Voilà un rebondissement singulièrement exhaustif (cher Ceberazelozon)Cabarezalonzo a écrit:Pour rebondir sur l'intervention de Guneg
Le Complot a écrit:Comme je disais l’autre fois, B&M est avant tout une série fantastique, bien plus que policière. Sur les 25 et quelques albums, je ne vois que le collier et le testament qui n’ont aucun éléments fantastiques. Et tout ça sans parler de composants SF, qui jalonnent aussi la série sur de nombreuses pages, voire tomes entiers. En fait, le fantastique et la SF ne sont jamais très loin l’un de l’autre, sur cette série.
chatigret a écrit:Le Rayon "U"
toine74 a écrit:Le classique parcours de SOS Météore façon street-view : https://www.lapresse.ca/arts/litterature/2021-04-11/bande-dessinee/sur-la-piste-de-blake-et-mortimer-avec-street-view.php
Morti a écrit:Le Complot a écrit:Comme je disais l’autre fois, B&M est avant tout une série fantastique, bien plus que policière. Sur les 25 et quelques albums, je ne vois que le collier et le testament qui n’ont aucun éléments fantastiques. Et tout ça sans parler de composants SF, qui jalonnent aussi la série sur de nombreuses pages, voire tomes entiers. En fait, le fantastique et la SF ne sont jamais très loin l’un de l’autre, sur cette série.
Fantastique, sci-fi et espionnage je dirais...
L'affaire Francis Blake n'a aucun aspect fantastique non plus, ce qui a d'ailleurs été reproché à Van Hamme à l'époque.
caalois a écrit:J'ai tendance pour ma part à préférer les Blake et Mortimer qui ne sont pas trop fantastiques. J'aime le fantastique présent dans la grande pyramide, moins celui du piège diabolique qui lorgne trop du côté de la SF. Et les histories plus polars sont celles qui me plaisent le plus.
toine74 a écrit:Le classique parcours de SOS Météore façon street-view : https://www.lapresse.ca/arts/litterature/2021-04-11/bande-dessinee/sur-la-piste-de-blake-et-mortimer-avec-street-view.php
Amateur d’art antique égyptien, collectionneur d’armes en tous genres, chanteur lyrique amoureux de la scène… Avant d’être le créateur de Blake et Mortimer, Edgar P. Jacobs est un homme d’une grande curiosité, animé par des passions nombreuses qui ont toute sa vie transporté son imagination. Ainsi, à 18 ans, il se rêve davantage en chanteur d’opéra qu’en
dessinateur de bande dessinée. Malgré un passage à l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles, il préfère considérer le dessin comme un gagne-pain et non comme une véritable vocation. Mais la guerre arrive et dans les années 1940, les Allemands exigent que le contenu de la série américaine Flash Gordon soit repris et modifié. La tache revient à Jacobs qui fournit ensuite au journal les planches de sa première série : Le Rayon U. Plus tard, il rencontre Hergé, l’assiste sur Tintin – sans jamais être crédité – et finit par créer les aventures de deux héros anglais appelés à devenir des incontournables du genre : le colonel Francis Blake et le professeur Philip Mortimer. La bande dessinée est devenue son art et son métier, mais l’histoire de Jacobs ne s’arrête pas là..
À l’occasion de l’anniversaire de la première publication des aventures de Blake et Mortimer il y a 75 ans, voici le portrait biographique de l’un des plus grands auteurs du neuvième Art. François Rivière, qui s’est longuement entretenu avec le maitre de son vivant, y raconte l’artiste au travers de nombreuses et fascinantes anecdotes qui ont constitué la vie de l’auteur belge.
Philippe Wurm, l’un des héritiers évidents et revendiqués de la ligne Jacobs, met en scène cette fascinante destinée « à la manière de », d’un trait fin et précis confondant de mimétisme.
L’ouvrage se déclinera en deux éditions : Jacobs - Le rêveur d’apocalypses propose la bande dessinée complète en couleurs complétée d’un appareil critique succinct détaillant « l’homme Jacobs ». Jacobs - Le rêveur d’Apocalypse - édition spéciale est l’édition luxe du même ouvrage, en noir et blanc, enrichie d’un appareil critique très dense (photographies, cartes postales,
documents d’époque, notes, essais...) sur les coulisses de la création de l’œuvre de Jacobs et les recherches effectuées par Wurm et Rivière.
Je suppose que sa parution est simplement décalée pour permettre ce tir groupé. L'éditeur a dû estimer qu'il pouvait être intéressant de publier simultanément ou quasi-simultanément trois bouquins avec l'Espadon.Genug a écrit:Ça signifie que L'affaire du collier, annoncé par Schlirf dans la même série, est passé à la trappe ?
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