luc Brunschwig a écrit:Et euh... désolé, mais au début des années 90, on était pas du tout dans une logique d'élargissement du nombre des lecteurs, tout au contraire... le lectorat se réduisait comme peau de chagrin... c'est effectivement en ouvrant le marché à une nouvelle vision de la BD, que les nouveaux éditeurs ont relancé le marché... intéressant là aussi les gros qui n'ont fait que suivre le mouvement là encore.
c'est là où je voulais en venir en fait, ils ont amené une nouvelle frange de lecteurs.
Flo de ICON a écrit:Brian Addav a écrit:et comment trouver une nouvelle voie
Je me demande si vous n'y avez pas déja répondu dans ces derniers posts : En publiant moins, et en publiant des bouquins faits pour durer et pour revenir. Des albums qu'on offre à Noël, des récits qu'on transmet... Bref moins de "consommable", et plus de pérennité. C'est possible aujourd'hui ? Tout va vite et tout est jetable. En tous cas, c'est la solution. Et en plus ça renouvellerait le stock de professionnels de la BD, parce que tous ceux qui vendent ou font du jetable et de l'éphémère ne seraient sans doute pas compétents sur ce domaine... C'est pas un truc d'école de commerce, ça.
A+
Loïc.
Voilà. Que le système pète un coup pour que les financiers se barrent