nexus4 a écrit:et ceux qui ont arrêté carrément la BD
Difficile à mesurer mais je serais curieux d'avoir une étude là dessus.
nexus4 a écrit:et ceux qui ont arrêté carrément la BD
cronos59 a écrit:Malnati a écrit: Cronos : Pour quitter un catalogue, il faut que l'éditeur vende les droits, et que quelqu'un les achète. Je ne vois pas pourquoi j'achèterais les droits...
Le cas que tu cites est effectif dans le cas ou une clause du contrat stipule ce genre d'arrangement j'imagine. Mais un contrat ça se négocie et il existe aussi des contrats ou les droits d'exploitations sont limités à une certaine durée. Ce que personnellement je trouve plus sain. Qui irait se marier avec un inconnu?
henscher a écrit:Euh... pardon hein de m'excuser de déranger, mais tous les contrats d'édition classique (lire: chez les grands éditeurs du milieu, mais pas que, tu serais surpris) comportent cette clause par défaut. C'est même la base, puisque ta "fortune" en tant qu'éditeur, c'est ton catalogue.
cronos59 a écrit:henscher a écrit:Euh... pardon hein de m'excuser de déranger, mais tous les contrats d'édition classique (lire: chez les grands éditeurs du milieu, mais pas que, tu serais surpris) comportent cette clause par défaut. C'est même la base, puisque ta "fortune" en tant qu'éditeur, c'est ton catalogue.
Je sais tout ça, et je n’enlève rien de ce que j'ai dit. Je réitère même ma question: Qui irait se marier avec un inconnu?
C'est un peu ce que vous faites non? Vous signez un contrat à vie avec des gens que vous ne connaissez pas ou peu, dans l'espoir qu'ils vous apportent amour, gloire et beauté.
Thierry_2 a écrit:pour suivre ton raisonnement, pourquoi est-ce que des gens sont assez idiots pour signe rdes zero-hour contract en grande bretagne au lieu de signer des CDI avec une bonne proptection sociale?
cronos59 a écrit:henscher a écrit:Euh... pardon hein de m'excuser de déranger, mais tous les contrats d'édition classique (lire: chez les grands éditeurs du milieu, mais pas que, tu serais surpris) comportent cette clause par défaut. C'est même la base, puisque ta "fortune" en tant qu'éditeur, c'est ton catalogue.
Je sais tout ça, et je n’enlève rien de ce que j'ai dit. Je réitère même ma question: Qui irait se marier avec un inconnu?
C'est un peu ce que vous faites non? Vous signez un contrat à vie avec des gens que vous ne connaissez pas ou peu, dans l'espoir qu'ils vous apportent amour, gloire et beauté.
kilfou a écrit:Bourgeon ? Il me semble qu'il refuse les produits dérivés...
Quoiqu'il y a eu un jeu vidéo Passagers du Vent, mais c'était y a suuuper longtemps.
cronos59 a écrit:Thierry_2 a écrit:pour suivre ton raisonnement, pourquoi est-ce que des gens sont assez idiots pour signe rdes zero-hour contract en grande bretagne au lieu de signer des CDI avec une bonne proptection sociale?
Alors ce serait quoi ta réponse? Ces gens n'ont pas le choix? Ils ne peuvent rien y faire?
Cooltrane a écrit:Je crois que les éditeurs sont vraiment un passage encore trop souvent obligé, mais ils assurent un certains services (pour ne pas dire un service certain) auprès des auteurs aussi...
nexus4 a écrit:Et un auteur français qui voudrait se la jouer Bill Watterson en refusant tout produit dérivé, il peut... ou pas ?
nexus4 a écrit:Et un auteur français qui voudrait se la jouer Bill Watterson en refusant tout produit dérivé, il peut... ou pas ?
cronos59 a écrit:henscher a écrit:Euh... pardon hein de m'excuser de déranger, mais tous les contrats d'édition classique (lire: chez les grands éditeurs du milieu, mais pas que, tu serais surpris) comportent cette clause par défaut. C'est même la base, puisque ta "fortune" en tant qu'éditeur, c'est ton catalogue.
Je sais tout ça, et je n’enlève rien de ce que j'ai dit. Je réitère même ma question: Qui irait se marier avec un inconnu?
C'est un peu ce que vous faites non? Vous signez un contrat à vie avec des gens que vous ne connaissez pas ou peu, dans l'espoir qu'ils vous apportent amour, gloire et beauté.
henscher a écrit:nexus4 a écrit:Et un auteur français qui voudrait se la jouer Bill Watterson en refusant tout produit dérivé, il peut... ou pas ?
Il a intérêt à s'appeler Bill Watterson.
Sinon c'est beaucoup plus compliqué.
henscher a écrit:Si tu sais tout ça, pourquoi dans ce cas est-ce que tu avances que ce sont des clauses spécifiques à certains contrats?
s'il y a bien un truc que tout le monde sait, c'est qu'il n'y a pas ou peu d'argent à la clef.
On ne se plaint pas de l'aspect aléatoire du succès
toine74 a écrit:henscher a écrit:nexus4 a écrit:Et un auteur français qui voudrait se la jouer Bill Watterson en refusant tout produit dérivé, il peut... ou pas ?
Il a intérêt à s'appeler Bill Watterson.
Sinon c'est beaucoup plus compliqué.
Pour rappel, ça a été très compliqué pour Watterson. A la fin, il a gagné, mais le procès à duré des années et lui a sans doute coûté bonbon et pas mal de cheveux blancs. Maintenant, Watterson reste l'exception de l'exception dans un monde où les exceptions sont exceptionnelles : talent hors-norme + succès monstrueux + éthique intellectuelo-artistique d'ermite franciscain soucieux de son karma (le tout aux USA), ça n'arrive pas tous les jours.
cronos59 a écrit:Dans l'illustration, par exemple, il m'est arrivé de vendre les droits d'exploitation pour une durée limitée. Je ne vois pas pourquoi ce serait impossible autre part. D'ailleurs dans le monde éditorial, il me semble que chez Professeur Cyclope c'est à durée limitée, ainsi que chez Thrillbent et probablement encore chez d'autres.
kilfou a écrit:Bourgeon ? Il me semble qu'il refuse les produits dérivés...
Quoiqu'il y a eu un jeu vidéo Passagers du Vent, mais c'était y a suuuper longtemps.
toine74 a écrit:henscher a écrit:nexus4 a écrit:Et un auteur français qui voudrait se la jouer Bill Watterson en refusant tout produit dérivé, il peut... ou pas ?
Il a intérêt à s'appeler Bill Watterson.
Sinon c'est beaucoup plus compliqué.
Pour rappel, ça a été très compliqué pour Watterson. A la fin, il a gagné, mais le procès à duré des années et lui a sans doute coûté bonbon et pas mal de cheveux blancs. Maintenant, Watterson reste l'exception de l'exception dans un monde où les exceptions sont exceptionnelles : talent hors-norme + succès monstrueux + éthique intellectuelo-artistique d'ermite franciscain soucieux de son karma (le tout aux USA), ça n'arrive pas tous les jours.
cronos59 a écrit:henscher a écrit:Si tu sais tout ça, pourquoi dans ce cas est-ce que tu avances que ce sont des clauses spécifiques à certains contrats?
Parce que tous les contrats ne sont pas fait ainsi. Dans l'illustration, par exemple, il m'est arrivé de vendre les droits d'exploitation pour une durée limitée. Je ne vois pas pourquoi ce serait impossible autre part. D'ailleurs dans le monde éditorial, il me semble que chez Professeur Cyclope c'est à durée limitée, ainsi que chez Thrillbent et probablement encore chez d'autres. .
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