Lapin Moutarde a écrit:cdmdu a écrit:Mais je ne comprends toujours pas pourquoi tu t'escrimes à ne venir poster que pour dire que les couleurs sont moches... Ton vrai prénom est Jean-Baptiste?
fan de la série, j'ai simplement voulu exprimer mes craintes, l'envie de retrouver un "vrai" Blacksad, comme les 2 premiers tomes , mais la prochaine fois je m'abstiendrai puisqu'ici il est interdit de donner son avis.
pour conclure je donnerais à certains ici une citation de Voltaire, qui j'espère les fera réfléchir
" je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites mais je suis prêt à mourir pour que vous puissiez le dire"
Le coup de l'abstinence, tu nous le ressort tous les 5 mois et demi, donc ça ba, je m'y suis fait: toutes les 23 semaines, je serre les fesses.
Après, je ne vois pas ce que tu appelles un "vrai" Blacksad: dans le tome 3, les cases de la roulette, au casino, de l'entrée du chat dans l'atelier du peintre, de la maison d'Otero, du port ou encore du crash dans la vitrine du magasin de chaussures, sont, à mon avis, tout simplement fabuleuses. Sans compter la décomposition du visage de Blacksad dans l'aquarium.
Par contre, c'est vrai que j'ai eu plus de mal avec les violets et les mauves-roses, surtout ceux du soleil couchant. Mais de là à déblatérer avec haine sur l'auteur, il y a un (grand) pas.
Oncle Hermes a écrit:driepick a écrit:Eh bien quel débat ! J'imagine pas comment ce sera une fois l'album sorti, acheté et lu
Il n'y aura plus de débat à ce moment-là car l'album fera forcément l'unanimité.
Non je plaisante.
Comme à chaque fois, il sera mieux que le prochain et moins bon que le précédent, aux dires des gens. Mais ils achèterons quand même la suite, tout en disant qu'elle est beaucoup moins bien que le tome 4, alors élevé au rang de référence!
pabelbaba a écrit:Je crois avoir mis le doigt sur ce qui cloche dans cette couv'... C'est le costard vert... C'est moche, en fait, un costard vert...
Surtout, ce pauvre détective n'a qu'une seule cravate!
Je pense que sa prochaine conquête pourrait faire un effort en lui offrant ce "collier de nouilles" des hommes.