plus grand respect) qui travaille sur l'oeuvre quasi-terminée, mais c'est un exécutant d'abord et avant tout. Pas un "créateur"
cronos59 a écrit:Je suis évidemment d'accord avec ceux qui disent que la colo est aussi de la créa... Si on part de ton principe Cooltrane, le dessinateur est aussi l'exécutant du scénariste dans ce cas, puisqu'il suit les directives du scénar...
Certaines bd sans couleurs ne seraient plus les mêmes Blacksad, Nikopol, Gipsy etc... On peut prendre l'exemple flagrant de L'incal aussi.
Olaf Le Bou a écrit:tu m'étonnes que c'est important la couleur.
j'ai jamais pu lire Blueberry à cause de ces couleurs merdiques, et je n'ai pu lire XIII et Thorgal qu'une fois découvert les éditions niffle en N&B...
(et du coup je me suis arrêté, respectivement, aux tomes 12 et 16...)
Cooltrane a écrit:Je ne nie pas le rôle du coloriste, mais il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes... L'un est un artiste (même si l’œuvre est une commande), tandis que l'autre est un artisan (p-ê pas dans le sens de ton boulanger, hein!!!).
cronos59 a écrit:Je suis évidemment d'accord avec ceux qui disent que la colo est aussi de la créa... Si on part de ton principe Cooltrane, le dessinateur est aussi l'exécutant du scénariste dans ce cas, puisqu'il suit les directives du scénar...
Certaines bd sans couleurs ne seraient plus les mêmes Blacksad, Nikopol, Gipsy etc... On peut prendre l'exemple flagrant de L'incal aussi.
A mon sens si on ne reconnait pas la valeur de la couleur, il faut sortir sa bd en N&B... Pour moi le coloriste a lui aussi droit a sa part du gateau, d'ailleurs des royalties et une récompense prestigieuse en festival en pousserait ptet certains à transcender leur taf.
Oribiahn a écrit:Cooltrane a écrit:cronos59 a écrit:Je ne nie pas le rôle du coloriste, mais il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes... L'un est un artiste (même si l’œuvre est une commande), tandis que l'autre est un artisan (p-ê pas dans le sens de ton boulanger, hein!!!).
http://dicophilo.fr/definition/artisan/
http://www.lesmetiersdudessin.fr/coloriste-2/
Les 5 premiers mots du second lien: "Le coloriste est un artiste".
Bref, je pense que tu dis n'importe quoi. C'est mon point de vue et je le partage avec moi même .
Oribiahn a écrit:C'est corrigé
Cooltrane a écrit:Oribiahn a écrit:C'est corrigé
cela n'empêche pas que t'es à coté de la plaque
Olaf Le Bou a écrit:
et c'est un maître 7ème dan en la matière qui le dit
Cooltrane a écrit:Une BD sans dessinateur, c'est pas une BD...
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