Anianka a écrit:les derniers chiffres que j'ai trouvé, au niveau mondial, un chiffre d'affaire de 16.07 Milliards,et 82 Millions de benef, sur 1 trimestre.
au final, la marge n'est que de 0.5%, ce qui n'est pas bcp.
harlockness a écrit:C'est bien joli, la lutte contre le monopole d'Amazon, la défense de la concurrence... Mais la future loi telle qu'elle a été annoncée n'arrangera rien.
bengir a écrit:harlockness a écrit:C'est bien joli, la lutte contre le monopole d'Amazon, la défense de la concurrence... Mais la future loi telle qu'elle a été annoncée n'arrangera rien.
Oui, on est bien d'accord que cette loi ne règlera rien au problème... mais problème il y a, c'est là-dessus que le débat était en train de dériver
ET a écrit:Allez, pour ceux qui voudraient verser leur petite larme
http://www.ledauphine.com/france-monde/2013/10/10/fiscalite-internet-legislation-amazon-sort-de-son-silenceUne société comme Amazon fait des marges très faibles, comme toutes les sociétés de distribution. Au niveau mondial, on est à l’équilibre, on ne fait pas de profit.
Thierry_2 a écrit:il faut une loi pour protéger amazon de ces monstres de libraires indépéndants qui font des marges ééééééénooooooooooooooooooooooooormes
harlockness a écrit:
Après soyons clair, personnellement je m'en tamponne qu'on veuille taper sur amazon. Ce qui me dérange, c'est que sous des apparats de loi "anti amazon", on nous prépare une loi anti vente en ligne qui ne sera néfaste que pour les acheteurs.
Là dessus je laisse le débat suivre son juste cours. J'ai fait mon caca et ça va mieux.
Cooltrane a écrit:Je ne vois pas en quoi interdire les fdp gratuits en-dessous d'une certaine somme d'achat empècherait le commerce en ligne ou la VPC... faut juste vouloir payer le juste prix.
kollambre a écrit:Il est quand même un peu ultra-libéral le monsieur...
eBry a écrit:http://www.les-crises.fr/alaries-amazon-invisibles/
Par ailleurs, grâce à d’astucieux montages fiscaux, Amazon pratique l’optimisation fiscale. C’est donc de l’argent volé aux français.
Olaf Le Bou a écrit:eBry a écrit:http://www.les-crises.fr/alaries-amazon-invisibles/
Par ailleurs, grâce à d’astucieux montages fiscaux, Amazon pratique l’optimisation fiscale. C’est donc de l’argent volé aux français.
pas sûr que cette focalisation anti-amazon serve le propos, pour finir... ce qu'il dénonce ( défiscalisation des bénefs, déshumanisation des salariés ) étant le lot commun de toutes les multinationales, en se braquant sur eux, il montre plus sa méconnaissance du monde du travail qu'autre chose... du coup, son bouquin apparait comme une vendetta personnelle, une recherche de médiatisation, mais pas vraiment comme le brûlot dénonciateur qu'il voudrait être.
gill a écrit:Un texte très intéressant sur le système de distribution des livres (cela pourrait être une BD), par un auteur déjà édité mais aussi nouvellement auto-édité. Et c'est là qu'on voit comment ça fonctionne vraiment et comment agissent les divers libraires :
http://www.sergeroukine.com/livres
Vainqueur : Amazon.
"Il faut alors trouver les bons interlocuteurs. Et personne ne veut mettre le livre en stock. Il faut appeler, négocier, parlementer, expliquer et patienter. Et pendant ce temps, Amazon n’a pas attendu et vend des dizaines d’exemplaires du même livre, toutes les semaines …
(...)
Chez pratiquement tous les grands libraires français (sauf la FNAC), la ré-appro n’est pas automatique ! Il faut appeler le service achat et négocier une réappro. Pendant ce temps là, Amazon vend toujours.
(...)
Pour avoir été dans le commerce pendant plusieurs années, je peux dire que l’essence du commerce c’est d’abord la disponibilité. Avoir les produits en stock, c’est un risque, mais c’est aussi une opportunité.
(...)
Pour ce qui est des libraires, il est triste qu’ils disparaissent. Je suis un lecteur assidu et j’achète en moyenne plus de 50 livres par an (romans, essais, documents, livres pros). (...) Mais pourquoi rentrerais-je en magasin pour trouver un ouvrage si dans un cas sur deux, il n’est pas en stock ?
(...)
Pour info, mon livre s’est plutôt bien vendu pour un livre professionnel. Je suis resté plusieurs semaines dans le top 100 d’Amazon, avec des pointes dans le top 50 (plusieurs dizaines de ventes par jour), et je suis longtemps resté dans les 500 premiers livres vendus."
Toffre a écrit:Un texte très intéressant sur le système de distribution des livres (cela pourrait être une BD), par un auteur déjà édité mais aussi nouvellement auto-édité. Et c'est là qu'on voit comment ça fonctionne vraiment et comment agissent les divers libraires :
http://www.sergeroukine.com/livres
Vainqueur : Amazon.
gill a écrit:Un texte très intéressant sur le système de distribution des livres (cela pourrait être une BD), par un auteur déjà édité mais aussi nouvellement auto-édité. Et c'est là qu'on voit comment ça fonctionne vraiment et comment agissent les divers libraires :
http://www.sergeroukine.com/livres
Vainqueur : Amazon.
"Il faut alors trouver les bons interlocuteurs. Et personne ne veut mettre le livre en stock. Il faut appeler, négocier, parlementer, expliquer et patienter. Et pendant ce temps, Amazon n’a pas attendu et vend des dizaines d’exemplaires du même livre, toutes les semaines …
(...)
Chez pratiquement tous les grands libraires français (sauf la FNAC), la ré-appro n’est pas automatique ! Il faut appeler le service achat et négocier une réappro. Pendant ce temps là, Amazon vend toujours.
(...)
Pour avoir été dans le commerce pendant plusieurs années, je peux dire que l’essence du commerce c’est d’abord la disponibilité. Avoir les produits en stock, c’est un risque, mais c’est aussi une opportunité.
(...)
Pour ce qui est des libraires, il est triste qu’ils disparaissent. Je suis un lecteur assidu et j’achète en moyenne plus de 50 livres par an (romans, essais, documents, livres pros). (...) Mais pourquoi rentrerais-je en magasin pour trouver un ouvrage si dans un cas sur deux, il n’est pas en stock ?
(...)
Pour info, mon livre s’est plutôt bien vendu pour un livre professionnel. Je suis resté plusieurs semaines dans le top 100 d’Amazon, avec des pointes dans le top 50 (plusieurs dizaines de ventes par jour), et je suis longtemps resté dans les 500 premiers livres vendus."
Rigolez, mais c'est justement pour ça que je le trouve intéressant : pensez à tous ceux qui ne connaissent pas ce circuit de distribution et ses difficultés pratiques (lecteurs, auteurs). Lui-même en a été surpris.Brian Addav a écrit:Au moins le gars découvre la chaîne du livre et à quoi sert un éditeur, un diffuseur, un commercial.
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