BDCOLLECTORS a écrit:C'est exactement ce que je me disais en voyant les premiers dessins. Floc'h grand Maître de la « Ligne Grasse ».
Je vais feuilleter l'album avant d'acheter ou pas, voir si l'encrage à la truelle ne m'est pas rédhibitoire.
Aramis90 a écrit:cet album est fait pour les vieux
il est dessiné gros !
Le Tapir a écrit:Je viens également de le finir. L'édition bibliophile pour ma part, (je ne regrette pas parce que je la trouve magnifique). En ce qui me concerne j'ai trouvé le dessin et la colorisation absolument excellents, voir exceptionnels. J'adore le dessin épuré de Floc'h qui respire et qui fonctionne vraiment très bien avec un scénario à la Blake et Mortimer. De très belles planches qui m'ont emporté, une histoire qui fonctionne bien ( j'ai largement préféré ce nouveau tome au précédent écrit par les mêmes auteurs, tome que j'avais trouvé un peu fastidieux). Bref, une très belle bd ce Blake et Mortimer de Floc'h!
Alexander a écrit:Je ne veux pas répondre en lieu et place du Tapir, mais perso je ne peux répondre que oui.
Il y a quelques posts (je ne le retrouve pas là tout de suite) tu critiquais le côté "carton-pâte" du décor de New-York, je crois.
Oui légèrement. Et ?
C’est un choix, une volonté, ça fait partie de son style. Mais tu n’es pas juste car tu oublies de dire que les perspectives sont toutes impeccables, pas une erreur, pas de bouillasse abondante en détails comme certaines reprises pseudo ligne claire dont je ne saurais plus te citer les auteurs.
Et ce, malgré le côté dépouillé et le fort bel encrage pinceau « épais ». Floc'h ne triche pas.
Il a par ailleurs bossé avec Resnais, ce n’est pas tout à fait un hasard. Dans la filmo de Resnais, il y a quelques métrages qui ont un côté théâtral et une esthétique quelque peu "carton-pâte". Mélo, Smoking no smocking, Aimer boire et chanter, On connaît la chanson... Ça en laisse quelques uns sur le côté, tant pis pour eux. Moi j’adore. Il n’y a pas que Resnais d’ailleurs, il y a aussi Ozon.
Et les trois ont souvent décrit la « comédie humaine », ce qui les intéressent c'est plus les interactions que l'impeccable développement d'un scénario polar ou espionnage.
Alexander a écrit:Je ne veux pas répondre en lieu et place du Tapir, mais perso je ne peux répondre que oui.
Il y a quelques posts (je ne le retrouve pas là tout de suite) tu critiquais le côté "carton-pâte" du décor de New-York, je crois.
Oui légèrement. Et ?
C’est un choix, une volonté, ça fait partie de son style. Mais tu n’es pas juste car tu oublies de dire que les perspectives sont toutes impeccables, pas une erreur, pas de bouillasse abondante en détails comme certaines reprises pseudo ligne claire dont je ne saurais plus te citer les auteurs.
Et ce, malgré le côté dépouillé et le fort bel encrage pinceau « épais ». Floc'h ne triche pas.
Il a par ailleurs bossé avec Resnais, ce n’est pas tout à fait un hasard. Dans la filmo de Resnais, il y a quelques métrages qui ont un côté théâtral et une esthétique quelque peu "carton-pâte". Mélo, Smoking no smocking, Aimer boire et chanter, On connaît la chanson... Ça en laisse quelques uns sur le côté, tant pis pour eux. Moi j’adore. Il n’y a pas que Resnais d’ailleurs, il y a aussi Ozon.
Et les trois ont souvent décrit la « comédie humaine », ce qui les intéressent c'est plus les interactions que l'impeccable développement d'un scénario polar ou espionnage.
zourbi le grec a écrit:Puisque Alain Resnais a été cité, je vois plus dans cette album une influence hitchcockienne et particulièrement La mort aux trousses et pas seulement pour l'ONU. Blake a la beauté et le côté classe de Gary Grant, Olrik l'élégance et la désinvolture de James Mason et Rosalind Shapiro est la blonde froide et sophistiquée à la hitchcock, quoique moins sensuelle qu'Eva Marie Saint. Il ne manque que George Kaplan
jfmal a écrit:Tiens, je vois que "l'art de la guerre" est désormais en rupture chez l'éditeur.
Je serais curieux de savoir à combien s'élevait le 1er tirage.
jfmal a écrit:Tiens, je vois que "l'art de la guerre" est désormais en rupture chez l'éditeur.
Je serais curieux de savoir à combien s'élevait le 1er tirage.
han_solo a écrit:jfmal a écrit:Tiens, je vois que "l'art de la guerre" est désormais en rupture chez l'éditeur.
Je serais curieux de savoir à combien s'élevait le 1er tirage.
L'éditeur esperait ecouler 200 000 ex. (evoqué dans un article de Paris Match). Sans doute très très optimiste!
Il est fort probable que le 1er tirage n'excedait pas le 1/4 de l'objectif esperé.
Rupture chez l'editeur, ça ne dit rien du nombre de ventes.
marone222 a écrit:jfmal a écrit:Tiens, je vois que "l'art de la guerre" est désormais en rupture chez l'éditeur.
Je serais curieux de savoir à combien s'élevait le 1er tirage.
Et l'édition bibliophile marche bien ?
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