Mr Degryse a écrit:Cela a dû bien se passer...........
Il avait déjà menacer de péter la gueule de mon beau père après un verdict qui n'allait pas dans son sens. Il l'avait aussi menacer physiquement entre les audiences. Un mec bien !
Brian Addav a écrit:Mr Degryse a écrit:Cela a dû bien se passer...........
Il avait déjà menacer de péter la gueule de mon beau père après un verdict qui n'allait pas dans son sens. Il l'avait aussi menacer physiquement entre les audiences. Un mec bien !
Il a quand-même une drôle de réputation pour un avocat... C'est fou.
Et tant qu'on est sur ce terrain là : Est ce qu'un SDF attaquant qqun physiquement pour le voler ça passerait juste parce qu'il a pas un rond ?
Mirdhynn a écrit:J'ai même vu des profs se vanter de faire du uber entre les heures de cours
LeMoineFou a écrit:Mirdhynn a écrit:J'ai même vu des profs se vanter de faire du uber entre les heures de cours
Excellent!
Je la connaissais, mais avec un cheminot.
Fraise Tagada a écrit:LeMoineFou a écrit:Mirdhynn a écrit:J'ai même vu des profs se vanter de faire du uber entre les heures de cours
Excellent!
Je la connaissais, mais avec un cheminot.
Mais la fin n'est pas la même du tout !
Mirdhynn a écrit:nexus4 a écrit:Les plateformes Uber, Deliveroo etc. sont des entreprises prédatrices qui déportent sur l'employé les charges patronales, les mutuelles, la fourniture et entretien du matériel etc. et s'affranchissent des conventions collectives. Les employés ne sont plus des salariés mais des auto-entrepreneurs corvéables à merci.
C'est comme si vous disiez à votre secrétaire de se mettre à son compte, de fournir le matos et l'électricité et que vous la faisiez travailler 72h par semaine. Et que vous laissiez sans rien pendant les vacances, et qu'au retour, sans un mot, vous changiez de prestataire, moins chère.
C'est vraiment un dévoiement de la relation patron-employé.
Oui mais au début, les deux y trouvent leur compte. Le cas des taxis est assez édifiant sur le sujet.
Au début :
Uber : "Nous proposons une appli sympa pour mettre en relation des particuliers" avec toutes les fleurs marketing autour
Les chauffeurs : "Chouette, on peut faire taxi sans payer une licence pendant 10 ans" voir "super, je vais me faire un revenu au black"
Puis quand la concurrence devient trop rude, que les taxi parisiens crient à la concurrence déloyale bref qu'il y a moins d'argent gagner et qu'on ne gagne plus normalement sa vie on passe à :
Les chauffeurs : "On veut des droit sociaux". Et puis "c'est con on n'a pas de licence à revendre pour avoir une retraite décente"
Uber : "nous ne sommes pas employeurs, on est juste une appli"
Sauf que des deux cotés, ils se sont assis sur les principes , ont volé les institutions en ne déclarant rien , et ont volé le boulot de ceux qui jouaient avec les règles.
Mirdhynn a écrit:Frannck a écrit:Tu cites en exemple un truc que tu ne connais pas et qui est archi faux. Pour le vélo je ne sais pas, mais le problème des vélos indisponibles me fais sourire. Il y a un peu plus d'un an, le job à la mode était de recharger les trotinettes électriques. Pour les locataires charges comprises c'était tout bénef comme au début du minage des bitcoins.
Là faut me donner plus d'explications quand même
Mirdhynn a écrit:l'état ne peut pas requalifier un contrat de travail en CDI.
Dans un arrêt du 10 janvier 2019 (CA Paris, 10 janvier 2019, n° RG 18/08357), la Cour d’appel de Paris a jugé, pour la première fois, que le lien unissant un chauffeur (auto-entrepreneur) avec la société UBER était bien celui d’un contrat de travail.
Cette décision fait ainsi écho à la position récente de la Cour de cassation (Cass. Soc., 28 novembre 2018, n°17-20.079) qui a reconnu le statut de salarié à un livreur à vélo agissant aussi pour une plate-forme numérique (« Take Eat Easy »).
Mirdhynn a écrit:Qui fait porter une responsabilité à qui ?
Mirdhynn a écrit:Pour les vélos, la mairie de Paris a agit pour contrer ce qui est très clairement un abus.
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