Croaa a écrit:vincecarter a écrit:Mais c'est juste un document de travail, je suis curieux du découpage final du coup.
Ben voilà. Sans avoir le produit fini, difficile d'avoir un avis complet.
D'ici 2 ou 3 ans, on devrait avoir ça dans les bacs !
Croaa a écrit:vincecarter a écrit:Mais c'est juste un document de travail, je suis curieux du découpage final du coup.
Ben voilà. Sans avoir le produit fini, difficile d'avoir un avis complet.
vincecarter a écrit:Mortimer en guinea pig? Une référence à Psychose? (...)
Pardeilhan a écrit:vincecarter a écrit:Mortimer en guinea pig? Une référence à Psychose? (...)
--- dans l'image de Mortimer assis dans le labo, j'y verrais plutôt une référence à Orange Mécanique, de Kubrick...
.
vincecarter a écrit::D Je ne disais pas que Mortimer en Guinea pig est une référence à Psychose. Je faisais juste remarquer que la case en bas à gauche sur la première image est une image tirée de Psychose.
Le Rescator a écrit:Dans les faits, Etienne Schréder collabore à la série depuis près 25 ans de façon parfois complètement anonyme.
Le Rescator a écrit:
Quant à Etienne Schréder, il commence à travailler officiellement dès 2010 sur la série Blake et Mortimer, en assistant Antoine Aubin sur l'encrage du Tome 2 de "La Malédiction des Trente Deniers" :
Il continue, toujours avec Aubin, dans "L'Onde Septimus", en 2013 :
L'année suivante, il assiste André Juillard sur l'album "Le Bâton de Plutarque" :
Étienne Schréder se partage les dessins avec Christian Cailleaux - le Bruxellois se charge des dessins des décors et des postures, et le Bordelais des personnages - dans "Le Cri du Moloch", scénarisé par Jean Dufaux :
Dans les faits, Etienne Schréder collabore à la série depuis près 25 ans de façon parfois complètement anonyme.
Cabarezalonzo a écrit:Ah oui, c'est vraiment curieux. Vingt-cinq ans, comme il le déclare, ça nous ramène vers 2005/2006, soit quand Juillard doit entreprendre son Sanctuaire du Gondwana.
Quoi qu'il en soit, on a l'impression que ce zig est là, parachuté par l'éditeur, juste pour que les équipes qui travaillent en parallèle, tiennent la cadence.
Et quand un B&M sort, ça jette une ombre terrible sur une grosse partie de la production d'auteurs moins en vue (mais pas forcément moins intéressants). Qui doivent aussi affronter les sorties savamment orchestrées par les équipes marketing d'Astérix et Lucky Luke (avec des "spin-off" et "vu par" à la pelle concernant le cow-boy solitaire).
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