Ah la la, la la. non mais qu'estce qu'il faut pas lire. franchement, je vous jure.
Bon, j'irai pas dire du mal du chroniqueur juste parce qu'il n'a pas aimé mon bouquin. C'est le jeu après tout de s'en prendre plein la tronche quand on publie. D'ailleurs, le type de Bodoï m'a habitué à plus mordant comme critique (et de plus mauvaise foi). Ceci dit, je suis assez surpris. car les références, dont parle Perroud, ne sont pas les miennes. Je vais sans doute dire des conneries mais Tarantino, c'est quand même pas génial. évidemment, on s'est fait une petite couv en clin d'oeil à Pulp fiction, dernier film rigolo de l'auteur. Et ce, uniquement car à chaque fois que je publie un polar, il y a toujours quelqu'un pour me dire que j'aime Tarantino. (c'est un peu pour donner la batte pour se faire battre). Mais les autres, je ne vois pas. je dois manqué de culture cinématographique puisque je ne remarque même pas les références dont je saupoudre l'histoire.
Et puis, sinon, j'aimerai bien prendre la défense de Renart. ce qu'il a fait est des plus honorables. et vu son jeune âge, je me dis que ce mec va tabasser sa race dans pas si longtemps. au même âge, Jean Giraud était moins doué !

et puis, y'a pire comme influence que celle de F Peeters, non?
Bref. voilà ma critique de la chronique.
Et pour ceux qui seraient encore interessés par ce que je fais, ils peuvent aller voir une autre critique (sur l'amourir) ici :
http://www.sceneario.com/bd_14099_AMOURIR%20(L').html