unrefractaire a écrit:oui si chère à la gôche qui n'a comme source idéologique que le pire du social-libéralisme anglo-saxon...
www.marianne.net a écrit:Vivre en démocratie, c’est à la fois accepter de pouvoir être offensé par une opinion, et avoir le droit indiscutable de répondre à l’offense dans un débat ouvert mutuellement respectueux des intervenants.
Pouffy a écrit:www.marianne.net a écrit:Vivre en démocratie, c’est à la fois accepter de pouvoir être offensé par une opinion, et avoir le droit indiscutable de répondre à l’offense dans un débat ouvert mutuellement respectueux des intervenants.
On s'autorise à penser dans les milieux autorisés... bla bla
LEAUTAUD a écrit:A lire en dégustant une "tête de nègre" !
(il paraît que cette pâtisserie délicieuse se nomme désormais "tête en chocolat", ce qui est encore plus raciste je trouve)
Mirdhynn a écrit:Sinon, en vrai, on s'en fout, non ?
unrefractaire a écrit:Une vraie tribune pour affronter et combattre une pratique déplorable, anti démocratique, autoritaire et si chère, oui si chère à la gôche qui n'a comme source idéologique que le pire du social-libéralisme anglo-saxon...
Thierry_2 a écrit:le côté amusant, c'est que le roman s'est aussi appelé "10 little indians" aux USA à une époque, avant d'opter pour le titre actuel.
le plus amusant est que le terme "nègre" est effectivement interchangeable avec n'importe quel autre. Il fut aussi renommé "10 little soldiers". C'est la logique de la comptine qui compte. Et dans un débat, un journaliste rappelait que Hergé avait déjà remplacé Blumenstein par Bohlwinkel pour des raisons similaires (à ceci près qu'Hergé est soupçonnable idéologiquement au vu de ses sympathies et de l'époque alors qu'Agatha Christie est plus neutre).
En fait, c'est un non-événement dont l'imapct en dit long sur l'hystérie des2 camps.
La question de la nouvelle traduction de "Autant en emporte le vent" est plus intéressante. Gallmeister a réédité le roman de Margaret Mitchell dans une nouvelle traduction.
Dans la version française éditée depuis 1939 par Gallimard, le traducteur "historique" de Margaret Mitchell, Pierre-François Caillé (1907-1979) avait choisi de faire parler les Noirs de la plantation de façon caricaturale remplaçant notamment les sons "r" par une apostrophe.
"C'est-y la bonne de vot'enfant? Ma'ame Sca'lett, elle est t'op jeune pou' s'occuper du fils de missié Cha'les!", dit ainsi un personnage noir dans la version de 1939.
Dans la nouvelle traduction, cela devient : "C'est la nurse de vot'enfant? Ma'ame Scarlett, l'est trop jeune pour s'occuper du seul bébé de m'sieur Charles!"
On peut voir en quoi la traduction originale posait problème 70 ans plus tard...
Brian Addav a écrit:Olaf Le Bou a écrit:toine74 a écrit:Certes, mais certains mots suggèrent ou sous-entendent certaines idées. Nigger n'est pas neutre, le terme est chargé historiquement et socialement (surtout aux USA).
comme je l'avais souligné hier, grâce à l'appropriation culturelle de certains auteurs francophones noirs, le terme avait perdu de son caractère péjoratif, ce qui me paraissait être une évolution plus positive est porteuse de progrès que son bannissement du vocabulaire. Ce que démontre cette affaire c'est également l'importation continue des problématiques américaines dans le contexte français, et là je ne vois nul progrès.
Excellent remarque.
HOCHET Gabriel a écrit:Donc ça y’est ..... l’autrice ça s’utilise....
Je trouve ça tellement idiot et grotesque, que ça doit être la preuve que je suis maintenant, à coup sûr, un vieux con....
Bon, allez, vive les sapeuses pompières......
Brian Addav a écrit:toine74 a écrit:"L'affaire" Agatha Christie vue du Québec (avec même du Tintin au Congo dedans) :
Je ne connais pas le monsieur, je m'en fous. Je m'en fous tout autant de la polémique à dix balles concernant le changement du titre du bouquin de trucmuche.
Mais bordel, quand je lis des conneries corbuliennes comme celle-ci :Marc Cassivi a écrit:Lorsqu’un rappeur se réapproprie le mot « nègre », il n’est pas question de privilège, mais de restitution. La symbolique, la signification du mot dans la bouche d’un Noir n’ont rien à voir avec celles du Blanc qui le prononce parce qu’il ne veut pas céder un millimètre de ses privilèges aux quantités négligeables que sont les groupes minoritaires face à sa sacro-sainte liberté d’expression.
je comprends mieux comment des crétins boutonneux de 17 peuvent se retrouver à tirer sur leurs concitoyens.
A force de vouloir segmenter, séparer, on ne fait plus qu'opposer les gens. Et seule la haine peut prospérer sur un tel monceaux de conneries.Pouffy a écrit:Thierry_2 a écrit:lEn fait, c'est un non-événement dont l'imapct en dit long sur l'hystérie des2 camps.
Tout à fait d'accord.
voilà.
LEAUTAUD a écrit:J'ai un copain (un gars connu) qui m'écrit désormais en utilisant l'écriture inclusive, le benêt.
Je lui envoie une réponse pour lui dire qu'il arrête ce procédé cafouilleux avec moi, que je préfère son écriture habituelle (c'est un professionnel de l'écriture, pas un crétin des vallées du valais)
Tel que je le connais, il préférera en rajouter une couche, l'innocent taquin.
Bon, c'est une oersonne que j'aime bien (mais il fait chier quand même )
LEAUTAUD a écrit::fant2:
Ah non, je tiens à conserver son amitié
(mais y fait chier quand même )
- Vous regrettez le choix de cette publication avec notamment la chaîne au cou représentant Danielle Obono ?
- Je regrette qu'on ait pu penser qu'on soit raciste
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