Anime / japanime / séries animées / OVA's / ONA's

[zanzibar]

Message précédent :
Netflix qu ifait une adaptation.

[zanzibar]

Kids on the Slope ou Sakamichi no Apollon tiré du manga de Yuki Kodama, porté en une série de 12 épisodes de 22 minutes par le studio Mappa et Tezuka production, et réalisé par Shinichiro Watanabe.
Avec une très belle OST Jazzy de Yoko Kanno.

A la fi ndes années 60, notre premier repère temporel est la mort de John Coltrane, Kaoru Nishimi pianiste et Lycéen en première année, fraichement arrivé, va découvrir le Jazz grâce à un camarade de Classe, Sentaro Kawabushi batteur, et former un groupe éphémère avec Junishi Katsuragi ( trompettiste) et le disquaire/contrebassiste Tsutomu Mukae qui possède une cave ou ils peuvent répéter.
Le tout sur l'Ile subtropicale de Kyushu.
Puis ils vont se prendre la réalité sociale de la fin des années 60 en travers de la figure.
Les 9 premiers épisodes, il suffit de se laisser porter par la bande son, dommage que les 3 derniers soient si cousus de fil blanc.
Je pardonne malgré tout.
A vous de vous faire votre avis sur cette série, moi je l'aime malgré ses défauts.

[corbulon]

Trailer de l’adaptation animée de l’excellent manga l’Enfant et le Maudit de Nagabe.

[nexus4]

Quelques minutes pour quitter la PLS suivant inéluctablement le visionnage du trailer de Cowboy Bebop live action. Entre un Spike asiatique ayant subi une abblation du charisme pour s'adapter à son nanisme, l'absence d'Ed et du clébard !!!!!!!!!!!!!!! Non rien que ça c'est déjà une hérésie…

Les points positifs de l'esthétique , du choix de faire apparaitre Pierrot et de l'acteur incarnant Jet (qui semble très bien incarner son personnage )ne pourront pas me pousser à voir ce truc. Fay semble coller mais je n'ai jamais aimé son personnage "hameçon à geek en rut" sauf gratuitement et en full hd.

edit / je n'avais pas réalisé que c'était une série, je suppose que Ed arrive après mais je ne suis pas rassuré pour autant.

J'aime bien on y retrouve bien le mix high tech / has been. Gros moyens pour faire du kitch, de la colorimetrie aux combats, c'est tout kitch, anachronique, ca colle pas tout à fait et c'est bien sympa.

Une analyse de l'anim aux live action.
https://podcast.ausha.co/c-est-plus-que ... hieu-pinon

[zanzibar]

Welcome to the Ballroom ou Ballroom e Youkoso tiré du manga de Tomo Takeuchi.
Du Studio Production IG en 24 épisodes de 25 minutes.
Le récit de Tatara Fujita collégien en dernière année qui par un concours de circonstances découvrira le monde de la Danse compétitive.
Comportant 2 disciplines: Les danses Latines ( Samba,...) et les danses standards ( Tango, Valse et Viennoise, Foxtrot et quickstep.)
Il sera Parrainé par Kaname Sengoku, un danseur Professionnel.

Fujita aura 2 partenaires de Danses:lors des 12 premiers épisodes, la soeur cadette de Gaju Akagi, Mako Akagi avec une personnalité intravertie mais douée une fois sur la piste.
Et Chinatsu Hiyama, lors des 12 derniers, camarade de Classe de Fujita une fois au Lycée, elle se révèlera réticente, revêche, parce qu'ayant déjà pratiqué le role de Guide dans les catégories Junior ( quand il n'y a pas assez de garçon), et extravertie.
Il aura bien du mal à tirer cette ivresse, en plus de la synchronysation technique qu'il avait su trouver avec Mako, malgré un talent indéniable.

Il est dommage que l'Animé ait tant besoin d'expliquer tous les évènements hors contexte de la danse de compétition, à se demander si ils ont pas adaptés le manga littéralement par moment.
Alors qu'ils ont su capter une enérgie, une coordination fusionnelle de très grande qualité.
Une bonne série malgré son pêché mignon.

[zanzibar]

L’Attaque des Titans ou Shingeki no Kyojin par le mangaka Hajime Isayama, Par Wit Studio et Production IG, puis par Wit Studio seulement par la suite.
Une première saison de 25 épisodes, une seconde de 12 épisodes et pour finir une troisième de 22 épisodes de 22 à 24 minutes, du genre Fantasy/action.
Le récit d'amis d'enfance ( Eren Jager, Mikasa Ackerman, et Amin Arlelt), vivant des décennies après la disparition subite d'un pan de l'humanité. Une structure de 3 murs concentriques ( de 60 mètres de haut) distant de 500 kilomètres chacun protège les quelques villes et le peu d'humain restant.

Les 13 premiers épisodes malgré des phases d'expositions pré-batailles rébarbatives gardent assez de mystères tout en se focalisant sur 2 objectifs précis : Reconquérir les territoires perdus et ouvrir la porte de la cave familiale grâce à la clé que le héros porte autour du coup.

C'est là que la série va perdre de vues ses objectifs, qu'elle avait mise en place, pour s'égarer dans des commentaires brouillons sur les actes des personnages par les personnages eux-mêmes comme un sous texte alors que c'est visible à l'écran. Le discours indirect aplatira et affadira à la longue les intentions du groupe de reconnaissance.
Trop de retour à des phases d'initiations déjà vues, de personnages peu pertinents qui vont apparaitre pour disparaitre rapidement, avec des révélations stéréotypées, etc...
Dommage l'univers a un certain poids en terme d'imaginaire.
Et l'opening de la saison 2 est magnifique et a cette aspiration démentielle des récits d'actions, ironiquement.

Une série décevante malgré la qualité indéniable de son monde.

L'opening de la saison 2, tout ce que ne sera jamais la série finalement.

[zanzibar]

La rose De Versailles ou Berusaiyu No Bara tiré du Shojo Manga de Riyoko Ikeda, de 1979 en 40 épisodes de 24 minutes.
( Faute d'audience à l'époque la série a failli s'arrêter lors de l'épisode 23 au Japon sur NTV)
Du pur Mélodrame entre 1760 et 1790, en France.
N'y Cherchez aucune vérité Historique, exacerbations des sentiments, des passions et des notions morales sont au cœur du récit.
La série est particulièrement violente de ce point de vue, accrochez-vous ou fuyez-la. ( je rigole pas)

En 1755, Née la 6eme fille du Comte/Général de JarJayes, las il élèvera cette fille comme un garçon pour devenir un gradé de la Garde Royale. Androgyne et travestie, Oscar François de Jarjayes deviendra amie avec Marie-Antoinette d'Autriche, La Rose de Versailles du titre, encore Dauphine sous Louis XV.
La série est un maelstrom entre la douceur et la quiétude du début ( Roses et arc en ciel de rigueur), les manigances, les adultères, les mariages forcés d'enfants, les suicides, les renoncements, les intrigues, et les meurtres jusqu'aux prémices de la Révolution.
Le récit ne sera jamais avares en évènements.

En terme de mises en scène la série se permet TOUT: travelling avant-arrière, point focal, zone d'ombre, gros plan sur les yeux ou les visages, effet de vitesse, contraste saisissant, éclairs traversant l'écran de part en part, miroirs brisés aux multiples facettes, plongée-contre plongée, etc...
Le niveau d'insolence est Incroyable.

L'OST de Hiroko Suzuki, Shingo Araki, Michi Himeno a la particularité d'avoir des thèmes musicaux magnifiques pour les Héros qui restent gravés longtemps en tete, et un ending de l'indicible. ( Si l'amour est souffrance, Je suis pret à l'endurer. jusqu'à ce que ton coeur, En soit un jour touché. Je suis l'ombre..., Et plus je souffre, plus mon amour grandit)


Récit sur une vierge de fer, à la fois Flamboyant, Incandescent, Grandiloquent et Crépusculaire. Chef d'œuvre du Genre.

[Bolt]

C'est là que la série va perdre de vues ses objectifs, qu'elle avait mise en place, pour s'égarer dans des commentaires brouillons sur les actes des personnages par les personnages eux-mêmes comme un sous texte alors que c'est visible à l'écran. Le discours indirect aplatira et affadira à la longue les intentions du groupe de reconnaissance.

C'est là où il y a un loupé, là où le series composer et les scénaristes associés ont voulu trop garder du matériau originel, quitte à tuer le rythme et remplir à outrance les épisodes et tenir les deux premières saisons. A préférer la version papier, même si c'est un peu lourdaud par moments.

Autre chose préjudiciable par la suite, le changement de studio. L'estimable Wit Studio ne pouvant s'en occuper dans les temps, préférant se concentrer sur les créations originales (Great Pretender, Vivy: Fluorite Eye's Song, et la suite et fin de Kabaneri of the Iron Fortress), ils ont laissé partir le projet et ses porteurs chez MAPPA, studio débitant de l'anime au kilomètre avec un résultat pas toujours très heureux.

---

De mon côté, j'ai regardé Cyber City Oedo 808. Ca fait partie de ces OVA 80's que Madhouse principalement balançait à foison : sci-fi ou fantastique adulte, sombre à souhait, heavy metal de super marché ou Vangelis / Goblin -like en fond sonore...

Bon, les trois épisodes de Cyber City avaient déjà atteint la date péremption avant d'arriver sur la marché de la vidéo en 90 et 91. En fait, l'intérêt était de visionner un des seuls animes réalisés par Yoshiaki Kawajiri que je n'avais pas encore vus.

Le bonhomme est un des co-fondateurs de Madhouse au début des années 70 (avec Masao Maruyama, Osamu Dezaki et Rintarō), et devient progressivement un des noms importants dans le domaine du storyboarding et du key animation dans l'animation japonaise. Accessoirement, il a aussi réalisé quelques court-métrages (des segments dans The Animatrix, Manie-Manie...) mais aussi des films et OVAs comme Wicked City (1987, ce qui a amorcé son virage grim & gritty), Demon City Shinjuku (1988), Vampire Hunter D (2000) ou Ninja Scroll (1993, son projet le plus personnel et un de mes animes de chevet).

Trois criminels condamnés à perpet' sont recrutés par la Cyber Police afin de réduire leur peine. Evidemment, ils doivent porter un collier explosif, car leur employeur n'hésiterait pas à utiliser pour leur faire pression. Chaque épisode est centré sur une affaire et sur un des trois personnages principaux, la grand gueule Sengoku, le colosse geek Gogol et l'androgyne raffiné (et très "femme") Benten.

Pour rester poli, Cyber City ne bénéficie pas du plus brillant des scripts, des antagonistes anecdotiques, les dialogues sont appuyés au possibles, des scènes qui s'enchainent sans aucune logique... On est à la limite du nanardesque, mais le savoir-faire de Yoshiaki Kawajiri arrive à maintenir l'anime sur le bord de la ligne, troussant quelques scènes d'action de belle facture (pour les années 80) avec un rythme juste comme il faut, installant des personnages bien typés (très années 80) et une cette ambiance grim & gritty caractéristique de l'oeuvre de Kawajiri. Pour ma part, le premier épisode est le moins intéressant, un peu plombé par la personnalité de Sengoku, les deux autres tiennent mieux la route, avec une petite préférence pour le 3ème centré sur Benten.

[Aildiin]

C'est moi ou Kuroko's basketball est quand meme bien en dessous de Hakyuuu! au niveau qualite ?

Les semi super pouvoirs des basketeurs de la generation des miracles c'est quand meme assez naze...

[Anianka]

C'est moi ou Kuroko's basketball est quand meme bien en dessous de Hakyuuu! au niveau qualite ?

Les semi super pouvoirs des basketeurs de la generation des miracles c'est quand meme assez naze...

Hakyuuu j ai pas trouvé ça terrible, au final j ai préféré le côté surréaliste de Kuroko.
Mais bon question anime de sport, mon préféré reste Eyeshield 21 et je trouve la quasi totalité des autres a peine regardables.

[zanzibar]

C'est là que la série va perdre de vues ses objectifs, qu'elle avait mise en place, pour s'égarer dans des commentaires brouillons sur les actes des personnages par les personnages eux-mêmes comme un sous texte alors que c'est visible à l'écran. Le discours indirect aplatira et affadira à la longue les intentions du groupe de reconnaissance.

C'est là où il y a un loupé, là où le series composer et les scénaristes associés ont voulu trop garder du matériau originel, quitte à tuer le rythme et remplir à outrance les épisodes et tenir les deux premières saisons. A préférer la version papier, même si c'est un peu lourdaud par moments.

Autre chose préjudiciable par la suite, le changement de studio. L'estimable Wit Studio ne pouvant s'en occuper dans les temps, préférant se concentrer sur les créations originales (Great Pretender, Vivy: Fluorite Eye's Song, et la suite et fin de Kabaneri of the Iron Fortress), ils ont laissé partir le projet et ses porteurs chez MAPPA, studio débitant de l'anime au kilomètre avec un résultat pas toujours très heureux.

ah! donc ils ont adapté la série littéralement. assez contre productif au final pour uen série d'action. Pour ce qui est du manga, je crois je ne le lirai pas ou peut-etre meme jamais.
Après pour le changement de studio, les producteurs ont pensé qu'ils s'y retrouveraient financièrement, je ne leur jette pas la pierre, c'est surtout dommage pour les fans qui voulaient une adaptation à la démesure des Titans.

[fanche]

Là par contre
https://adala-news.fr/2021/10/lanime-kingdom-saison-4-arrive-au-printemps-2022/

[Aildiin]

Là par contre
https://adala-news.fr/2021/10/lanime-kingdom-saison-4-arrive-au-printemps-2022/

je ne l'ai jamais vu mais je pensais que le consensus etait que l'anime de Kingdom etait vraiment terrible.

Ce n'est pas vrai ?

[fanche]

Là par contre
https://adala-news.fr/2021/10/lanime-kingdom-saison-4-arrive-au-printemps-2022/

je ne l'ai jamais vu mais je pensais que le consensus etait que l'anime de Kingdom etait vraiment terrible.

Ce n'est pas vrai ?

Autant le manga est une tuerie.
Autant l'animé mange le monde

[e m]

Vu Blue Period sur Netflix
Un lycéen se découvre une passion pour l'art et tente d'intégrer une école d'arts.
Rien de mauvais ni de folichon niveau animation ou charadesign, c'est de l'anime passepartout dans l'ère du temps, comme on voit souvent.
J'étais au bord de l'ennui, mais comme ça porte sur un thème que je n'avais encore jamais vu en anime, je me suis enfilé tous les épisodes.
Il y a un petit côté shonen avec le personnage principal qui se surpasse pour atteindre ses objectifs. Les personnages secondaires ne sont pas assez développés.
Inutile d'aller plus loin que le premier épisode s'il ne vous plait pas.

[Bolt]

Il ne faut pas perdre de vue que le manga papier a fini par lui aussi s'égarer, s'étirer en longueurs inutiles et se finir en flop.
On sent que l'auteur s'est laissé dépasser.

Pas de flop de mon côté, j'en pense tout le contraire, à vrai dire. Alors, la manière n'est pas toujours là, mais il a su mener sa barque là où il voulait et faire savamment monter la pression.

Vu Blue Period sur Netflix
Un lycéen se découvre une passion pour l'art et tente d'intégrer une école d'arts.
Rien de mauvais ni de folichon niveau animation ou charadesign, c'est de l'anime passepartout dans l'ère du temps, comme on voit souvent.
J'étais au bord de l'ennui, mais comme ça porte sur un thème que je n'avais encore jamais vu en anime, je me suis enfilé tous les épisodes.
Il y a un petit côté shonen avec le personnage principal qui se surpasse pour atteindre ses objectifs. Les personnages secondaires ne sont pas assez développés.
Inutile d'aller plus loin que le premier épisode s'il ne vous plait pas.

Connaissant un peu le manga, c'est même complètement shônen. Je regarde de moins en moins du côté des adaptations, je pense malgré tout lui donner une chance, je suis curieux de voir comment le thème est traité visuellement.

C'est moi ou Kuroko's basketball est quand meme bien en dessous de Hakyuuu! au niveau qualite ?

Les semi super pouvoirs des basketeurs de la generation des miracles c'est quand meme assez naze...

Hakyuuu j ai pas trouvé ça terrible, au final j ai préféré le côté surréaliste de Kuroko.
Mais bon question anime de sport, mon préféré reste Eyeshield 21 et je trouve la quasi totalité des autres a peine regardables.

Pareil, pareil de difficultés à regarder les animes de sport. Mais avec une sensibilité plus proche de Aildiin que de Anianka. D'ailleurs @Aildiin, je te propose de jeter un coup d'oeil à Kaze ga Tsuyoku Fuiteiru / Run with the Wind qui a été pour moi une bonne surprise, j'en ai parlé un peu dans le topic.

[euh... si vous le dites]

D'ailleurs @Aildiin, je te propose de jeter un coup d'oeil à Kaze ga Tsuyoku Fuiteiru / Run with the Wind qui a été pour moi une bonne surprise, j'en ai parlé un peu dans le topic.

Kaze ga tsuyoku fuiteiru, c'est très très bien.
A la maison, on est tous super fan des ekiden universitaires au Japon (là, on s'apprête à passer deux nuits blanches début janvier
pour regarder en direct le prochain ekiden de Hakone - celui qu'on voit dans l'anime) et la série est super crédible (sauf sur le niveau de qualification inatteignable pour une équipe telle qu'on la voit dans l'anime - mais ça fait partie du jeu).

Sinon, on est tous aussi très fans à la maison de la version animée de Haikyuu. Même si la dernière saison, qui a beaucoup souffert dans sa production de la période covid, est la moins bonne.
Y a un supplément d'âme dans Haikyuu qu'on trouve dans très peu de shônen. Et puis, on n'est pas dans l'outrance permanente, loin de là, ce qui n'est pas pour me déplaire.

[Bolt]

Sinon j'insiste sur Ousama Ranking / Ranking of Kings (23 épisodes prévus, 8 déjà diffusés), on a peut-être là un futur grand anime.

[euh... si vous le dites]

Sinon j'insiste sur Ousama Ranking / Ranking of Kings (23 épisodes prévus, 8 déjà diffusés), on a peut-être là un futur grand anime.

Ca fait plusieurs fois que ma plus grande m'en parle.
Je pense qu'on va mettre les vacances de Noël à profit pour voir de quoi il retourne.

[Bolt]

Je pensais les remater en VF cette fois-ci, pour le voir avec les boltinettes. Mais le doublage du premier épisode m'a complètement refroidi. Je ne me sens plus capable de voir un japanime autrement qu'en japonais.

[euh... si vous le dites]

Je pensais les remater en VF cette fois-ci, pour le voir avec les boltinettes. Mais le doublage du premier épisode m'a complètement refroidi. Je ne me sens plus capable de voir un japanime autrement qu'en japonais.

Les doublages, ça fait saigner les oreilles.